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  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Beauvais
  • Commune Beauvais
  • Adresse
  • Cadastre 1975 AV 108, 148
  • Dénominations
    ensemble canonial
  • Parties constituantes non étudiées
    salle capitulaire, cloître, puits, bibliothèque

Le quartier canonial était délimité par six ou sept bornes de grès dont trois se trouvaient dans l'actuelle rue du Musée. Il comportait à l'origine de nombreux bâtiments aujourd'hui disparus, en particulier des maisons appartenant aux chanoines. En 1756, il existait 27 maisons canoniales autour de la cathédrale. L'une des plus remarquables était la maison de la Belle-Image, au n° 12 de la rue de l'Abbé-Gellée (anciennement rue du Cloître-Saint-Pierre), appuyée sur le mur gallo-romain dont elle englobait une tour (la tour Leullier). Son nom provient de la statue placée en façade : une Vierge à l'Enfant du début du 14e siècle (collection particulière). L'origine de la maison remontait à l'époque romane. L'étage supérieur portait des fresques des 13e-14e siècles.

Sa voisine, la maison du Chantre (16, rue de l'abbé-Gellée), également d'origine romane, était surtout célèbre pour le décor du porche flamboyant dans la cour intérieure (armes du chapitre et armes de France sur les deux arcades ouvrant sur la roue, armes de Nicolas d'Argillières sur l'escalier). La plupart de ces maisons canoniales ont été détruites, victimes des bombardements de 1940. Il en reste trois dans la rue de l'Abbé-Gellée. En revanche, le cloître et la salle capitulaire ont été préservés lors des bombardements.

Le palais épiscopal a vraisemblablement été édifié au 12e siècle. Sous l'épiscopat de Philippe de Dreux (1175-1217) des chapelles furent édifiées dans l'enceinte du palais. Renaud de Nanteuil, évêque de 1267 à 1283, aurait agrémenté le palais de vastes jardins.

Au début du 14e siècle, l'évêque Simon de Clermont aurait fait bâtir le corps d'entrée du palais flanqué de deux tours défensives, qui faisait office de donjon. L'aménagement intérieur présentait toutes les commodités de la vie médiévale (cheminées et latrines) ; l'une des salles voûtées présente encore des fragments d'une peinture monumentale dédiée à la musique. L'aile perpendiculaire à l'entrée a été construite vers 1380.

Au 16e siècle, lorsque Louis de Villiers de l'Isle-Adam prit possession de son évêché, le palais médiéval était en mauvais état et ne correspondait plus au goût de l'époque. L'évêque conserva l'entrée, le palais médiéval et la muraille gallo-romaine, mais il fit remanier la façade donnant sur la cour. Cette façade présente quelques éléments de style gothique flamboyant et affiche une volonté d'harmonisation et de symétrie des proportions propre à l'esprit Renaissance. A partir du 18e siècle, les évêques successifs entreprirent de moderniser l'édifice. En 1752, le cardinal de Gesvres fit reconstruire le pont qui mène au jardin et réparer le rempart. Il fit aussi agrandir le jardin et supprimer les meneaux des fenêtres auxquelles on ajouta des balcons en fer forgé.

Saisi comme bien national en 1791, le palais devint le siège de l'administration départementale, d'un tribunal criminel, d'une prison et de la gendarmerie nationale. Devenu préfecture en 1811, il fut rendu aux évêques de Beauvais en 1823, mais en 1846 il devint palais de Justice. Ces multiples changements d'attribution s'accompagnèrent de plusieurs campagnes de travaux et diverses démolitions, notamment celles de la chapelle et du passage menant à la cathédrale. En 1844, les travaux de la façade extérieure furent confiés à Daniel Ramée, attaché à la Commission des Monuments Historiques, qui chercha à restaurer l'état du palais antérieur aux transformations du 18e siècle.

Dès 1974, le Conseil général de l’Oise alloua plusieurs crédits au Musée départemental de l'Oise afin d’effectuer les travaux d'aménagement nécessaires à l’établissement de ses collections au sein de l'ancien palais épiscopal, laissé inhabité depuis le départ du tribunal de grande instance en 1973. Le nouveau musée ouvrit ses portes le 19 juin 1981.

