Dossier collectif IA80001518 | Réalisé par
Justome Elisabeth
Justome Elisabeth

Chercheur à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie de 2002 à 2006, en charge du recensement du patrimoine balnéaire de la côte picarde.

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  • patrimoine de la villégiature, La Côte picarde
Les maisons de villégiature de la ville de Saint-Valery-sur-Somme
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
  • (c) Département de la Somme
  • (c) SMACOPI

Dossier non géolocalisé

  • Dénominations
    maison
  • Aires d'études
    Trois Vallées
  • Adresse
    • Commune : Saint-Valery-sur-Somme

1) INTRODUCTION

Le recensement des maisons de la commune de Saint-Valery-sur-Somme a été effectué entre 2003 et 2005. Les limites géographiques de l'étude ont été définies au regard de la fonction historique de chaque quartier, et le mode de recensement varie selon ces données. Il a été réalisé de façon quasi exhaustive dans les quartiers fondés pour les besoins de la villégiature (Le Romerel). Le recensement a été plus extensif dans les quartiers plus anciens, où la villégiature a pu se développer, mais de façon plus diffuse, et où l´habitat local était déjà majoritaire : nous parlons ici des quartiers de la Ville-Haute et de la Ville-Basse.

Les dates limites du recensement sont définies par la logique de la thématique : la date ante quem est celle des premières constructions liées à la villégiature, à savoir vers 1880, et la date post quem est motivée par la Seconde Guerre mondiale, critère chronologique pour l'aire d'étude de la Côte picarde.

Les édifices tardifs ou fortement remaniés en façade n'ont pas été pris en compte afin de ne pas fausser les statistiques.

Les maisons recensées sont généralement visibles depuis la rue, malgré la végétation environnante. Par contre, les façades postérieures et les aménagements de fond de parcelle sont le plus souvent difficilement visibles. Certaines maisons ont toutefois pu être visitées, avec l'aimable autorisation de leurs propriétaires. Ces visites ont permis de relever le mode de distribution, et la perception depuis l'intérieur de l'habitat, notamment depuis les bow-windows, de l'ambiance extérieure (vue sur mer, proximité des constructions), et des aménagements de la parcelle.

Dans le cadre du recensement, 19 maisons sont l'objet d'une notice. La plupart des édifices sont concentrés dans le quartier du Romerel, véritable quartier de villégiature de la ville. Parmi ceux-ci, 4 ont été sélectionnés selon plusieurs critères :

- chaque maître d’œuvre rencontré est illustré (dans la mesure où l'édifice est bien conservé)

- chaque période est illustrée

- chaque famille d'édifice est illustrée

- édifice de type unicum, avec décor, ou style, ou position sur le site exceptionnel.

2) CHRONOLOGIE ET ATTRIBUTION DU CORPUS

2-a) Chronologie

Un des premiers éléments utile à la datation du corpus reste les dates portées directement sur l'édifice. Malheureusement, aucune date portée n´a pu être relevée.

La recherche en archives n'a pas été fructueuse pour dater les maisons et les immeubles : aucun plan daté n'a été trouvé.

Par ailleurs, 2 maisons ont été datées par tradition orale :

- Maison dite La Tour : Jeanne-d'Arc (quai) 071, (1969 AB 442, 443, 444, 445, 22), 1885

- Maison dite La Gribane : Jeanne-d'Arc (quai) 297, (1969 AB 5, 6), 1932

Les 17 autres maisons (soit 89%) ont été datées par travaux historiques, en quart de siècle, grâce au repérage sur le terrain, aux sources bibliographiques et aux dépouillements des matrices cadastrales. Ces dernières ont permis de connaître la date de construction de l´édifice avec une incertitude de trois années, période de latence maximale entre la construction et la première date d'imposition (dans la notice cette information apparaît dans la rubrique des 'données complémentaires' et non dans le champ 'date' qui doit renvoyer à une date certaine). La connaissance de l'histoire urbaine assure une date post quem de base.

