Dossier d’œuvre architecture IA59005704 | Réalisé par
Girard Karine (Rédacteur)
Girard Karine

Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.

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  • inventaire topographique, Le Quesnoy centre
Ancien hôtel particulier "Le Château", puis gendarmerie, actuellement Musée Néo-Zélandais de la Libération
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communauté de communes du Pays de Mormal
  • Commune Le Quesnoy
  • Adresse 18 rue Achille Carlier
  • Cadastre 2024 OE 962 à 970, 1646, 1891  ; 1897 E 228, 229, 230, 231 et 232 228 : magasin 229 : bâtiment - cour 230 : maison - sol 231 : jardin d'agrément 232 : serre ; 1817 E 199, 200, 201, 202 et 231 199 : maison 200, 201, 202 : bâtiments 231 : jardin - pâtures
  • Dénominations
    hôtel, gendarmerie
  • Précision dénomination
    hôtel particulier
  • Appellations
    Le Château, Musée Néo-Zélandais de la Libération – TE ARAWHATA
  • Destinations
    musée

Les archives relatives au bâti privé ayant disparu, seule l'étude des cartes et cadastres anciens ou les vues aériennes réalisées par l'IGN à partir de 1929 permet d'apporter des éléments de datation. Ceci est valable pour les constructions ayant précédé l'hôtel particulier visible aujourd'hui mais également pour les logements de fonction de l'ancienne gendarmerie.

Sur les cartes des XVIIe et XVIIIe siècles, par exemple antérieures à 1712 (ill.) ou à 1787 (ill.), la parcelle est occupée par le couvent des Dames Sainte-Elisabeth et contient un ensemble de bâtiments et de terres apparemment garnies de carrés potagers et d'un verger.

Les premiers bâtiments sont organisés autour d'une cour carrée. Ils sont précédés de deux petits pavillons de plan carré, ainsi que des terres. C'est encore le cas sur le plan du Quesnoy établi en 1794 conservé aux AD du Nord (ill.). En revanche, sur le cadastre napoléonien de 1817 (AD Nord, ill.), l'emplacement est occupé par une ferme entourée de terres, ainsi que l'indique l'état de section du cadastre de 1817 (AD Nord, 35P1116). Les bâtiments du couvent ont été remplacés par deux corps de ferme de plan rectangulaire, l'un parallèle à la rue et légèrement en retrait et l'autre perpendiculaire, qui tous deux encadrent partiellement une cour ouverte vers les terres agricoles qui occupent le fond de la parcelle.

L'hôtel particulier qui abrite alors la gendarmerie est en revanche visible sur le cadastre de 1897 (ill.). La comparaison du tracé du bâtiment avec une carte postale ancienne (ill.) conservée aux archives du Nord dans le dossier de demande de dommages de guerre permet de confirmer que le bâtiment détruit pendant la Première Guerre est celui construit entre 1817 et 1897. Ce bâtiment appelé "Le château" est la maison d'un monsieur Carlier (qui donnera son nom à la rue), négociant en tissus. L'ensemble, qui occupe toute la parcelle de l'ancienne ferme, comprend l'hôtel particulier, un jardin d'agrément, une serre, un jardin potager et un magasin (état de section du cadastre de 1897, AD Nord, 35P1121). L'état de section de 1897 indique que la maison compte 36 fenêtres et/ou porte(s) et une porte cochère/charretière/de magasin. On peut enfin noter qu'il s'agit, dès sa construction, du seul immeuble du Quesnoy intra-muros construit en milieu de parcelle. Cette spécificité a traversé les années jusqu'à aujourd'hui. Cette carte postale montre un hôtel particulier de style néo-Louis XIII, associant chaine d'angles en pierre et briques en remplissage. L'élévation compte un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage de combles. La façade de cinq travées est ordonnancée. Les travées latérales sont réunies dans des avant-corps massifs, tandis que la travée centrale est précédée d'un degré double à volées droites. L'ensemble est couvert par une toiture brisée dont le terrasson est percé d'un œil-de-bœuf au-dessus des avant-corps et d'une lucarne fronton. La baie du second niveau de cette travée est précédée d'un balcon fermé par une balustrade, d'une forme identique à celle de la balustrade du degré.

L'hôtel apparait sur une vue aérienne de l'IGN de 1929. Il est donc déjà reconstruit à cette date. Il fait partie des rares destructions du Quesnoy ayant nécessité une reconstruction intégrale.

L'étude des vues aériennes réalisées par l'IGN permet aussi de dater la construction des logements de fonction entre 1949 et 1957, mais l'absence de plans ou de vues aériennes entre ces deux dates ne permet pas de préciser davantage la fourchette chronologique. Les bâtiments ont été construits par l'entreprise Berger-Désertot.