Le cloître canonial, au nord-ouest de la cathédrale, remonte au début du 15e siècle. A la fin du 17e siècle on y ajouta une galerie supérieure qui mettait en communication la cathédrale et l'évêché. La salle capitulaire, qui occupe l'aile orientale du cloître, date du 16e siècle.

La salle du Chapitre, qui occupe le côté est du cloître, fut reconstruite au 16e siècle. Les arcades situées au rez-de-chaussée, murées après la Révolution, ont été dégagées en 1935 lors de la réfection du cloître.

Partie conservée la plus ancienne de l'ensemble canonial, la salle Saint-Pierre a été construite dans la première moitié du 11e siècle. Elle abritait, jusqu'à la Révolution, la bibliothèque et la salle d'archives du Chapitre. le bâtiment, qui comptait à l'origine un rez-de-chaussée et un étage, a subi plusieurs incendies.

En 1846, on y installa la Cour d'Assises et le bâtiment fut agrémenté d'un porche néo-classique, puis un musée jusqu'en 1912, date à laquelle les collections furent déménagées en raison du mauvais état des bâtiments. Utilisé par les autorités militaires lors de la Première Guerre mondiale, il fut ensuite menacé de destruction avant d'être classé en 1927.

Le quartier canonial était délimité par six ou sept bornes en grès, dont trois se trouvaient dans l'actuelle rue du Musée. D'après le plan de Rancurelles (1574) un mur s'élevait au sud de la cathédrale pour en marquer la limite méridionale. La muraille gallo-romaine, toujours existante, marquait l'angle nord-est du quartier canonial. A l'intérieur de cette enceinte s'exerçait depuis 1348 la seule justice du chapitre. La prison du chapitre se trouvait dans une tour détruite en 1795 ou 1808 (?) : le "Gros clocher" ou "clocher gris", qui abritait aussi une partie des cloches de la cathédrale. Cette tour se dressait près du portail méridional de la cathédrale.

En 1756, il existait 27 maisons canoniales autour de la cathédrale. L'une des plus remarquables était la maison de la Belle-Image, au n° 12 de la rue de l'Abbé-Gellée (ancienne rue du Cloître-Saint-Pierre), appuyée sur le mur gallo-romain dont elle englobait une tour (la tour Leullier). Son nom provient d'une statue de Vierge à l'Enfant du début du 14e siècle qui en ornait la façade (collection particulière). L'origine de la maison remontait à l'époque romane. L'étage supérieur portait des fresques des 13e-14e siècles. Elle a servi d'évêché de 1905 à 1940, date à laquelle elle a été détruite mais il en subsiste quelques vestiges, notamment la tour gallo-romaine surélevée au 12e siècle. Des fragments sculptés provenant de la maison de la Belle-Image sont déposés dans la Galerie Nationale de la Tapisserie.

Sa voisine, la maison du Chantre (16, rue de l'abbé-Gellée), également d'origine romane, était surtout célèbre pour le décor du porche flamboyant dans la cour intérieure (armes du chapitre et armes de France sur les deux arcades ouvrant sur la roue, armes de Nicolas d'Argillières sur l'escalier). La plupart de ces maisons canoniales ont été détruites, victimes des bombardements de 1940. Il en reste trois dans la rue de l'Abbé-Gellée. En revanche, le palais épiscopal, le cloître, la salle capitulaire et la salle Saint-Pierre ont été préservés lors des bombardements.

Le palais épiscopal a vraisemblablement été édifié au 12e siècle, les fouilles archéologiques effectuées dans son enceinte n'ayant révélé aucune construction antérieure en dehors du mur gallo-romain sur lequel s'appuie l'édifice.