Répartition des datations en quart de siècle (y compris les maisons datées par tradition orale) :

- 4e quart 19e siècle : 1 (5%)

- 1er quart 20e siècle : 8 (42%)

- limite 19e siècle 20e siècle : 9 (47%)

- 2e quart 20e siècle : 1 (5%)

Près de 95 % (18 édifices) du recensement concerne des édifices construits entre 1875-1925.

2-b) Attributions

Comme pour la datation, une des premières façons d'attribuer un corpus est de vérifier les signatures portées sur les édifices. L'habitat de villégiature, surtout quand il est visible depuis la rue, est un support très recherché par les maîtres d'oeuvre, l'ensemble des maisons construites faisant office de catalogue in situ.

Au sein du corpus, 3 maisons ont pu être attribuées (16%). Parmi ceux-ci, 1 édifice porte la signature du maître d'oeuvre :

Käppler Léon, architecte

- Maison : Chantier (rue du) 245, (1969 AI 356)

1 maison a été attribuée par tradition orale, lors du recensement et d'une rencontre avec les actuels propriétaires :

Ansart Pierre, architecte

- Maison dite La Tour : Jeanne-d'Arc (quai) 071, (1969 AB 442, 443, 444, 445, 22)

Par ailleurs, 1 édifice a été attribué par analyse stylistique, attesté par une photographie publiée dans un recueil :

Ansart Pierre, architecte

- Maison dite La Gribane : Jeanne-d'Arc (quai) 297, (1969 AB 5, 6)

3) LES CARACTÈRES ARCHITECTURAUX

Situation

Les maisons de villégiature de Saint-Valery-sur-Somme sont implantées au plus près de la baie de Somme, dans le quartier du Romerel, ou près de sites stratégiques, comme la gare. C´est donc l´agrément de la vue ou des commodités qui dictent les constructions.

Sur toute l'agglomération, 10 édifices sont construits au milieu de la parcelle (soit 53%), 3 en retrait de la rue (et en limite de parcelle, mitoyen ou non, soit 16%), et 6 sont à l'aplomb de la rue (32%).

La volonté de s'éloigner de la rue est majoritaire (68%), de même que celle d'éviter la mitoyenneté (32% des habitations sont en mitoyenneté, double ou partielle). Les maisons implantées le long de la digue, au quartier du Romerel sont toutes dans ce cas, ce qui confère un caractère aéré au paysage urbain. Par contre, celles implantées dans le même quartier, mais le long du quai du Romerel, sont assez souvent implantées à l'aplomb de la rue, parfois en mitoyenneté sur une façade latérale : sans pour autant former un front uni, le caractère urbain est plus marqué.

Les parcelles du quartier du Romerel, vastes, ont pourtant le désagrément d'être plus profondes que large. Certaines sont traversantes et ont accès à la fois à la digue, et au quai du Romerel.

Composition d'ensemble

La parcelle est majoritairement composée d'un jardin (84% du corpus). Plus ou moins grand, il est généralement planté d´une pelouse. Le long de la digue, ce jardin est souvent vaste et arboré. La digue étant elle-même plantée d´arbres, les maisons se trouvent comme noyées dans la verdure [fig. 1]. Quelques témoignages oraux relatent qu´au début du siècle, certains de ces jardins étaient en partie potagers. Rien ne nous permet de le vérifier, mais l´on sait que les terres d´alluvions étaient déjà très fertiles et propices au maraîchage avant la création du lotissement.

Les communs des constructions se composent le plus souvent de garages (26%), isolés et en fond de parcelle. Ceux-ci sont construits postérieurement à la maison ou remplacent d´anciennes remises : la villa Les Martinets II montre par exemple que l´accès à ces communs était prévu dès l´origine grâce à un accès latéral [fig. 2]. La plupart des autres communs visibles sur les parcelles ont tous perdu leur fonction d´origine et ont été remaniés, de telle sorte qu´il est souvent difficile de les qualifier. La villa La Tour conserve une construction qui contenait un garage en soubassement, une salle de billard au rez-de-chaussée surélevé, et un logement pour le gardien au niveau supérieur [fig. 3].

