Dossier d’œuvre architecture IA62005193 | Réalisé par
Girard Karine (Rédacteur)
Girard Karine

Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.

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  • patrimoine de la Reconstruction
  • enquête thématique régionale, La première Reconstruction
Ferme de Monsieur Henri Vasseur-Derly
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communauté de communes du Sud-Artois - Bapaume
  • Commune Bapaume
  • Adresse 65 rue faubourg de Péronne
  • Cadastre 2020 000 AD 01 243 à 245  ; 2020 000 AD 01 139 et 140 Les parcelles 243 à 245 correspondent à la ferme, les 139 et 140 aux logements ouvriers.
  • Parties constituantes étudiées
  • Parties constituantes non étudiées
    grange, étable, pigeonnier, jardin, pavillon de jardin

La ferme de M. Vasseur-Derly est très représentative des fermes de la reconstruction.

Tout d'abord, elle est située dans un faubourg, là où l'espace est disponible et où les bâtiments agricoles peuvent prendre toute leur ampleur.

Elle met en œuvre les principes de salubrité préconisés depuis la fin du 19e siècle mais que les fermes d'avant-guerre héritées des générations précédentes ne mettaient guère en pratique : séparation des fonctions d'habitation, des espaces de stockage du matériel et ceux des productions agricoles, des bâtiments d'élevage ou de transformation de la production agricole, rationalisation des déplacements, éloignement des fosses à purin et des fumiers qui quittent leur place centrale dans la cour... et peut aller parfois jusqu'à la construction d'un bâtiment spécifique installé loin de la ferme.

La ferme est construite par un architecte et n'est pas une construction vernaculaire. Or les architectes privilégient la circulation de l'air et des personnes entre les différents espaces. Ainsi, comme la majorité des fermes des faubourgs, la ferme M. Vasseur-Derly présente des bâtiments regroupés en U autour d'une grande cour ouverte sur la rue et non plus fermée comme avant-guerre. Comme pour les autres fermes, les formes, les tailles et les élévations des bâtiments d'exploitation sont différenciées selon leur destination : petit poulailler, grand pigeonnier, bâtiment ouvert pour la remise mais fermé pour le magasin, fenêtres de fenil pour faciliter le stockage et la conservation du foin sous la toiture là où l'air circule le mieux dans le magasin et le hangar-remise-grange... Mais, à la différence de beaucoup de fermes, seule la grange avec silo à betteraves est construite avec des fermes et des poteaux métalliques entre lesquels est montée une maçonnerie de brique. Les autres bâtiments plus tardifs sont construits avec un système de poutres, poteaux et planchers hauts en béton même si le remplissage des murs continue à utiliser la brique. Dans tous les cas, et comme pour la majorité des bâtiments d'exploitation, l'accès se fait par de grandes portes coulissantes montées sur un rail posé à l'extérieur du bâtiment, accompagnées de portes piétonnes en fonction de la partition de l'espace intérieur. C'est le cas dans la plupart des fermes. De même, le sol des bâtiments agricoles est pavé de briques ce qui en facilite le nettoyage.

Les bâtiments agricoles de la ferme de M. Vasseur-Derly conservent une unité stylistique quelle que soit l'année où ils ont été construits. Les quelques différences d'aspect ou de mode constructif qui existent entre eux peuvent être attribués à la volonté du propriétaire de marquer sa richesse comme le soubassement en pierre d'Hydrequent pour le pigeonnier, ou par le moment où les bâtiments ont été construits : entre 1921 date de la construction de la grange à charpente métallique et 1923 lorsque le magasin et le hangar-remise sont édifiés, la technique du béton armé, moins couteuse que l'armature métallique, est désormais maitrisée.