Au rez-de-chaussée se trouvait une grande salle divisée en deux parties inégales par une série de quatre arcades en plein cintre. Cette salle était accessible de l'extérieur par une porte située à l'opposé des remparts gallo-romains. Deux portes se faisaient vis-à-vis à chaque extrémité, l'une menant à un petit escalier situé sous l'oratoire actuel et l'autre à un escalier disparu lors de réaménagements antérieurs. Au premier étage se trouvait également une grande salle dont les usages étaient multiples. Sous l'épiscopat de Philippe de Dreux (1175-1217) des chapelles furent édifiées dans l'enceinte du palais. Renaud de Nanteuil, évêque de 1267 à 1283, aurait agrémenté le palais de vastes jardins.

Au début du 14e siècle, on attribue à l'évêque Simon de Clermont la construction du corps d'entrée du palais flanqué de deux tours défensives, qui faisait aussi office de donjon. L'aménagement intérieur présentait toutes les commodités de la vie médiévale (cheminées et latrines) et des salles voûtées prenaient dans les deux tours ainsi que dans le bâtiment attenant ; l'une d'elles présente encore des fragments d'une peinture monumentale dédiée à la musique. L'aile perpendiculaire à l'entrée a été construite vers 1380.

Au 16e siècle, lorsque Louis de Villiers de l'Isle-Adam prit possession de son évêché, le palais médiéval était en mauvais état et ne correspondait plus au goût de l'époque. L'évêque conserva l'entrée, le palais médiéval et la muraille gallo-romaine, mais il fit construire les caves et remanier la façade donnant sur la cour.

A partir du 18e siècle, les évêques successifs entreprirent de moderniser l'édifice. En 1752, le cardinal de Gesvres fit reconstruire le pont qui mène au jardin et réparer le rempart. Il fit aussi agrandir le jardin et supprimer les meneaux des fenêtres auxquelles on ajouta des balcons en fer forgé.

Saisi comme bien national en 1791, le palais devint le siège de l'administration départementale, d'un tribunal criminel (dans les deux tours), d'une prison et de la gendarmerie nationale. Devenu préfecture en 1811, il fut rendu aux évêques de Beauvais en 1823, mais en 1846 il devint palais de Justice.

Ces multiples changements d'attribution entraînèrent plusieurs campagnes de travaux et diverses démolitions, notamment celles de la chapelle et du passage menant à la cathédrale. En 1844, les travaux de la façade extérieure furent confiés à Daniel Ramée, attaché à la Commission des Monuments Historiques, qui chercha à restaurer l'état du palais antérieur aux transformations du 18e siècle.

Dès 1974, le Conseil général de l’Oise alloua plusieurs crédits au Musée départemental de l'Oise afin d’effectuer les travaux d'aménagement nécessaires à l’établissement de ses collections au sein de l'ancien palais épiscopal, laissé inhabité depuis le départ du tribunal de grande instance en 1973. Le nouveau musée ouvrit ses portes le 19 juin 1981.

Partie conservée la plus ancienne de l'ensemble canonial, la salle Saint-Pierre a été construite en pastoureaux, comme la Basse-Oeuvre, dans la première moitié du 11e siècle. Elle abritait, jusqu'à la Révolution, la bibliothèque et la salle d'archives du Chapitre. Le bâtiment, qui comptait à l'origine un rez-de-chaussée et un étage, a subi plusieurs incendies.

En 1846, on y installa la Cour d'Assises et le bâtiment fut agrémenté d'un porche néo-classique, puis un musée jusqu'en 1912, date à laquelle les collections furent déménagées à cause du mauvais état des bâtiments. Utilisé par les autorités militaires lors de la Première Guerre mondiale, il fut ensuite menacé de destruction avant d'être classé en 1927.

La salle du Chapitre, qui occupe le côté est du cloître, fut reconstruite au 16e siècle. Les arcades situées au rez-de-chaussée, murées après la Révolution, ont été dégagées en 1935 lors de la réfection du cloître. Une tourelle permettant de monter au premier étage et au grenier a été démolie par une bombe en 1940.

