Chercheur du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie, puis des Hauts-de-France, depuis 2002.
Dossier d’œuvre architecture IA80002695
| Réalisé par
- inventaire préliminaire, Val de Somme
- patrimoine funéraire
Cimetière communal de Villers-Bretonneux
Œuvre recensée
Auteur
Copyright
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
Localisation
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Aire d'étude et canton
Communauté de communes du Val de Somme - Corbie
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Commune
Villers-Bretonneux
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Adresse
rue de Péronne
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Cadastre
1933
B1
124
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Dénominationscimetière
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Appellationscimetière communal
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Parties constituantes non étudiéescroix de cimetière, monument aux morts, conciergerie, clôture, portail
Le cimetière communal de Villers-Bretonneux, créé en 1844 route de Péronne, remplace le cimetière paroissial qui s'étendait au nord de la première église. Divisé en quatre "carrés" ou "plaines", avec une croix de cimetière au centre, il présente des dispositions adoptées dans la plupart des cimetières ruraux contemporains. Ici, comme à Montières ou Renancourt, les allées sont plantées de tilleuls. Il est mis en service en 1845, date de sa bénédiction. Le plan réalisé vers 1850 montre que plusieurs concessions perpétuelles sont déjà acquises dans l'allée principale mais surtout à proximité de la croix de cimetière.
Après la guerre de 1870, le cimetière accueille un espace réservé à l'inhumation des militaires, comme c'est également le cas à Cachy et au cimetière de la Madeleine d'Amiens. L'augmentation de la population communale nécessite un agrandissement du cimetière, en 1880, et une réorganisation des espaces d'inhumation. La superficie du cimetière est doublée, elle passe de 5500 m2 à 12000 m2, et compte alors huit "carrés" et deux croix de cimetière. En 1892, le plan est à nouveau modifié pour augmenter le nombre des concessions perpétuelles.
Le cimetière est très endommagé durant la Première Guerre mondiale ; la plupart des monuments et des tombeaux sont restaurés ou reconstruits mais les arbres sont supprimés.
De nombreux monuments du 19e siècle sont encore présents dans le cimetière, exécutés pour les plus anciens par des marbriers amiénois (Dutry, Coënen ou encore Lesot), puis par les entreprises d'Aulnoye (Nord) dont on trouve de nombreuses réalisations dans les cimetières de la région. Vers 1910, deux entreprises de monuments funèbres sont créées à Villers-Bretonneux : celle de Désiré Jeannot, originaire d'Arras, dont l'activité reprise par sa veuve cesse en 1933, et celle des Timmerman, Henri et Gustave, puis Louis, à qui sont confiés les travaux de restauration et de reconstruction après la Première Guerre mondiale.
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Les sources conservées aux archives départementales (série O) indiquent qu'un terrain est acquis par la municipalité, en 1844, pour établir un nouveau cimetière. Un premier règlement est établi cette même année.
Selon l'article 1er : "Le cimetière sera divisé en 4 carrés d'une étendue égale, divisée par une allée en croix qui sera plantée d'arbres, essence de tilleul ou ormes, de chaque côté, au milieu de la croix sera élevé le calvaire qui se trouve aujourd'hui sur le Chemin de Corbie à l'embouchure sur la route de Péronne, sera entouré d'une double ceinture d'arbres, essence marronniers, en laissant entre les lignes un chemin, faisant un cercle autour du calvaire. Autour du cimetière & à 2 mètres de distance des murs il sera planté aussi une ligne d'arbres essence de tilleul ou d'orme et fermée d'une haie vive en dedans des murs pour la sépulture des enfants morts sans avoir reçu le baptême & pour les personnes professant aux croyances autres que la religion catholique".
Selon l'article 3, les concessions perpétuelles sont disposées le long de l'allée principale et autour du calvaire. "Deux places seront aussi vendues à perpétuité sous le piédestal de la croix à droite et à gauche d'un caveau, qui sera pratiqué pour y déposer les restes mortels des vénérables prêtres qui sont inhumés dans l'ancien cimetière [...] et pour leurs successeurs". [...] "Dans tout état de chose, les concessionnaires à perpétuité ne pourront faire inhumer dans les terrains achetés que les cendres de leurs héritiers en ligne directe ou de leur père et mère et autres ascendants, les héritiers collatéraux n'y auront jamais droit ainsi que leurs filles mariées lorsqu'il y aura des héritiers directs".
Selon l'article 7, la forme et les inscriptions des monuments sont soumis à l'approbation du maire.
Une grille en fer pour la clôture est acquise en 1845, date de la bénédiction du nouveau cimetière.