Il n'y a pas de règles pour la situation de l'habitation, souvent "luxueuse", qui peut être située le long de la rue, sur le côté ou en fond de cour comme c'est le cas pour la ferme de M. Vasseur-Derly. Comme dans les autres fermes, la porte d'entrée du logis patronal a vue sur le portail d’entrée et les baies permettent de surveiller la cour et l'ensemble des bâtiments de l'exploitation. Là aussi, seule la maison bénéficie de décors (calepinage de briques, linteaux des baies soulignés en briques ou en ciment peint, tout comme les appuis de fenêtres). Comme dans les autres grosses fermes, celle de M. Vasseur-Derly est agrémentée d'un pigeonnier dont la hauteur et les décors tranchent sur le reste de la ferme.

Enfin, la ferme de M. Vasseur-Derly fait partie de celles qui incluent des logements pour le personnel qui ici ne sont pas prévus dans les combles des granges mais dans de véritables maisons même si ces dernières restent modestes.

La chronologie de la construction est également typique de la reconstruction : on commence par reconstruire les bâtiments directement liés à l'exploitation, avec ici la grange avec le silo à betteraves (avril 1921), puis viennent l'habitation (fin 1922) et enfin des bâtiments agricoles complémentaires : poulailler en dur et hangar pour les machines et les outils (mai 1923) et enfin magasin pour la production et pigeonnier (octobre 1923). Le démarrage de la construction se situe en 1921, c'est-à-dire au tout début de la reconstruction de la ville, ce qui est logique car l’État avait spécifiquement demandé à ce que les moyens de production agricoles et industriels soient reconstitués en priorité. Ainsi, sur les 31 fermes reconstruites recensées dans les dossiers de dommages de guerre conservés aux AD du Pas-de-Calais la majorité sont construites en 1921 et 1922 (12 en 1921 et 11 en 1922). On n'en compte plus que 4 en 1923 et une seule en 1924.

Les fermes du canton de Bapaume semblent avoir été parmi celles qui ont le plus profité de la reconstruction pour moderniser leurs infrastructures (La grande reconstruction, reconstruire le Pas de Calais après la Grande Guerre, p. 172).

Éléments de contexte et chronologie du projet de reconstruction

La ferme qui comprend les bâtiments agricoles, l'habitation du fermier et des logements ouvriers vient en remplacement d'une ferme totalement détruite pendant la première Guerre mondiale située au même emplacement.

Le dossier de dommages de guerre conservé aux AD du Pas-de-Calais (10R9/12, dossier n°164) permet de documenter le projet de reconstruction.

Le projet de reconstruction est confié à Eugène Bidard, dans le cadre de son mandat pour la coopérative de reconstruction n°1 de Bapaume. Il commence en avril 1921 avec la construction d'une grange-étable métallique avec silo à betteraves. Il se poursuit en 1922 avec l'édification de la maison, puis est complété par la construction d'un ensemble hangar-remise-grange et poulailler-clapier en mai 1923 et d'un bâtiment abritant un magasin et un pigeonnier en octobre de la même année. Enfin, une grange-remise en maçonnerie et "deux maisons ouvrières jumelles" sont construites en mai 1924.

Le budget total est de 487 000 francs. La maison de maître a à elle seule couté 133 000 francs, les deux habitations ouvrières 94 000 francs, le magasin et le pigeonnier 65 000 francs, la grange avec silo 116 000 francs et le hangar-remise avec le poulailler 56 000 francs, auxquels il faut ajouter 23 000 francs de frais d'architecte.

Les matériaux préconisés dans le devis descriptif pour les bâtiments agricoles

Les bâtiments agricoles sont presque tous construits avec les mêmes matériaux : les murs sont en "brique cuite au four continu provenant de Bapaume" ; les planchers sont en béton armé pavés en brique au rez-de-chaussée et parquetés en sapin au sous les combles ; les linteaux des baies sont en béton armé enduits au ciment Portland tout comme les soubassements ; les seuils sont en brique ; les charpentes en sapin sont couvertes par une toiture en ardoise d'Angers grand modèle posées au clou, y compris les lucarnes lorsqu'elles existent. Les huisseries extérieures devront être peintes à l'huile et "Les portes à coulisses et les portes de lucarne seront des types adoptés pour les bâtiments agricoles avec châssis en chêne et panneaux en sapin".