Matériaux et mise en œuvre

Le matériau de prédilection pour la construction des maisons et des immeubles est la brique (100%). Dans 1 cas, la brique a été supposée, sous un essentage de matériau synthétique, au vu de la période de construction.

La brique est entièrement apparente dans 9 cas (47%), dans les autres cas, elle est partiellement recouverte d´un enduit ou d´un essentage de matériau synthétique assurant une protection contre l´humidité (2 cas). Ce gros-oeuvre est dans 6 cas un élément de décor grâce à l'emploi d'un appareil mixte de briques de couleur rouge et ocre, formant des motifs géométriques et un effet chromatique sur le nu du mur (soit 32% des briques apparentes). La villa La Gribane, plus tardive, reprend la même idée d´alternance d´appareil, avec des briques et un appareil de ciment. Le badigeon recouvre 2 maisons : la villa Armide présente une alternance de badigeon de couleur blanche et rouge, imitant les assises alternées des gros-oeuvre en brique et craie [fig. 4]. Le motif du pan de bois en partie supérieure de l'élévation est présent dans 4 cas (21%). Deux maisons présentent de vrais pans de bois, les deux autres sont de faux pans de bois : l´un présente un décor peint, l´autre (la Tour), un décor en ciment, allant jusqu´à imiter les veines du bois.

La référence à la tradition de construction locale est donc exploitée par tous les moyens : les assises alternées de briques et craies sont imitées par des badigeons ou un appareil de ciment, les pans de bois, que l´on trouve encore dans les quartiers anciens de la ville, sont peints ou en ciment, portés sur le gros-oeuvre.

Structure

La majorité des édifices est surélevée, par un étage de soubassement (53%) ou par un sous-sol (10%), alors que 37% ne sont pas surélevés (3 édifices possèdent un sous-sol n´impliquant aucune surélévation). L'importance du soubassement s'explique par les terrains du Romerel, situés en contrebas de la rue ou de la digue, dont il est nécessaire de racheter le dénivelé.

16 maisons présentent au moins 1 étage-carré (84%) et 2 possèdent 2 étages-carrés (10%), soit un total de 18 maisons à étages-carrés (95% du corpus).

Les maisons avec 1 étage-carré présentent généralement un étage supplémentaire (14 cas soit 87,5% des maisons à 1 étage-carré), principalement un étage de comble (11 cas) ou un étage en surcroît (3 cas). Les édifices de 2 étages carrés sont tous surélevés, par un étage de comble (1 cas) ou par un étage à surcroît (1 cas).

Les habitations sont donc assez hautes. Le fait que les maisons soient construites sur de vastes terrains, plus profonds que larges, pourrait expliquer en partie cette situation. Elle pourrait aussi s´expliquer par la volonté de voir le paysage de la baie de Somme, et la nécessité de se surélever afin d´appréhender un terrain plat.

Élévations

La majorité des constructions présente 3 travées en façade (13 cas soit 68%), alors que 2 maisons ont 2 travées (10%), et 4 en ont une seule (21%).

Les maisons de trois travées en façade présentent généralement une entrée médiane, alors que les maisons de deux ou une seule travée voient leur entrée rejetée sur une façade latérale. Cette solution assure un dégagement optimal de la pièce en façade et témoigne de l´affranchissement des contraintes de la mitoyenneté, qui ne permet pas cette formule.

Certaines élévations sont animées par des décrochements du plan, formant une travée latérale en avancée (8 cas, soit 42% du corpus total). Cette avancée met en valeur une travée, par ailleurs animée des décrochements du toit, avec ferme débordante et aisseliers, ou demi-croupe.

Les élévations des maisons régulièrement percées de baies, sont aussi caractérisées par des décrochements de façade dus non pas à des avancées du mur, mais à l'adjonction d'excroissances caractéristiques des sites de villégiature. Les balcons sont très rares, présents sur 3 édifices (16% du corpus). Comparativement, les bow-windows ne sont pas plus fréquents avec 5 occurrences (26% du corpus). La formule du bow-window surmonté d´un balcon regroupe ces deux notions, avec 4 cas (21%), tous situés en front de baie, le long de la digue.