Le cimetière est agrandi en 1880 (achat terrain appartenant à l'hospice de Corbie 1876 - B393), une nouvelle allée est ouverte dans la plaine B [actuelle plaine F] de l'ancien cimetière (carré à gauche en entrant), nécessitant le déplacement de quelques concessions. Un nouveau règlement du cimetière est voté en 1883. Le plan est modifié en 1892 pour augmenter la superficie des concessions perpétuelles. Le terre-plein du rond-point central sera considéré comme faisant partie de la 2e catégorie des concessions perpétuelles.
Très endommagé durant la Première guerre mondiale, le cimetière et les monuments font l'objet d'importants travaux. Le mur de clôture est reconstruit en 1921, la grille est réparée l'année suivante et une conciergerie est construite en 1924. Tous les arbres du cimetière sont supprimés. En 1928, le calvaire, le monument aux morts de 1870 et plusieurs monuments privés sont restaurés ou reconstruits par Louis Timmerman, sur les plans de l'architecte A. Guilbert. L'installation des nouveaux calvaires a lieu en avril 1929 (Hareux, 2007).
Une troisième extension, au sud, est faite au début des années 1990.
Dans le cimetière, plusieurs monuments portent la signature des entrepreneurs de monuments funèbres établis à Amiens (Coënen, Dutry, Lesot), à Villers-Bretonneux (Lejeune, D. Jeannot et Vve D. Jeannot, H et L Timmerman), ou encore à Aulnoye (Nord) : Rembaux-Slotte, Rembaux et Cie et Gaudier-Rembaux.
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Période(s)
- Principale : 2e quart 19e siècle, 4e quart 19e siècle, 4e quart 20e siècle
- Secondaire : 1er quart 20e siècle, 2e quart 20e siècle
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Dates
- 1844, daté par source
- 1880, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Guilbert Albert, Désiréarchitecte communal attribution par sourceGuilbert Albert, DésiréCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Architecte installé à Paris, 2 rue Pierre-Ducreux, qui possède une agence à Villers-Bretonneux (80), attestée en 1924.
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Auteur :
Timmerman (entreprise de monuments funèbres) (1900 - )entrepreneur attribution par sourceTimmerman (entreprise de monuments funèbres)Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Entreprise de monuments funèbres fondée par Gustave et Henri Timmerman en 1900. Elle est établie à Villers-Bretonneux, à son emplacement actuel route de Péronne, vers 1908. Leur succède Louis Timmerman, en 1919, puis dans les années 1930 : Jean et Roger, fils de Louis.
Charles Henri Timmerman se déclare né à Bruxelles en 1872 (recensement de population de 1911 : 14 rue d'Amiens) et né à Ypres en 1874 (recensement de 1921 : rue de Montdidier, sans profession). Il arrive à Villers-Bretonneux avant 1908 (date d'acquisition de la propriété dans laquelle est installée l'entreprise) et cesse son activité d'entrepreneur de monuments funèbres en 1919.
Gustave Timmerman, né à Ypres en 1889, cesse son activité d'entrepreneur de monuments funèbres en 1919 et quitte Villers-Bretonneux pour Livarot.
Louis Timmerman, marbrier et entrepreneur de monuments funèbres, est né à Ypres (Belgique) en 1894 (recensement de 1921, 1926 rue de Péronne). Il arrive à Villers-Bretonneux en 1913.
Jean Timmerman (1913-1986), né à Villers-Bretonneux, marbrier rue de Péronne (recensement 1936), puis rue de Melbourne (liste électorale 1939).
Roger Timmerman, né à Amiens en 1915, marbrier rue de Péronne (liste électorale 1939).
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Auteur :
Jeannot (entreprise de monuments funèbres) (1910 - 1933)entrepreneur signatureJeannot (entreprise de monuments funèbres)Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Entreprise de monuments funèbres fondée par Désiré Jeannot, né à Arras en 1876 et établi route de Péronne à Villers-Bretonneux (Somme), face au cimetière, vers 1910. L'entreprise, reprise par sa veuve cesse son activité en 1933.
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Auteur :
Gaudier-Rembaux (entreprise de marbrerie et monuments funèbres) (1870 - )entrepreneur signatureGaudier-Rembaux (entreprise de marbrerie et monuments funèbres)Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Entreprise de marbrerie et monuments funèbres fondée en 1870 à Aulnoye (Nord), sous la raison E. Rambaux et Cie. Elle est également connue sous la raison Gaudier, puis Gaudier-Rembaux.
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Auteur :
Rembaux et Cie (entreprise de marbrerie et de monuments funèbres)entrepreneur signatureRembaux et Cie (entreprise de marbrerie et de monuments funèbres)Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Entreprise de marbrerie établie à Aulnoye (Nord).
