Peu avant 1835, l'hôtel des postes se trouvait situé au n° 26 de la place du Commandant-Louis-Daudré, dans des locaux qui accueillent ensuite un hôtel de voyageurs puis la sous-préfecture.
Il est ensuite installé contre l'hôtel de ville, sa façade donnant sur la rue du Paon, sur un emplacement incorporé à l'hôtel de ville lors de la reconstruction. Ll est ensuite installé contre l'hôtel de ville, sa façade donnant sur la rue du Paon, sur un emplacement incorporé à l'hôtel de ville lors de la reconstruction. Le projet de construction d'un nouveau bureau de poste, sur un emplacement plus approprié, est stoppé par la guerre.
Les locaux de la poste sont incendiés par les allemands en 1914. Au lendemain de la première guerre, elle est installée dans un baraquement édifié en 1922, dont l'état sanitaire devient vite très préoccupant, entraînant les protestations énergiques de la municipalité (lettre du 8 août 1925). Alors que les projets d'un nouvel établissement sont prêts, dès le 25 avril 1925, et que la commune a offert à l'administration des Postes un terrain rue du Tigre (rue Georges-Clémenceau), le nouvel hôtel des postes est reconstruit en 1928 (date portée) à l'angle de la rue Duparchy et de la rue du Tigre ouverte en 1908 (actuelle rue Georges-Clémenceau), sur l'emplacement du bastion Richelieu (ou de la Poudrière, du nom d'une poudrière du 17e siècle). La poste est signalée dans l'annuaire de 1932.
La façade porte la signature de l'architecte Bessine architecte DPLG et la date 1928.