1 seule maison présente une tourelle, contenant une cage d´escalier (Guillaume de Normandie). 9 maisons présentent un auvent ou une marquise protégeant l´entrée principale et contribuant à animer les volumes. Parmi elles, une maison présente un porche hors-oeuvre en bois et vitré.

Les habitations sont donc assez peu animées, tant par leur volume que les appendices qui peuvent leur être appliqués : 6 édifices ne présentent aucune animation (32%).

Matériaux et formes de la couverture

Les maisons sont majoritairement couvertes en ardoise (14 soit 74%), mais l´on dénombre aussi 4 édifices couverts de tuile (21%) répartis en 1 tuile mécanique et 2 tuiles plates. Une habitation présente un cas très rare à Saint-Valery-sur-Somme et sur toute la Côte picarde, de tuile plombifère [fig. 5].

De même que pour le matériau, la forme de la couverture est assez peu diversifiée : 17 maisons sont couvertes à longs-pans (89%), 14 avec pignons découverts et 3 avec croupes.

9 sont animés par une noue formant décrochement (n'ont pas été comptabilisées les noues des fenêtres de lucarnes). Dans 8 cas la noue forme un pignon en façade avec ferme débordante et une avancée de la travée latérale.

Styles et décors

Le plus souvent, aucun style n'est clairement affiché, seuls les détails orientent les édifices vers tel ou tel courant.

Nous notons cependant une propension à exploiter l´idée de chalet, avec un pignon en façade et ferme débordante, agrémentée ou non de lambrequins, et d´aisseliers [fig. 6]. Ce chalet connaît une évolution morphologique par adjonction de travées latérales en retrait, modèle fréquemment rencontré dans les recueils d´architecture et à Saint-Valery-sur-Somme [fig. 7]. Nous pouvons par ailleurs noter que l´ensemble des maisons de ce style présente les mêmes caractéristiques, à savoir des baies couvertes d´une plate-bande hormis celle du pignon, couverte en plein-cintre. Il est possible que ces habitations aient pu être dessinées par le même maître-d´œuvre.

Le style normand, est aussi exploité, grâce à l´utilisation du pan de bois : il est d´ailleurs intéressant de noter que plus que le style normand, c´est le style local qui est repris ; le pan de bois étant omniprésent dans la vieille ville. L´éclectisme pousse certains architectes à mêler le pan de bois rustique au style néo-Louis XIII par l´emploi d´un gros-oeuvre de briques et pierre [fig. 8].

Au cours du 2e quart du 20e siècle, l´architecte Pierre Ansart entre dans la mouvance régionaliste, inspiré par l´architecture traditionnelle locale. Son choix se porte surtout dans l´exploitation du caractère décoratif du gros-oeuvre, soit par adjonction de faux pans de bois en ciment, soit par l´utilisation d´un appareil mixte [fig. 9].

Le décor porté est majoritairement composé de céramique (9 occurrences, soit 47% du corpus), mais toujours de façon très discrète, grâce à des briques émaillées placées ponctuellement aux encadrements des baies, ou des frises placées sur le faîte des murs [fig. 10]. Les décors sculptés sont assez bien représentés (6 cas, soit 32%). Ce sont le plus souvent les clés de plate-bandes qui sont sculptées de têtes de femmes [fig. 11] ou de natures mortes avec poissons et gibier (Villa des Pilets). Nous trouvons aussi deux représentations associées aux réalisations de l´architecte Ansart, et renvoyant à l´histoire du site : le départ de Guillaume Le Conquérant depuis le port de Saint-Valery en 1066 [fig. 12] et la flotte normande à la conquête du trône d´Angleterre [fig. 13].

