Chercheur de l'Inventaire du patrimoine - Région Hauts-de-France
Cheffe de projet du Pays d'art et d'histoire Ponthieu baie de Somme
- inventaire topographique, Pays d'art et d'histoire Ponthieu-baie de Somme
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Lefébure ThierryLefébure Thierry
Photographe au Service régional de l'Inventaire des Hauts-de-France (2023).
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Baie de Somme - Trois Vallées
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Communauté d'agglomération de la Baie de Somme - Abbeville
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Commune
Yonval
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Dénominationsvillage
Histoire du village
Sites et découvertes archéologiques
Selon les données archéologiques, les premières occupations sédentaires sur le territoire de Yonval remonteraient à l'époque gallo-romaine, et plus précisément au 1er siècle après JC. Plusieurs statères gaulois ainsi que d'autres monnaies romaines de l'empereur Vespasien (69-79 ap. JC), complètent la mise au jour d'une importante villa à galerie de façade, située à l'est du village, au lieu-dit de La Croix-qui-Corne. Le lieu, connu également sous le nom de Marca, a fait l'objet de fouilles archéologiques menées d'abord dans la première moitié du XIXe siècle par M. de Clermont, et complétées par l'abbé Rançon au début du XXe siècle. Elles ont mis au jour plusieurs autres monnaies qui soulignent la permanence d'occupation jusqu'au premier tiers du IVe siècle (empereur Constantin) ainsi que plusieurs vestiges de murs, des colonnes, des éléments de frise sculptées et des fragments d'enduits peints. L'ensemble de la villa a été circonscrit lors des prospections aériennes de Roger Agache en 1964.
Les origines de Yonval et de Vaux
Le village proprement dit est attesté à partir de la seconde moitié du XIIe siècle. Le village est mentionné en 1178, sous le nom de Widonis Vallis, qui signifierait la vallée de Wion (AD Somme, 317 PER 1). La variante Wion Val est utilisée la même année. Au cours des siècles suivants, le nom de Yonval évolue sous les noms de Guidinis vallis en 1231, Wionval en 1299, Yenval en 1337, Ionval en 1388, Dionval en 1557 et enfin Yonval en 1585.
La ferme de Vaux, qui forme un écart isolé au nord-est du territoire de Yonval, possède aussi son origine dans le mot vallée. La première mention, qui remonte à 1121, est Vallis, puis Valles en 1140 et 1124, Vaux les Mautort en 1492, Vaulx en 1588 et Vaux en 1646.
De la seigneurie à la commune de Yonval
Si la terre de Yonval devait déjà être élevée en seigneurie au cours du Moyen Âge, il faut attendre le début du XVIe siècle pour que Jean de Blottefière soit le premier seigneur nommé de Yonval (DE BELLEVAL, 1837-1864), avant de voir apparaître Charles de Rune, mentionné en 1594-1598 dans une requête qu'il fait au roi (AD Somme, 1 B 332). Jean de Dompierre lui succède en tant que seigneur de Buigny, Yonval et Épagne, lors de son mariage avec Marie Moisnel en 1509 (AD Somme, 1 B 645 : contrat de mariage, 1609-1615). Le mariage de leur fille Louise de Dompierre avec Mathieu de Tillette, en 1634 (Généalogie de Tillette, 1870) transfère à nouveau la seigneurie de Yonval à cette dernière famille qui la conserve jusqu'en 1745. À cette date, le domaine est vendu à M. Le Roi de Valanglart (Généalogie de Tillette, 1870). Bien que la date soit incertaine, Yonval semble avoir été rattaché à la seigneurie de Cambron à la fin du XVIIIe siècle. Il devient donc un hameau qui ne dépend toutefois pas de la paroisse de Cambron mais de celle de Mautort, village indépendant qui fut rattaché à Abbeville en 1791.