Le cloître canonial, au nord-ouest de la cathédrale, remonte au début du 15e siècle. La galerie sud et une travée de la galerie est furent construites sous l'épiscopat de Pierre de Savoisy (1398-1412). Le reste de la galerie orientale est occupé par la salle capitulaire bâtie au 16e siècle. En 1698, l'aspect du cloître a été modifié par l'ajout, au-dessus de la galerie sud d'un passage couvert, mettant en communication la cathédrale et le palais épiscopal. Il permettait à l'évêque de gagner directement la cathédrale depuis son palais grâce à une arche qui enjambait la rue. Pour consolider cette nouvelle construction on ajouta des contreforts, ainsi que des tirants en fer au niveau des arcades. En 1807, le cloître fut en partie muré pour le séparer de la Cour d'Assises et sa galerie sud servit de dépôt lapidaire lorsque la salle Saint-Pierre devint Musée municipal, jusqu'en 1912.

Abandonné et dans un état vétuste il fut restauré en 1935 grâce à l'abbé Tesson. Toutefois, le sol du jardin est encore exhaussé de plus de 60 cm.

D'autres bâtiments dépendant du chapitre ont disparu à la suite de la Révolution, notamment la tour qui servait de prison près du portail sud de la cathédrale. Le reste du quartier canonial a en grande partie disparu lors des bombardements de 1940.

  • Période(s)
    • Principale : 11e siècle, 15e siècle, 16e siècle
    • Secondaire : 19e siècle

L'ensemble canonial se compose du palais épiscopal, du cloître, de la salle Saint-Pierre et de la salle capitulaire.

Le palais épiscopal a été construit à l'ouest de la cathédrale, contre le rempart romain en partie remployé dans le corps de logis. On accède au palais par une porte monumentale constituée de deux tours donnant sur la cour d'honneur. Les deux tours comptent deux étages et sont surmontées de hauts toits en poivrière. Elles sont décorées, à la naissance du toit, d'une plate-bande sculptée. La porte possède une voûte ogivale reposant sur des colonnettes à chapiteaux sculptés et est surmontée de créneaux, qui lui donnent l'allure d'une forteresse.

La façade principale de l'ancien palais épiscopal donne sur une cour-jardin (la cour d'honneur) quadrangulaire. L'édifice, construit en pierre calcaire, est couvert d'un toit à longs pans couvert d'ardoises. Il compte deux étages carrés et un étage de combles. La façade, très ornée, comprend deux tourelles polygonales, trois portes surmontées d'un gâble en accolade (au rez-de-chaussée) que l'on retrouve au-dessus des fenêtres du 1er étage et cinq fenêtres à chien-assis sur le toit. L'une des tourelles contient un escalier en vis et la seconde une petite chapelle à cinq fenêtres ogivales. La façade nord présente une tour romane ayant pour base une tour de défense gallo-romaine.

Le cloître se situe au nord-ouest de la cathédrale, il entoure un jardin au centre duquel se trouve une croix en fer forgé. Il est formé par une série d'arcades trilobées reposant sur un stylobate. Chacune des arcades brisées est soulignée d'un tore reposant sur des petites colonnettes. Une galerie supérieure à pans de bois et briques prend place au sud du cloître. Elle mène aujourd'hui à la salle Saint-Pierre, construite en petit appareil, qui comprenait un rez-de-chaussée et un étage. Les murs sont percés de petites ouvertures semblables à des meurtrières.

La salle capitulaire occupe l'angle nord-ouest du cloître. Elle est construite sur deux niveaux : la salle se trouve à l'étage et le rez-de-chaussée est occupé par une galerie voûtée donnant accès au jardin claustral. Elle a été construite en pierre calcaire et possède un toit à longs pans couvert de tuiles plates.

  • Murs
    • calcaire moyen appareil
    • petit appareil
    • brique
    • bois pan de bois
  • Toits
    tuile plate
  • Étages
    2 étages carrés, étage de comble
  • Couvertures
    • toit à longs pans pignon découvert
  • Escaliers
    • escalier en vis
  • Techniques
    • sculpture
  • Précision représentations

    Les fenêtres à chien-assis du toit sont surmontées de clochetons et ornées des armoiries de France et des évêques Philippe de Dreux et Villiers de l'Isle-Adam.