Seuls deux bâtiments tranchent sur l'ensemble : le pigeonnier avec son soubassement en moellon d'Hydrequent laissé apparent et la première grange construite avec sa charpente métallique, ses murs associant poteaux métalliques et remplissage en brique, ses linteaux en brique et ses seuils en béton.

Le projet de l’architecte : les élévations des bâtiments agricoles

Les élévations des bâtiments agricoles sont identiques : un long vaisseau d'un seul niveau surmonté d'un toit à longs pans débordant qui abrite des combles. Seuls les accessoires du toit sont un peu différents. La toiture du magasin est interrompue par une succession rythmée composée d'une grande lucarne-pignon et trois petites lucarnes et celle du hangar-remise-grange par une fenêtre qui permet d'accéder directement au grenier. Enfin, le pigeonnier et le poulailler sont couverts par une toiture en pavillon. Seule la façade sur cour du magasin et du pigeonnier ont fait l'objet d'un effort décoratif : les linteaux au-dessus des grandes portes coulissantes du magasin ont une forme arrondie et sont reliés entre eux par un bandeau de briques posées de biais, la corniche est décorées d'un jeu de briques alternant pose horizontale et verticale. Ce décor se retrouve sur la corniche du pigeonnier où il est complété par de petits corbeaux en brique.

Les matériaux préconisés dans le devis descriptif pour le logis patronal

La maison est édifiée avec des principes constructifs identiques à ceux des bâtiments agricoles avec des sols en béton pour le rez-de-chaussée (y compris pour la terrasse) et des murs en brique. Mais les seuils sont en pierre dure, les linteaux des baies en brique, les planchers hauts en sapin, les sols carrelés en carreaux de Boulogne (terrasse), gré cérame (salle de bain, cuisine, vestibule et bureaux), parquet en chêne pour le salon, la salle à manger et les chambres du rez-de-chaussée mais en sapin pour les chambres de l'étage et le sol du grenier. Les huisseries intérieures sont en sapin et celles extérieures en chêne, l'escalier en orme pour celui menant du rez-de-chaussée au premier et en sapin pour celui menant au grenier. Les cloisons intérieures sont enduites en plâtre puis peintes et recouvertes d'un faux lambris dans le salon, la salle à manger et le bureau, ou tapissées de papier de tenture dans les chambres. La charpente est en sapin couverte en ardoise, ainsi que les lucarnes.

Le projet de l’architecte : les élévations et les décors des façades du logis patronal

Les différences avec les bâtiments agricoles sont essentiellement visibles dans le soin apporté à l'aspect de la façade principale : motifs décoratifs tels que "saillies, creux, cordons, appuis, appuis, frontons, arcs [en brique] aménagés comme indiqués aux dessins", enduit au "ciment-pierre Poliet & Chausson mouluré et lissé avec soin pour imiter la pierre" pour les linteaux, frises, appuis bandeaux et soubassements et bien sûr le jeu sur les volumes des toitures (longs pans, croupes, lucarnes-pignon, pavillon, appentis) qui multiplie les emboitements masquant le plan strictement rectangulaire de la maison. La différence d'élévation entre la partie droite de la maison en rez-de-chaussée et celle gauche de deux niveaux avec combles, contribue également à singulariser l'aspect de la maison.