Le château seigneurial, aujourd'hui détruit, est quant à lui attesté seulement à partir du XVIIIe siècle. Il aurait vraisemblablement été construit par la famille de Tillette et occupé partiellement par Le Roy de Valanglart après 1745. Lors de sa mise en location en 1775, la propriété qui est assimilée à une "belle maison de campagne sur la place d'Yonval" comprend "un corps-de-logis bâti en pierres de taille et en briques, et couvert en tuiles, avec salles, salon, office, cuisine, caves, chambres hautes, cabinets et grenier, deux beaux jardins garnis d'espaliers et contre-espaliers de très bons fruits, deux grandes cours, écuries, remise, granges, pigeonnier, poulailler, étables" (Affiches de Picardie, 11 mars 1775, non sourcé mais cité par Seydoux, 2003). En 1872, selon le curé de Mautort, au début du XXe siècle la demeure "située à droite du calvaire de la place des Maronniers, est devenue la propriété de Roger et de Pascal Riche-Boulois. Elle apparait "extérieurement sans valeur archéologique. Intérieurement, dans la partie appartenant à M. Roger Riche, bien qu’elle soit inhabitée depuis longtemps, on voit encore des boiseries qui, sans être bien précieuses, méritent attention. C'est là, nous paraît-il qu'ont habité les anciens seigneurs d'Yonval, en particulier les Tillette." (Bouteillier, Bulletin paroissial, juillet 1907).
Enfin, après avoir manifesté sa volonté de redevenir une commune indépendante en 1985 par rapport au village de Cambron, distant de quatre kilomètres et dont ils dépendaient depuis la fin du XVIIIe siècle, Yonval qui avait déjà sa propre école et un cimetière distinct de sa commune de rattachement retrouve officiellement son statut communal le 1er janvier 1986. L'une des deux places du village porte le nom de cette date, en témoignage de cette indépendance retrouvée. La mairie (IA80011014) a été installée dans l'ancienne école du hameau. Le village de Cambron, qui n'appartient pas au Pays d'art et d'histoire Ponthieu-Baie-de-Somme, ne fait pas l'objet d'une étude spécifique ici.
Yonval face aux deux conflits mondiaux du XXe siècle
Malgré l'absence de conflit direct à Yonval, plusieurs habitants meurent au combat pendant la Première Guerre mondiale. Un monument aux morts " À ses héros 1914-1918 " est érigé dans le cimetière communal, 14 noms y sont inscrits.
La Seconde Guerre mondiale marque de manière plus conséquente le territoire du village. Yonval est touché par la bataille d’Abbeville en mai 1940. Plusieurs attaques sont engagées pour repousser les Allemands établis à Abbeville. Après l'échec des deux premiers assauts qui ont lieu les 27 mai et 28-31 mai, une troisième attaque a lieu la nuit du 4 juin. Le 15e Régiment d’Infanterie Alpine se dirige vers les Monts de Caubert mais ils sont obligés de reculer face à la riposte allemande. Ce jour-là, 17 officiers et 250 soldats du régiment perdent la vie. Au cours de ces différentes opérations, plusieurs fermes et maisons sont fortement voire complètement détruites. Elles font l'objet de reconstruction dans les années 1950. Enfin, en souvenir de ces événements et en hommage aux combattants qui y ont perdu la vie, une stèle a été érigée sur le chemin entre Yonval et Bienfay. Elle a été inaugurée le 6 juin 1998.
L'activité économique de la commune
Yonval est une commune rurale, dépourvue d'industries, où les habitants vivent pour l'essentiel de l'agriculture. Cette caractéristique se révèle par la quantité de fermes identifiées sur le plan parcellaire de 1820 (20 fermes environ, ce qui correspond au trois quarts du bâti du hameau). Si aujourd'hui, il n'existe plus que trois fermes en exploitation, les anciens corps de ferme marquent encore fortement la physionomie du village. L'activité agricole était également complétée par l'élevage de bétail, concentré pour l'essentiel dans les pâturages des Riez de Yonval. Le lieu-dit, dans lequel la commune possédait plusieurs parcelles, était également dévolu à la chasse. En novembre 1886, une délibération du Conseil municipal de Cambron précise en effet que la chasse dans les Riez de Yonval était jusque-là complètement libre mais que seul un habitant du hameau y allait parfois y chasser (AD Somme, 99 O 1000). Plus tard, à la demande d’un habitant de Mautort, la commune loua les Riez pour cette activité.
Au début du XIXe siècle, la culture des céréales était associée à la présence d'un moulin à vent situé au sud-est du territoire, entre Cambron et Yonval (AD Somme, 3 P 1306/1 : tableau d'assemblage du plan parcellaire de 1820, section D, n°186). Attesté en 1809, il produisait 1050 kilos de farine par jour (AD Somme, 99 S 368813). Les sources bibliographiques ne permettent pas de savoir l'époque à laquelle il a cessé son activité, ni celle à laquelle il a été démonté.
