Photographe. Région Hauts-de-France.
- patrimoine industriel, Armentières
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Métropole européenne de Lille - Armentières
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Commune
Armentières
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Adresse
81 rue du Président-Mitterrand
,
81 ancienne rue Nationale
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Cadastre
1888
B8
5071 à 5074
;
1983
CS
72, 162
;
2016
CS
72, 162
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Dénominationsusine de chaudronnerie, biscuiterie, imprimerie
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AppellationsUsine de chaudronnerie Basseux , Biscuiterie Mazeman , Imprimerie Bette-Caux , Imprimerie Vanbrugghe-Bette-Caux
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Parties constituantes non étudiéesenclos, bureau, atelier de fabrication, magasin industriel
L'usine de chaudronnerie Charles Basseux est attestée en 1892 par le biais d'une demande de maintien en activité d'une chaudronnerie, laquelle perdure au moins jusqu'en 1936, selon les annuaires Ravet-Anceau. D'après cette même source, elle est remplacée en 1956 par la biscuiterie Mazeman.
De 1963 à 1988 les locaux sont occupés par l'imprimerie Bette-Caux. On y réalise alors du papier pour listings et formulaires de chèques. En 1995, elle devient l'imprimerie Vanbrugghe-Bette-Caux, raison sociale qu'elle conservera au moins jusqu'en 2001.
En 1988, l'entreprise est dotée de matériels modernes mais expose dans son hall d'accueil de vieilles presses à platine : une presse allemande, de marque Leipzig SG des années 1940 ; une autre, non datée, de marque Victoria (Ets. Rockstroh-Werke AG, Dresden-Löbtau), une presse française de marque FL (Foulon et E. Langenhagen, Roubaix) des années 1950. On peut y voir également une piqueuse française de marque SCOM (Société Coopérative d'Outillage et de Mécanique), des années 1940.
En 2020, l'usine est détruite. Elle est remplacée par des immeubles à appartements.
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Période(s)
- Principale : 2e moitié 19e siècle , daté par source
- Secondaire : 2e quart 19e siècle
En 1988, l'atelier de fabrication donnant sur la cour est surmonté de trois nefs à longs pans, en charpente métallique, couvertes de ciment-amiante et éclairées par trois larges baies en arc segmentaire disposées sur les pignons. À l'arrière, d'autres ateliers ou magasins en rez-de-chaussée sont couverts d'un toit en terrasse. Les bureaux, en brique, sont surmontés d'un toit brisé en pavillon couvert de tuile flamande mécanique. L'édifice comprend un étage carré surmonté d'un étage de comble éclairé de lucarnes.
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Murs
- brique
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Toitsciment amiante en couverture, ciment en couverture, tuile flamande mécanique
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Étages1 étage carré, étage de comble
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Couvrements
- charpente métallique apparente
- charpente en bois apparente
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Couvertures
- toit brisé en pavillon
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Énergies
- énergie thermique produite sur place
- énergie électrique achetée
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État de conservationdétruit après inventaire
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Statut de la propriétépropriété privée (incertitude)
Cette étude menée en 1988 a fait l'objet d'une mise à jour par le service de l'Inventaire en 2023.
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département du Nord - Archives départementales
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Documents figurés
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Maintien en activité de la chaudronnerie Charles Basseux, 1892 (AD Nord ; M 417532).
Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.
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