Les ouvertures répondent aux dispositions des pièces et ne sont pas organisées en travées. Sur la façade sur cour, on trouve ainsi à gauche une grande baie vitrée à linteau droit qui permet l'accès à la terrasse depuis la salle à manger, deux fenêtres géminées correspondant au salon, la porte d'entrée et enfin les deux fenêtres qui éclairent un bureau et une chambre. Toutes ces baies sont rectangulaires et couvertes par un linteau en forme d'arc de cercle en briques. Au premier niveau les baies sont couvertes par un linteau droit. Celles réunies par un balcon sous le pignon-fronton correspondent à une grande chambre tout comme les deux latérales. La petite baie en demi-cercle qui perce le fronton-pignon de la façade avant se retrouve à l'identique sur le pignon de la façade postérieure. Pas plus que celle principale, cette dernière n'est organisée en travées. La forme des baies reprend celle de la façade principale : rectangulaires avec linteau en arc de cercle au rez-de-chaussée et linteau droit au second niveau. Mais la maison est surtout remarquable par la présence d'une imposante terrasse qui accentue la hauteur de la maison par rapport au reste des bâtiments de la ferme et s'explique par la déclivité du terrain. Sur les plans cette terrasse est dessinée entourée d'une balustrade à laquelle on accède par un degré droit et, comme le soubassement du pigeonnier, elle est en pierre d'Hydrequent.

Le projet de l’architecte : le plan du logis patronal

Le plan de la maison est très classique. Au rez-de-chaussée, un petit couloir donne accès à un vestibule autour duquel toutes les pièces sont distribuées. A gauche se trouvent le salon et la salle à manger, qui communique avec la cuisine située sur l'arrière de la maison. L'arrière du vestibule est occupé par des espaces techniques (débarras, WC) et les escaliers qui mènent à la cave et à l'étage. A droite, la partie avant est occupée par un bureau et une chambre et celle arrière par une grande chambre communiquant avec une salle de bain. L'étage accueille quatre chambres, une lingerie et un cabinet de toilette organisés autour d'un grand palier. C'est là qu'arrive l'escalier tournant qui monte du rez-de chaussée et de là que part l'escalier droit qui donne accès au grenier. Toutes les pièces sont équipées d'une cheminée.

Réalisation et modifications ultérieures

Les façades des bâtiments conservés semblent avoir été élevées conformément aux dessins de l'architecte.

Ni les devis ni les plans ne font mention du mur bahut et de la porte flamande qui ferment la propriété.

L'activité de la ferme a cessé il y a environ vingt ans. Les bâtiments agricoles sont toujours debout mais ils servent d'espaces de rangement pour la famille qui occupe la maison de maître. Les bâtiments de la seconde cour ont été convertis en habitation : la grange abrite des appartements dont les entrées sont situées dans la cour et le hangar sert de garage couvert.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 20e siècle, 2e quart 20e siècle
  • Dates
    • 1920, daté par source
    • 1922, daté par source
    • 1923, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Bidard Eugène
      Bidard Eugène

      Architecte diplômé en 1895 de l’École supérieure des Beaux-Arts de Paris.

      Membre de la société civile d’architectes La cité nouvelle fondée en 1919 par Charles Duval et Emmanuel Gonse.

      (Pour plus d'informations sur la carrière d'Eugène Bidard, se reporter à l'annexe "Eugène Bidard, l'architecte de la reconstruction de Bapaume").

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      architecte attribution par source

La ferme est située le long de la rue du Faubourg de Péronne. Elle se compose de plusieurs bâtiments regroupés autour de deux cours, d'espaces de prairie et de jardins (à l'arrière et sur la gauche) et de petites maisons jumelles avec leur jardin à l'arrière.

Autour de la première cour se succèdent, de gauche à droite, un premier bâtiment bas couvert d'un toit à longs pans flanqué d'un pigeonnier, la maison de maître, une petite construction carrée couverte par une toiture en pavillon, un mur plein et le mur pignon de la grange voisine. La cour est séparée de la rue par un mur bahut percé en son centre d'une porte flamande.

La seconde cour est située à droite de la première. Elle compose un rectangle totalement ceint par des bâtiments et des murs : bâtiment à structure métallique et toiture à longs pans le long de la rue (ancienne grange avec silo à betteraves), hangar-remise-grange couvert par une toiture à longs pans dans le fond de la cour et murs en brique sur les petits côtés. Le seul accès est une porte charretière dans le bâtiment à front de rue.