L'activité agricole a aussi un impact sur l'évolution de la population de Yonval. Au cours du XVIIIe siècle, le village de Yonval est relativement modeste et ne compte qu'une soixantaine d’habitants pour environ 20 feux. La population augmente cependant de manière considérable au cours de la première moitié du XIXe siècle pour atteindre 213 habitants en 1851 avant de se stabiliser au cours de la seconde moitié du siècle (212 habitants en 1872). La croissance massive que connaît le hameau s'explique justement par la présence de grandes fermes qui emploient une grande partie des habitants. Après cette croissante démographique qui a ainsi triplé en un demi-siècle, le hameau connaît à nouveau une baisse significative de plus de 25 % de sa population au cours de la première moitié du XXe siècle, passant de 192 habitants en 1906 à 135 habitants en 1968. Là encore cette baisse est à mettre en regard de la cessation progressive de l'activité agricole au cours de la même période. Aujourd'hui, ne subsistent plus que trois exploitations agricoles.
Toutefois, grâce à la proximité d'Abbeville et au développement de deux quartiers pavillonnaires engagés à partir des années 1970, la tendance démographique s'est à nouveau inversée pour atteindre 226 habitants en 2020.
Enfin, vestige d'un activité d'extraction plus ancienne, il existait également une carrière dans les Riez. Elle est indiquée dans le plan parcellaire de 1820 (AD Somme, 3 P 1306/1). Elle appartenait à M. Tillette de Mautort. En 1874, lors de sa mise en adjudication, il est précisé que les habitants de Yonval et de Cambron devront pouvoir continuer "à prendre des moellons à l'ancienne carrière", signe d'une activité déjà éteinte (AD Somme, 99 O 998).
Histoire du bâti
Développement et structuration du village
Le plan parcellaire établi en 1820 permet de visualiser la manière dont le village s’est développé. Les rues de Yonval suivent le même tracé qu'aujourd’hui et la place principale, dite des Marronniers, est également présente avec son puits et son calvaire entouré de quatre arbres. Toutes ces dispositions sont identiques à la structuration actuelle du village. Il en est de même pour le calvaire de Vaux, dessiné également au même endroit. Une mare prenait place au sud du hameau, sur l’emplacement de l’actuelle place du 1er janvier 1986. Elle a été comblée vers les années 1930. Une seconde mare a été installée dans la commune au début du XXe siècle sur un terrain acheté par la commune en 1901 ; elle aurait été construite au nord de Yonval, entre le cimetière et la rue des Aubépines. Cette seconde mare a également été comblée, probablement dans les mêmes années que la première. Aucun cours d'eau ne traverse la commune, la présence des mares était donc essentielle. En plus d’être des points d’eau pour le bétail, elles servaient aussi de réserve en cas d’incendie - assez courant à cause du bâti en bois et des toit en chaume. Un incendie est d'ailleurs relaté dans le Courrier Français à Yonval en 1830. Le 30 novembre de cette année-là il relate que " cinq corps de fermes, huit maisons et leurs dépendances ont été consumées". La perte est évaluée à 100 000 francs (Le Courrier Français, 1830).
La structuration du cœur historique du village a finalement peu évolué depuis le début du XIXe siècle. Le village s'est tout de même beaucoup développé au nord, avec la construction d'environ 45 maisons depuis les années 1970.
Formes parcellaires et implantation du bâti
En 1820, le hameau possédait environ 36 parcelles bâties (AD Somme, 3 P 1306/8), ainsi que la ferme de Vaux. Les fermes qui étaient implantées autour de la place et à l’ouest de la rue d’Abbeville sont principalement de grandes exploitations. À l’ouest de la rue d’Abbeville, les petites parcelles accueillent des fermes plus modestes et de simples habitations. Quelques petites constructions sont implantées sur la rue des Monts, mais elles restent moindre par rapport aux bâtis qui existent désormais au nord de la rue.
Cependant, certains éléments ont été conservés et l’implantation du bâti sur le cadastre napoléonien est encore visible aujourd’hui. L’ouest de la rue d’Abbeville présente d’importants hangars qui viennent clôturer de grandes cours de ferme, tandis qu’à l’est de la rue, les constructions sont plus modestes : maisons et bâtiments agricoles sont généralement plus petits. Également, les grandes fermes qui étaient visibles sur le cadastre napoléonien autour de la place des Marronniers existent toujours. Toutefois un certain nombre d’exceptions sont à noter, dues aux destructions que la commune a subi : la ferme située au 4 rue d’Abbeville (IA80011016) qui date de la Seconde Reconstruction, présente par exemple des caractéristiques différentes des autres fermes de la rue.
