Le traitement délicat du visage et l'attitude assez souple permettent de dater l'œuvre de la seconde moitié du 18e siècle. L'exécution assez massive des membres trahit un atelier local.
Comme les statues de saint Laurent, saint Nicolas et sainte Catherine, elle provient de la chapelle Saint-Firmin, construite en 1778 dans le cimetière de Vignacourt, et pour laquelle elle a peut-être été réalisée.
Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France.