La confrontation entre les façades bâtiments conservés et les dessins de l'architecte montre que ces derniers ont été réalisés conformément aux plans. Il n'est pas utile de revenir sur leur description. Cependant, s’agissant d’une propriété privée, l’intérieur actuel de la maison n’a pas été étudié. Il n’est donc pas possible de savoir si la construction s’est faite conformément aux plans de l’architecte, ni si cette dernière a été modifiée par la suite.

  • Murs
    • brique maçonnerie enduit
    • fer
    • béton
  • Toits
    ardoise, zinc en couverture
  • Étages
    1 vaisseau, sous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage de comble
  • Couvrements
  • Couvertures
    • terrasse toit à longs pans pignon découvert
    • toit conique
    • appentis croupe
  • Représentations
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée

Documents d'archives

  • AD Pas-de-Calais. Série R ; 10R9/12. Dommages de guerre. Secteur de Bapaume. Dossier 164. Henri Vasseur-Derly. Habitation, maisons ouvrières, commerce et dépendances. Devis, marchés, métrés des travaux, conventions d'acompte, liquidation du compte de coopérateur, plans.

    Liste des documents figurés utilisés dans la notice sur la ferme et sa maison d'habitation :

    - Propriété de Monsieur Vasseur-Derly - Faubourg de Péronne à Bapaume : [magasin et pigeonnier] façade sur cour, coupe transversale, détail du pignon sur cour, plan . Signé et daté par E. Bidard, architecte, et H. Vasseur, propriétaire, le 19 octobre 1922.

    - Propriété de Monsieur Vasseur-Derly - 81, Faubourg de Péronne à Bapaume : [grange - étable] façade sur cour, coupe suivant AB, plan. Signé et daté par E. Bidard, architecte, et H. Vasseur, propriétaire, le 17 novembre 1920.

    - Propriété de Monsieur Vasseur-Derly - Faubourg de Péronne à Bapaume : [hangar-remise-grange] façade principale, partie de la façade postérieure, coupe, plan. Signé et daté par E. Bidard, architecte, et H. Vasseur, propriétaire, le 24 avril 1923.

    - Propriété de Monsieur Vasseur-Derly - Faubourg de Péronne à Bapaume : [maison] façade principale, façade postérieure, profil de la façade avant. Signé et daté par E. Bidard, architecte, et H. Vasseur, propriétaire, le 25 mars 1922.

    - Propriété de Monsieur Vasseur-Derly - Faubourg de Péronne à Bapaume : [maison] plans du rez-de-chaussée et des caves. Signé et daté par E. Bidard, architecte, et H. Vasseur, propriétaire, le 25 mars 1922.

    - Propriété de Monsieur Vasseur-Derly - Faubourg de Péronne à Bapaume : [maison] plan du premier étage, coupe. Signé et daté par E. Bidard, architecte, et H. Vasseur, propriétaire, le 25 mars 1922.

    Liste des documents figurés utilisés dans la notice sur les maisons ouvrières :

    - Monsieur Vasseur-Derly - route de Péronne à Bapaume : façade sur la cour, façade sur la rue, coupe AB. Signé et daté par E. Bidard, l'architecte, H. Vasseur, le propriétaire, le président de la coopérative et l'entrepreneur, le 20 février 1924.

    - Monsieur Vasseur-Derly - route de Péronne à Bapaume : plan du premier étage, du rez-de-chaussée et du sous-sol. Signé et daté par E. Bidard, l'architecte, H. Vasseur, le propriétaire, le président de la coopérative et l'entrepreneur, le 20 février 1924.

    Dossier 164. Henri Vasseur-Derly. Habitation, maisons ouvrières, commerce et dépendances. Devis, marchés, métrés des travaux, conventions d'acompte, liquidation du compte de coopérateur, plans.

Annexes

  • Les matériaux de la reconstruction à Bapaume
Date(s) d'enquête : 2018; Date(s) de rédaction : 2019
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Girard Karine
Girard Karine

Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.

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