Même si l’implantation du bâti ancien reste assez bien conservée dans l’ensemble, la grande majorité des édifices a été très fortement remaniée. Certaines ouvertures sur les habitations en brique du XIXe siècle ont été comblées avec des parpaings. D'autres bâtiments ont été recouverts d’enduit sur la brique d'origine. Des rénovations ont aussi effacé les traces des matériaux anciens.
La Seconde Reconstruction a profondément marqué le centre-bourg du village. Si les bâtiments ont souvent pu profité des anciennes fondations et ont conservé les mêmes emprises et dispositions, les élévations ont souvent été l'occasion d'emploi d'autres matériaux - voire de remplois sous d'autres formes, comme l'usage de parpaings de brique, typiques d'une époque impactée par le manque de matériaux. Ainsi, si l'implantation générale a continué de s'appuyer sur le modèle des fermes picardes traditionnelles, par un emploi plus hétérogène des matériaux, la reconstruction des années 1950 a fait perdre au bâti une certaine cohérence et unité visuelle.
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Période(s)
- Principale : Moyen Age
- Principale : Temps modernes
- Principale : Epoque contemporaine
Le territoire de la commune
La commune fait partie du canton d’Abbeville. Son territoire, qui s'étend sur une superficie de 3,93 km2, se compose du village de Yonval proprement dit et de la ferme de Vaux, installée en écart, au nord-est, à 800 m du village. Yonval est limitrophe des communes de Cambron, au nord-ouest, d'Abbeville au nord-est et Moyenneville au sud-ouest. En 2020, elle comptait 226 habitants pour 103 logements, dont 94 résidences principales (source : INSEE).
Environnement naturel et paysager
Yonval est installée sur le plateau agricole du Vimeu, une plaine crayeuse recouverte de limon. La vallée de la Somme se situe plus au nord du territoire, sur la commune d’Abbeville. Plusieurs dépressions façonnent le paysage du village, comme le fond du Mesnil ou le fond dit Au-dessous-du-mont. À l’est, le Mont-Caubert ferme l’horizon. Les Riez de Yonval sont situés à l'est, en aval de la vallée de la Somme. Cet espace étendu sur plus de 7 ha appartenant en partie à la commune et en partie à des propriétaires privés, est constitué en larris, un type de coteau calcaire particulièrement propice à une utilisation pastorale. La présence de genévriers et plus généralement d'une faune et d'une flore spécifiques aux larris permet à cet espace d'être inscrit dans une zone Natura 2000.
Yonval est un village-courtil, qui se distingue ainsi par sa forme circulaire ou ovale, avec le village et son église au centre. Autour, une ceinture végétale de haies, de vergers, de pâtures et de chemins sert de zone tampon entre l’habitat et les espaces agricoles, intégrant des fonctions écologiques, agricoles et paysagères.
Implantation du bâti
L’habitat est implanté en majorité autour de la rue principale qui s’étend du nord au sud du village : la rue d'Abbeville. Cette rue est prolongée au sud par la place des Marronniers, puis par la place du 1er janvier 1986. Plusieurs rues secondaires partent de la voie principale. Au nord du centre-bourg, la rue du Moulin part à l’ouest vers Cambron, et la rue des Aubépines à l’est, vers la vallée. Au sud du village, la rue des Monts descend vers l’est tandis que la rue du Réservoir s’étend à l’ouest. Les constructions du centre-bourg, dont l’emplacement est parfois ancien, présentent une implantation assez dense tandis que pour l’habitat récent (rue du Réservoir et nord de la rue d’Abbeville), le bâti est plus lâche. Les bâtiments anciens de la commune se concentrent le long de la rue d’Abbeville, entre la rue de l’Aubépine et la place du 1er janvier 1986. Quelques édifices du XIXe siècle sont également présents au nord de la rue des Monts.
Forme de l’habitat
Le bâti du cœur historique du village est construit sur des parcelles en lanières, souvent fermées sur la rue par de grands bâtiments agricoles. Les maisons d’habitation, construites en rez-de-chaussée, cernent la cour dans la parcelle, sur le modèle de la ferme picarde. Certaines fermes sur la place des Marronniers possèdent cependant une cour ouverte quand le hangar agricole a disparu. Quelques maisons d’habitation sont construites avec un de leurs murs pignon sur la rue : c’est le cas dans la rue d’Abbeville ou dans la rue des Monts. La rue du Réservoir et la partie nord du village présentent des maisons de style pavillonnaire construites à partir des années 1970.