    Armes sur les corbeaux sculptés du cloître : armes de l'évêché de Beauvais, de Mgr. Le Senne, du chapitre de la cathédrale, de Pierre de Savoisy. Les initiales de l'abbé Tesson figurent aussi sur l'un des corbeaux.

  • Statut de la propriété
    propriété de l'Etat
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Protections
    classé MH, 1927/12/24

Bibliographie

  • BONNET-LABORDERIE, Philippe. Le cloître de la cathédrale. In Beauvais gothique. Dossier du GEMOB n° 2, 1975.

    p. 24-25
  • BONNET-LABORDERIE, Philippe. Premier inventaire des restes architecturaux du XIe siècle dans l'Oise. In L'Art roman dans l'Oise et ses environs. Actes du colloque (7 et 8 octobre 1995 ; Beauvais). Beauvais : GEMOB, 1997.

    p. 67
  • BONNET-LABORDERIE, Pierrette. Les maisons canoniales. Beauvais en 1789. Bulletin du GEMOB, 1989, n° 35-36.

    p. 17
  • DELADREUE, Louis-Eudore (Abbé). Les maisons canoniales du chapitre de Beauvais et leurs possesseurs. Mémoires de la Société Académique de l'Oise. Beauvais : Librairie de Mme Veuve Pineau, 1870.

    p. 291-347
  • GARRIGOU GRANDCHAMP, Pierre. L'architecture civile romane des pays de l'Oise. In L'Art roman dans l'Oise et ses environs. Actes du colloque (7 et 8 octobre 1995 ; Beauvais). Beauvais : GEMOB, 1997.

    p. 176-204
  • GARRIGOU GRANDCHAMP, Pierre. "Inventaire des édifices domestiques romans et gothiques des XIIe, XIIIe et XIVe siècles dans les pays de l'Oise". SAMF, mars 1999.

  • GRAVES, Louis. Précis statistique sur le canton de Beauvais, arrondissement de Beauvais (Oise). Beauvais : Achille Desjardins, 1851.

    p. 115
  • LEMAN, P. Fouilles de Beauvais, Place Saint-Pierre. Campagne été 1969 (10 mai-10 septembre). Rapport de fouilles (consultable à la Sous-direction de l'archéologie).

  • PICARDIE. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. La cathédrale Saint-Pierre de Beauvais, architecture, mobilier et trésor. Réd. Judith Förstel, Aline Magnien, Florian Meunier et al. ; photogr. Laurent Jumel, Thierry Lefébure, Irwin Leullier. Amiens : AGIR-Pic, 2000 (Images du Patrimoine, 194).

    p. 42-43
  • SALMON, Marie-José. Un palais-musée à Beauvais : tours et détours de l'ancienne demeure épiscopale. Beauvais : Imprimerie centrale, 1984.

  • TRAVAINI, Simone et BONNET-LABORDERIE, Pierrette. Les maisons canoniales. In Beauvais gothique. Dossier du GEMOB n° 2, 1975.

    p. 19-23

Documents figurés

  • Maison canoniale, place Saint-Pierre, dessin par Tavernier de Jonquières (AD Oise. Série F ; 1 Fi 1b25.137) et 2 Fi 1b 25.93.

  • Maison canoniale, place Saint-Pierre, dessin par Deroy (AD Oise. Série F ; 2 Fi 1b 25.93).

  • Maison canoniale, place Saint-Pierre, dessin anonyme (BN Est. Ve.26i).

  • Plan de Rancurelles, 1574. In GEMOB. Aspects et permanences du Beauvais d'autrefois. Bulletin du GEMOB, 1978, n° 5.

    p. 4-5
  • Vue panoramique de la ville de Beauvais, Joachim Duviert, 1610. In GEMOB. Riches heures du passé beauvaisien. Bulletin du GEMOB, 1980, n° 8.

    p. 2-3
Date(s) d'enquête : 1996; Date(s) de rédaction : 1997, 2014