Le décor de fonderie est marginal (3 cas), uniquement présent en garde-corps de baie. Un seul décor de mosaïque a été recensé : il représente un milouin (de la famille des canards) et symbolise à lui seul l´importance de la chasse pour le développement de la villégiature dans la station [fig. 14].

Distribution intérieure

La visite de quelques intérieurs a permis de constater qu'un certain nombre de maisons disposaient de pièces de service en soubassement, notamment d'une cuisine (Armide, La Tour). Pour les besoins de la vie moderne, celles-ci ont été réaménagées au rez-de-chaussée, généralement dans des extensions : actuellement, les dispositions anciennes ne sont plus visibles, ni même les éventuels monte-plats. La grande villa actuellement hôtel de voyageurs 'Guillaume de Normandie' a conservé les pièces de service en soubassement, pour les besoins de la restauration. Ces espaces de services isolés du reste de la construction résultent d'une conception bourgeoise de la distribution intérieure de la maison, et sous-entend le service d'un personnel domestique. La disposition est par ailleurs facilitée par la présence d'un étage de soubassement induit par le dénivelé de terrain.

Les pièces de réception sont naturellement orientées vers la baie de Somme, pour les maisons construites le long de la digue. Afin d'optimiser la façade sur baie, les entrées sont souvent percées en façade latérale [fig. 15].

4) NOTE DE SYNTHESE

Typologie de l'habitat de villégiature

La villa

Selon la définition communément admise, la villa est une construction destinée à la villégiature, construite en milieu de parcelle. Elle est donc totalement indépendante des constructions voisines. 16 maisons de ce type ont été recensées, parmi elles, les Martinets II est construite à l´aplomb de la rue et en mitoyenneté partielle.

Toutes ces maisons ont la particularité de présenter un volume dynamique, avec un ou plusieurs décrochements, tant au niveau du plan que de la toiture. Le plus souvent les deux façades, antérieure et postérieure, voire une des façades latérales, sont travaillées, tant dans les volumes que les décors.

La maison de ville à un ou plusieurs étages-carrés

Selon la définition communément admise, la maison de ville est une construction entre mitoyens et à l'aplomb de la rue.

Elles sont minoritaires à Saint-Valery-sur-Somme, la villégiature étant implantée hors des milieux urbains anciens. Les trois maisons recensées comme tel ont la particularité de ne présenter qu´une façade travaillée, celle établie à l´aplomb de la rue. Il en résulte une pauvreté des agréments généralement associés à la villégiature, et un style inspiré de la tradition urbaine régionale [fig. 16].

Conclusion

Les maisons recensées à Saint-Valery-sur-Somme ont la particularité d'être des maisons destinées à la villégiature de leur propriétaire. Il en résulte une exploitation de l'agrément offert par le site : de grandes parcelles, la captation de la vue, le confort d'une grande maison, et l'affirmation du statut de propriétaire. La grande majorité d'entre elles n'a pas subi de dommages extérieurs, malgré quelques sinistres consécutifs à la Seconde Guerre mondiale. De même, les dénaturations sont minoritaires. Tout juste pouvons nous supposer que les fermes débordantes des pignons en façade ont perdu leurs aisseliers décoratifs. Encore actuellement, ces habitations sont des constructions mono familiales, ce qui a contribué à leur bon entretien.

  • Période(s)
    • Principale : 19e siècle, 20e siècle
  • Toits
  • Décompte des œuvres
    • bâti INSEE 1 647
    • repérées 19
    • étudiées 4

Bibliographie

  • ANSART, Pierre, ANSART, Gérard. Pierre Ansart, architecte, Gérard Ansart, décorateur, Amiens. Architecture et décoration... Strasbourg : Société Française d' Editions d'Art, [1938].

    pl. 5

Annexes

  • Annexe n°1
Date d'enquête 2002 ; Date(s) de rédaction 2004
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
(c) Département de la Somme
(c) SMACOPI
Justome Elisabeth
Justome Elisabeth

Chercheur à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie de 2002 à 2006, en charge du recensement du patrimoine balnéaire de la côte picarde.

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