Matériaux de construction
Les maisons du centre du village de Yonval sont principalement construites en brique. Le pan de bois majoritaire au XIXe siècle (ill.) a désormais quasiment disparu. Seule une grange située rue d’Abbeville a conservé sa charpente ancienne en bois. Le torchis a cependant été remplacé par de la brique. La commune, qui a été marquée par des destructions lors de la Seconde Guerre mondiale, possède également plusieurs granges reconstruites en parpaings de brique.
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département de la Somme - Archives départementales
- (c) Baie de Somme - Trois Vallées
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- (c) Commune d'Abbeville - Archives et Bibliothèque patrimoniale
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Documents d'archives
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AD Somme. Série B ; sous-série 1 : 1 B 332. Requête de Charles de Rune, seigneur d’Yonval, [...], 1594-1598.
Requête de Charles de Rune, seigneur d’Yonval, pour obtenir, à cause du service personnel qu’il fait au Roi, étant de la compagnie de Monsieur de Saint-Luc, que sa terre d’Yonval, les terres de Vaux, d’Aumatre, de Huval, à Montenoy, appartenant à Antoinette de Vaux, sa femme, veuve en premières noces de François Damerval, et la terre de Maison-Ponthieu appartenant à François Damerval, son beau-fils, soient déchargées de la taxe du ban et arrière-ban.
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AD Somme. Série B ; sous-série B : 1 B 645. Contrat de mariage de Jean de Dompierre, sieur de Buigny, d’Yonval, d’Epagne, et Marie Moisnel, 1609-1615.
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AD Somme. Série S ; sous-série 99 : 99 S 368813. Etat des moulins à blé existant dans le département de la Somme, 1809.
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AD Somme. Série P ; sous-série 3 : 3 P 1306. Plan du cadastre napoléonien - Cambron (Yonval), 1820.
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AD Somme. Série O ; sous-série 99 : 99 O 998. Cambron, avant 1869.
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AD Somme. Série O ; sous-série 99 : 99 O 1000. Cambron. 1870-1939.
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AD Somme. Série PER ; 317 PER 1. Bulletin paroissial de Mautort, Yonval et Vaux. Avril 1907 - mars 1910.
Bibliographie
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BAIE DE SOMME 3 VALLEES. Atlas paysager et patrimonial : Yonval. Abbeville : Baie de Somme 3 vallées, 2015.
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BELLEVAL, René de. Nobiliaire de Ponthieu et de Vimeu. Amiens : Lemer aîné, 1861-1864, Tome 1.
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Généalogie de Tillette : seigneurs de Mautort, Cambron, Hangest-sur-Somme, Eaucourt-sur-Somme, comtes & barons de Mautort, comtes de Clermont-Tonnerre, seigneurs de Belleville. Abbeville : Impr.de Briez, Paillart et Retaux, 1870.
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SEYDOUX, Philippe. Gentilhommières en Picardie. Ponthieu et Vimeu. Paris : Editions de la Morande, 2003.
Périodiques
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DURRIEU, Xavier. CHATELEIN. Intérieur. Le Courrier français, 30 novembre 1830, p.2.
Documents figurés
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Yonval, commune de Cambron, par Oswald Macqueron, 31 août 1963 (AC Abbeville ; B800016201 AB M014).
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Plan parcellaire de la commune de Cambron, dit cadastre napoléonien, tableau d'assemblage, 1820(AD Somme ; 3 P 1306/1).
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Plan parcellaire de la commune de Cambron, dit cadastre napoléonien, section E1, hameau de Yonval, 1820 (AD Somme ; 3 P 1306/7).
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Plan parcellaire de la commune de Cambron, dit cadastre napoléonien, section E2, hameau de Yonval, 1820 (AD Somme ; 3 P 1306/8).
Chercheuse associée à l'inventaire pour l'étude du pays d'art et d'histoire Ponthieu baie de Somme. (2023-2026)
Chercheur de l'Inventaire du patrimoine - Région Hauts-de-France
Cheffe de projet du Pays d'art et d'histoire Ponthieu baie de Somme
Chercheuse associée à l'inventaire pour l'étude du pays d'art et d'histoire Ponthieu baie de Somme. (2023-2026)