Jusqu'à la construction de ces derniers, la totalité de parcelle était occupée par un jardin arboré.

  • Période(s)
    • Principale : 2e moitié 19e siècle , daté par source
    • Principale : 2e quart 20e siècle , daté par travaux historiques
    • Principale : 3e quart 20e siècle , daté par travaux historiques
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Berger-Désertot (1912 - 1973)
      Berger-Désertot

      La société est fondée en 1921 par Henri-Étienne Désertot et Antoine Berger. Le premier est originaire de Beaune où il était exploitant d'une carrière de pierre calcaire et le second de Lyon. Tous deux arrivent au Quesnoy au moment de la Première reconstruction. Les deux beaux-frères fondent leur entreprise en 1921, sous le nom d'Entreprise Berger-Désertot, et commencent par travailler à la reconstruction des ouvrages d'art de la SNCF dans les zones détruites par la guerre. Ils ont sans doute participé à la reconstruction du Quesnoy, mais sans qu'il soit possible de leur attribuer avec précision des œuvres réalisées.

      Avant la Seconde Guerre mondiale, Maxime (le fils d'Henri-Étienne) évolue comme joueur de football professionnel dans les clubs de Valenciennes, puis Lille et en équipe de France B. En 1946, il reprend la direction de l'entreprise et participe activement à la reconstruction du Quesnoy. Dans les années 1970, l'entreprise a construit les immeubles d'habitation de la gendarmerie ainsi que les étages supérieurs du corps de l'ancien corps de garde de la place du général Leclerc.

      À la mort de Maxime, en 1973, l'entreprise est reprise par son fils Jean-Luc. Elle a cessé son activité en 1978.

      De la fin de la guerre à sa fermeture, elle a compté environ 65 salariés et intervenait pour tous corps d'état sauf les toitures et la vitrerie.

      (Informations recueillies en mars 2025 auprès de Jean-Luc Désertot, fils de Maxime Désertot)

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      entrepreneur attribution par tradition orale

La parcelle, comprise entre les rues Carlier et de Goa, est occupée par l'hôtel particulier qui abritait l'ancienne gendarmerie et accueille aujourd'hui le Musée Néo-Zélandais de la Libération et les logements de fonction des gendarmes. L'hôtel particulier donne sur la rue Carlier tandis que les immeubles accueillant des logements de fonction sont situés côté rue de Goa. Un parc sépare les deux ensembles.

La parcelle est ceinte de murs. Côté rue de Goa, un grand mur en briques avec chaperon en béton est percé d'une porte pour les voitures et d'une porte piétonne flamande. Côté rue Carlier le mur-bahut est surmonté d'une grille en fer forgé et percé en son centre d'une porte flamande. il est scandé de pilastres et décoré de tables affleurées. Le chaperon et les piliers des extrémités sont en calcaire.

L'hôtel particulier

Le bâtiment, qui compte un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage de combles, est construit en briques posées en appareil picard et calcaire : les angles du bâtiment sont soulignés par une chaine en calcaire, ainsi que les entourages de baies, les corniches moulurées qui marquent les différents niveaux de la façade, la riche corniche sommitale, les cordons larmiers ou les faces et jouées des lucarnes. Contrairement aux façades avant et latérales où il est enduit, le soubassement en grès est visible sur la façade arrière.

Les façades avant et arrière sont ordonnancées et comptent chacune cinq travées. L'organisation des façades est cependant différente. La façade avant présente trois travées pour l'aile centrale et une dans chaque avant-corps ; la travée centrale est soulignée par balcon au second niveau. Sur la façade arrière, c'est la travée centrale qui forme avant-corps et est surmontée par un fronton interrompu par une lucarne. Dans les deux cas, un escalier à degrés aux angles arrondis situé dans l'axe de la façade donne accès à une terrasse. Les façades latérales sont identiques entre elles et comptent quatre travées, dont deux avec des baies aveugles à l'extrémité vers la façade arrière. La travée à l'extrémité vers la façade avant forme quant à elle une légère saillie.

Le bâtiment est couvert par un toit à longs pans et croupes pour le corps principal et par une toiture en ardoise en pavillon pour les avant-corps. La toiture débordante est percée de nombreuses lucarnes. Sur la façade avant, trois lucarnes-fronton avec ailerons à volutes sont situées au droit de la travée centrale et des avant-corps. La lucarne centrale est décorée d'un tympan en plein cintre encadré par une bordure moulurée interrompue par une agrafe baroquisante. Deux gros œils-de-bœuf s'intercalent entre chaque lucarne, complétés par trois petits œils-de-bœuf au-dessus des lucarnes. À l'arrière, les lucarnes avec ailerons à volutes sont situées au droit de la travée centrale et au centre des ailes. Celle centrale, interrompant le fronton de l'avant-corps, est richement décorée : elle est couverte par un fronton curviligne brisé dont les volutes sont réunies par une guirlande de feuilles de chênes.