"On retrouve le nom Gaudier-Rembaux sur énormément de monuments, funéraires pour la plupart, à Écaussinnes, dans le Nord de la France, au Père-Lachaise à Paris et ailleurs. Et pour cause, le marbrier écaussinnois connaît une renommée internationale depuis le XIXe siècle." Le catalogue, "produit à l’occasion de l’exposition des Arts Décoratifs en 1925 (où la société granitière du Nord Gaudier-Rembaux d’Aulnoye décroche le Grand Prix), présente un vaste et curieux éventail de monuments funéraires".
Source : https://tunneldesamoureux.wordpress.com/2021/05/05/150-ans-dart-funeraire-chez-gaudier-rembaux/ [consulté le 04/05/2023].
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Auteur :
Rembaux-Slotteentrepreneur signatureRembaux-SlotteCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Entreprise de marbriers installés à Aulnoye-Aymeries (Nord).
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Auteur :
Lesot (entreprise de monuments funèbres)entrepreneur signatureLesot (entreprise de monuments funèbres)Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Entreprise de monuments funèbres, qui réunit les deux anciennes maisons Sallé et Lesot fondées en 1835 et 1866.
Emile Lesot-Delaporte (1856-1926). D'abord tailleur de pierre, Grande-rue Saint-Maurice (recensement de population 1881), il s'établit entrepreneur de monuments funèbres au 361 Grande rue Saint-Maurice (recensements de population 1906 et 1911), à côté de Lamolet-Tattegrain. Président d'honneur de l'association Michelet et des jardins ouvriers du faubourg St-Maurice, officier de l'Instruction publique, chevalier de Mérite agricole. Titulaire des médailles d'honneur de la prévoyance sociale et de la Mutualité.
L'entreprise est ensuite connue sous le nom de Lesot frères, qui réunit Emile Lesot-Delaporte et son frère Emilien Lesot-Flament, marbrier installé au 375 rue Saint-Maurice (1906 et 1911). L'atelier est situé au 203 rue Saint-Maurice (1900-1911). L'annuaire de 1926 donne à nouveau l'adresse de l'entreprise au 361 rue Saint-Maurice.
Au lendemain de la première guerre mondiale, l'entreprise est dirigée par Georges Emile Lesot-Helleu (1887-1938), qui s'établit 403 rue Saint-Maurice (atelier, magasin et bureau), peut-être dans l'ancien atelier d'Achille Sallé (AC Amiens 2M 17/27).
En 1945, l'entreprise est donnée 411 rue Saint-Maurice (AC Amiens 2M 17/27).
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Auteur :
Coënen (entreprise de marbrerie et de monuments funèbres)marbrier signatureCoënen (entreprise de marbrerie et de monuments funèbres)Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Entreprise de marbrerie et de monuments funèbres dirigée par Bernard Coënen, marbrier Belge né en 1831 et établi à Amiens au milieu du 19e siècle. Successeur de Deventer, Bernard Coënen est domicilié à Amiens, 47 boulevard du Mail en 1862 (annuaire) et 1872 (recensement de 1872), puis 53 boulevard du Mail.
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Auteur :
Dutry (entreprise de marbrerie et monuments funèbres)marbrier signatureDutry (entreprise de marbrerie et monuments funèbres)Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Entreprise de marbrerie fondée par Alexandre Dutry, dit Dutry père, né en 1804.
Alexandre Dutry est installé à Amiens, 4 esplanade de Longueville (recensement 1856), puis 65 boulevard du Mail (annuaire 1862), puis 71 boulevard du Mail.
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Auteur :
Le cimetière, d'une superficie de 1,7 hectares, est aménagé au nord-est de la ville, desservi par la route de Péronne. Il compte trois portails qui y donne un accès piéton depuis la route et un accès automobile au sud-est, depuis la rue du Bout-des-Champs.
Le cimetière est desservi par une trame d'allées orthogonales, avec deux allées principales nord-sud, dans l'axe des portails principaux, qui sont toutes deux ponctuées par une croix de cimetière et reliées entre elles par une allée large desservant des concessions perpétuelles. Les concessions sont orientées est-ouest, à l'exception de la partie sud du cimetière où elles sont orientées nord-sud. Deux monuments aux morts (bataille de 1870 et guerre de 1914-1918) sont élevés à l'extrémité du carré militaire, qui s'étend au sud de la croix de cimetière. Quelques tombes militaires sont regroupés à proximité. Les monuments les plus importants sont situés autour de la croix de cimetière et à proximité du portail est.
Plusieurs tombeaux portent des signatures d'entrepreneurs de monuments funèbres ou de marbriers : Coënen, Dutry, Lesot, Lejeune, D. Jeannot et Vve D. Jeannot, H et L Timmerman, Rembaux-Slotte, Rembaux et Cie et Gaudier-Rembaux.