Enfin, la toiture porte de hautes cheminées en briques dont les angles sont renforcés de pierres de taille posées en chaine harpée.

Toutes les façades présentent des baies couvertes par un linteau, bien que ces derniers soient différents en fonction de leur emplacement. Sur la façade avant, ceux du premier niveau sont appareillés mais ceux du second, moulurés et reposant sur chambranle à crossette, sont interrompus par une agrafe trapézoïdale. Sur les façades arrière et latérales, les linteaux appareillés "en chute" reposent sur des pieds droits en chaine harpée. À la différences des fenêtres, la porte bâtarde en bois sculpté de la façade avant ainsi que celle qui perce la façade arrière sont couvertes par un grand arc segmentaire. Sur la façade avant comme sur celle arrière, seules les baies du second niveau sont fermées par un balconnet en fer. Ces derniers sont décorés de motifs rocaille, que l'on retrouve également sur le garde-corps qui ceinturent le balcon au centre de la façade avant.

Une corniche sommitale composite fait le tour de tout le bâtiment : sous un rang de denticules, une frise alterne petits chapiteaux décorés de triglyphes et décors de disques posés sur un carré. Elle contribue à la richesse visuelle du bâtiment.

L'association de la brique en remplissage et de la pierre pour les éléments structurants, le choix des chaînes harpées aux angles du bâtiment, le décor de la corniche sommitale, les hautes cheminées sont autant d'éléments qui font référence au style Louis XIII. L'utilisation de ce style "néo-Louis XIII" est particulièrement en vogue dans la seconde moitié du XIXe siècle mais également pendant les années de la Première reconstruction pour des bâtiments publics ou des banques. Il faut cependant noter que bien que légèrement différent du bâtiment qu'il remplace (en particulier dans l'organisation des façades), le nouvel hôtel particulier en conserve les codes stylistiques.

Le décor intérieur de l'hôtel particulier

Compte-tenu de ses nombreuses réutilisations pour des usages successifs (bureaux puis musée), il ne reste pas grand chose des décors ou de la volumétrie d'origine des pièces. La disposition traversante entre la porte d'entrée principale et celle centrale de la façade arrière a cependant été conservée, ainsi que le grand hall d'entrée - d'où part sur la gauche un escalier monumental qui dessert le premier étage. Cet escalier en vis suspendu est complété par une rampe d'appui en fer forgé à motifs de volutes et de feuilles et d'une main-courante en bois. Le départ de rampe est très décoré : guirlandes s'enroulant autour d'un fût cannelé, volutes saillantes et rentrantes, et têtes de lions adossées. Étant donné la disposition très symétrique des façades comme des volumes intérieurs de ce type d'hôtel particulier, on peut se demander si un escalier similaire n'existait pas sur la droite du hall.

Le revêtement de sol en carreaux de ciment de ce hall, les moulures à décors de chapelet, d'oves et dards, raies de cœur et guirlandes de laurier qui bordent le plafond, les chapiteaux composites enfin sur les pilastres qui cantonnent le hall d'entrée, sont encore visibles. Ces derniers sont typiques du style néo-classique, qui accumule les citations d'éléments décoratifs en usage au XVIIIe siècle.

Les logements de fonction

Ils comptent trois ensembles : deux barres de petits immeubles sont disposées symétriquement de chaque côté de l'allée venant de la rue de Goa. Chaque immeuble compte quatre blocs organisées en paliers convergents depuis les côtés du parc jusque vers la porte d'entrée du lotissement, formant un plan en "escalier". À l'extrémité est, une maison individuelle complète l'ensemble.

Tous les bâtiments sont construits en brique posées en appareil anglais (appareil de briques dont les assises sont composées d'une alternance de boutisses et de panneresses), avec un soubassement enduit en béton. Ils présentent une élévation identique : un rez-de-chaussée surélevé et un étage carré couverts par une toiture à longs pans en tuile mécanique, percée de tabatières, légèrement débordante mais couvrant les pignons. L'élévation s'achève par une corniche sommitale à ressauts, également en brique.

Deux modules sont visibles, utilisés en alternance : au-dessus d'un premier niveau toujours identique, le second niveau présente soit une petite terrasse associée à une grande baie, soit deux baies plus petites et un mur plein. À chaque angle gauche d'un bloc, un pilier en béton soutient le niveau supérieur, qui est soit plein soit occupé par une terrasse. Pour chaque bloc, l'accès au premier niveau se fait par un degré carrelé aboutissant à une petite terrasse en béton, qui dessert deux portes situées aux angles de la terrasse. Les terrasses du rez-de-chaussée sont entourées par un petit mur-bahut avec chaperon en brique.

Sur les façades principales (côté parc), les baies du premier niveau sont horizontales, avec des pieds-droits en brique et un appui et un linteau en béton. Au second niveau, deux baies verticales géminées séparées par un trumeau en brique donnent l'impression d'une baie horizontale. Les appuis béton sont légèrement saillants sauf pour ceux du second niveau du bloc à proximité de l'axe central où ils sont élargis pour former des bacs à fleur. Les pignons achevant les ensembles sont percés de baies géminées.

Sur les façades arrière, un degré latéral permet d'accéder à un palier sur lequel s'ouvre une porte encadrée de deux baies verticales étroites. L'ensemble est couvert d'une casquette en béton. Cette porte permet l'accès aux appartements du premier étage.

La maison individuelle du commandant reprend les mêmes caractéristiques que les immeubles voisins : construction en brique couverte par toiture à long pans débordante recouvrant les pignons, accès par une petite terrasse, poteau en béton soutenant l'étage supérieur, baies horizontales avec linteau et appuis en béton. Cependant les pignons de la maison sont différents de ceux des blocs : des baies percent les deux niveaux (et pas seulement le second) et elles sont surmontées d'un oculus.

Il est prévu de détruire l'ensemble de bâtiments situés à gauche de l'entrée de la rue de Goa ainsi que la maison individuelle du commandant pour les remplacer par un parking pour les visiteurs du musée. La partie droite sera conservée et réhabilitée pour servir de logements de fonction pour le personnel dirigeant du musée (2025).

  • Murs
    • brique pierre avec brique en remplissage
    • calcaire moyen appareil
  • Toits
    ardoise, tuile plate
  • Plans
    plan carré régulier, ensemble régulier
  • Étages
    rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage de comble
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à plusieurs pans croupe
    • toit à longs pans pignon couvert
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit
  • Statut de la propriété
    propriété d'une association, Le bâtiment qui accueille le musée appartient à une association (board) néo-zélandaise.
    propriété de la commune, La commune est restée propriétaire du grand jardin qui entoure le musée.

Documents d'archives

  • AD Nord. Série P ; sous-série 35 : 35P1116. Département du Nord, Arrondissement d'Avesnes, Justice de paix du Quesnoy, Commune du Quesnoy : Section E dite de la ville, tableau indicatif des propriétaires, des propriétés foncières et de leur contenance, 1817 [état de section].

    AD Nord : 35P1116
  • AD Nord. Série P ; sous-série 35 : 35P1121. Département du Nord, Arrondissement d'Avesnes, canton de Le Quesnoy est et ouest, Commune du Quesnoy : Section E dite de la ville, tableau indicatif des propriétaires, des propriétés foncières et de leur contenance, 1897 [état de section].

    AD Nord : 35P1121

Documents figurés

  • Plan du Quesnoy, [fin XVIIe siècle et avant 1712 et la construction de l'ouvrage à cornes autour du faubourg de Fauroeulx] (BNF - Gallica ; btv1b53030010j).

    BNF-Gallica : btv1b53030010j
  • Plan du Quesnoy, [s. n.], 1787 (BNF-Gallica ; btv1b8443936t).

    BNF-Gallica : btv1b8443936t
  • Plan du Quesnoy, 3ème année républicaine, [1794] (AD Nord. Série J ; Documents entrés par voie extraordinaire depuis 1944 : Sous-série 66 : 66J1720 à 1874 : ville du Quesnoy).

    AD Nord : 66J1720
  • Ville du Quesnoy - Plan cadastral napoléonien, feuille unique, levé en 1817 : section E, 1ère partie (AD Nord ; P31-761).

    AD Nord : P31-761
  • Le Quesnoy, plan cadastral napoléonien de 1897. Section dite de la ville, en trois feuilles, 2ème feuille (AD Nord ; P31-761).

    AD Nord : P31-761
  • Le Quesnoy - Commune du Quesnoy - Aménagement et extensions de la ville - Etat actuel - Plan, par A. Guyomard, ingénieur-géomètre agréé à Lille, le 6 août 1921 (AD Nord ; Fi - Provenances diverses : plans concernant le département du Nord, 1581-1922 ; 50Fi2285).

    AD Nord : 50Fi2285
  • Le Quesnoy - Faubourg Faurœulx - Le château, Lesne-Dutrieux éditeur, Le Quesnoy, carte postale [s. d.] (AD Nord ; 10R3950).

    AD Nord : 10R3950
Date(s) d'enquête : 2023; Date(s) de rédaction : 2024
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Girard Karine
Girard Karine

Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.

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