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Typologiescimetière indépendant (graveyard) de plan régulier
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Statut de la propriétépropriété publique
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département de la Somme - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département de la Somme - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Archives privées
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- (c) Archives privées
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Documents d'archives
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AD Somme. Série O ; 99O 3733. Villers-Bretonneux. Administration communale (avant 1869).
Bibliographie
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HAREUX, Jean-Michel. Villers-Bretonneux. Société d'Etudes et de recherches Historiques et Archéologiques de Montdidier et sa région. Amiens, 2007.
tome 2, p. 142.
Documents figurés
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Plan du cimetière de Villers-Bretonneux, 19e siècle (AD Somme ; 99O 3733).
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Plan du cimetière de Villers-Bretonneux, 20e siècle (AC Villers-Bretonneux).
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24. Villers-Bretonneux (Somme). Le cimetière. Carte postale, vers 1919 (coll. part. Drillancourt).
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Villers-Bretonneux après la Grande Guerre. Le cimetière. Carte postale, vers 1919 (coll. part. Drillancourt).
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Louis Timmerman posant à côte de tombeaux, dans le cimetière de Villers-Bretonneux (plaine D). Photographie, vers 1925 (A. P. Drillancourt).
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Louis Timmerman posant à côte des tombeaux des familles Parsy-Berly et Delacroix et Bertoux, dans le cimetière de Villers-Bretonneux (plaine H). Photographie, vers 1925 (A. P. Drillancourt).
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Louis Timmerman posant à côte du tombeau des familles Bled et Bellet, dans le cimetière de Villers-Bretonneux (plaine H). Photographie, vers 1925 (A. P. Drillancourt).
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Tombeau de la famille Drouart-Paris, dans le cimetière de Villers-Bretonneux (plaine A). Louis Timmerman (marbrier). Photographie, vers 1930 (A. P. Drillancourt).
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Louis Timmerman posant à côté du tombeau des familles Lecointe-Turquin et Cozette-Lecointe, dans le cimetière de Villers-Bretonneux. Photographie, vers 1930 (A.P. Drillancourt).
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Louis Timmerman posant à côté du tombeau de la famille Parisien-Ricard, dans le cimetière de Villers-Bretonneux. Photographie, vers 1930 (A.P. Drillancourt).
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Louis Timmerman posant à côté du tombeau d'Emond et Roland Boutier, dans le cimetière de Villers-Bretonneux. Photographie, vers 1930 (A.P. Drillancourt).
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Louis Timmerman posant entre les tombeaux des familles Macret (à gauche) et Brunel-Flandre (à droite), dans le cimetière de Villers-Bretonneux. Photographie, vers 1930 (A.P. Drillancourt).
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13. Villers-Bretonneux. Route de Péronne. Le cimetière communal. Carte postale, vers 1925 (coll. part. Drillancourt).
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Louis Timmerman posant à côté du tombeau de la famille Séry-Detaille, dans le cimetière de Villers-Bretonneux (plaine A). Photographie, vers 1930 (A.P. Drillancourt).
Date(s) d'enquête :
2019;
Date(s) de rédaction :
2019
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Barbedor Isabelle
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Barbedor Isabelle
Chercheur du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie, puis des Hauts-de-France, depuis 2002.
Articulation des dossiers
Contient
- Cimetière militaire et monuments aux morts de la guerre de 1870 et de la Grande Guerre (Villers-Bretonneux)
- Croix de cimetière
- Enclos funéraire de la famille Jean-Baptiste Moirez
- Enclos funéraire des familles Châtel-Duboscq [ou Dubois] et Châtel-Postel
- Monument funéraire des familles Dheilly-Postel, Patrice Bouchez-Dheilly et Postel
- Monument funéraire des familles Glutron-Desachy et Colmaire-Desachy
- Monument funéraire du fabricant de bonneterie de laines Arsène Théodore Delacour et de sa famille
- Tombeau (chapelle) de la famille Obry-Boullenger
- Tombeau (cippe) Hemery-Baille
- Tombeau (cippe) de Paul-Firmin Obry
- Tombeau (cippe) de la famille Dieu-Obry
- Tombeau (cippe) des familles Outrequin-Pinchon, Théophile Dieu et Outrequin-Dieu
- Tombeau (colonne funéraire) Dieu-Obry
- Tombeau (obélisque) de la famille Dheilly
- Tombeau (sarcophage) des familles Colmaire et Hemery (Hareux)
- Tombeau (stèle funéraire) de la famille Léon Rubin
- Tombeau (stèle funéraire) de la famille du fabricant de bonneterie Amédée Hareux
- Tombeau (stèle funéraire) de la famille du manufacturier Virgile Coulon-Colmaire
- Tombeau d'Adrien Pourpe et Léon Roger
Fait partie de
Chercheur du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie, puis des Hauts-de-France, depuis 2002.