Photographe du service régional de l'Inventaire général Hauts-de-France.
Stagiaire au sein du service régional de l'Inventaire général Hauts-de-France.
- opération ponctuelle
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Thibaut PierreThibaut Pierre
Photographe du service régional de l'Inventaire général Hauts-de-France.
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois
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Commune
Recques-sur-Course
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Adresse
42 rue de la Roche
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Cadastre
1816
B
89-102
;
1971-1982
B
11-20
;
2024
0B
12 à14, 20, 60 à 63, 65
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Dénominationschâteau
Pour la constitution de ce dossier, le Service Régional de l'Inventaire général du patrimoine culturel remercie monsieur et madame Arnaud van Robais de lui avoir permis la visite des extérieurs du château de Recques-sur-Course au cours de l'été 2024.
Situation et site
Construit isolément sur le plateau s'étendant entre la basse vallée de la Course et la route de Boulogne à Montreuil, le château de Recq est séparé du village de Recques-sur-Course par l'abrupt versant ouest de la vallée. Ses bois environnants (bois Guizelin, bois des Cinquante puis bois de la Tour au nord (ainsi dénommés au XIXe siècle, ils faisaient partie de la foret de Longvilliers au XVIIIe siècle) ; bois du Faudicq et bois de la Ronde Haie au sud) font de ce château une demeure de villégiature idéalement placée pour la chasse.
La dévolution de la seigneurie de Recques jusqu'en 1700
Au Moyen Âge, Recques est une seigneurie avec château tenue en fief de Longvillers. Elle provient de la famille de Cayeu-Longvillers et elle est vendue en 1386 par Yolande de Mortagne, dame de Douriez. Ses acquéreurs, Jean Blondel et sa femme Isabeau de Béthune, font hommage au duc de Berry, alors comte de Boulogne, en 1389.
Au XVIe siècle, la seigneurie avec sa motte et son château appartient à Marguerite Blondel, épouse d'Achille de la Haye (Épigraphie du département du Pas-de-Calais, 1899). Elle en sert aveu en 1584 à son suzerain, Pierre de Sourhouette du Halde, seigneur de Longvillers et finit par vendre ce bien l'année suivante à Nicolas Le Fuzelier, demeurant à Recques. Le sieur du Halde, travaillant alors à reconstituer l'ancienne châtellenie de Longvillers, décide d'user de son droit de retrait seigneurial et rembourse Nicolas Le Fuzelier. Il réunit ainsi le fief servant au fief dominant (Épigraphie du département du Pas-de-Calais, 1899). Diane du Halde se sépare cependant en 1614 de l'ensemble du domaine de Recques au profit de Charles de Belloy, chevalier, seigneur de Landrethun. Son fils Claude en hérite et le transmet à sa nièce, Marie-Jeanne du Bosc, épouse de Louis, marquis de Rouville, gouverneur d'Ardres, qui elle-même s'en sépare par licitation en 1689. La seigneurie de la haute et basse Recques devient alors la propriété de messire Louis Bernin, chevalier, seigneur de Valentinay, contrôleur général de la maison du roi, moyennant 24 500 livres.
C'est à ce dernier qu'en 1700, Oudart de Dixmude (?-1753), mousquetaire puis officier au régiment du roi, demeurant à Boulogne, achète, conjointement avec sa mère, Élisabeth Hache, "la terre, fief et seigneurie de la haute et basse Recque scituée en Boullonois et à une lieue de Monstreuil sur Mer, consistant en juste haute, moyenne et basse, cens, rentes et haute fustaye, moulin banal, écluse, rivière" (AP Château de Recq, expédition du contrat de vente, 29 août 1700, citée par PARENTY, 1996).
Un château par deux fois reconstruit
Oudart de Dixmude y reconstruit quelques années plus tard un château. Dans le dernier quart du XXe siècle, la réfection de la toiture de la chapelle a permis de découvrir sur le pignon est, dissimulé par une sablière, le millésime 1727, qui est vraisemblablement celui du début des travaux.
Vers 1750, son fils Jean-Baptiste (1708-1795) fait bâtir à son tour le château actuel, en y englobant peut-être la précédente construction ou en la faisant démolir comme le laisse entendre un mémorial de famille : "Jean-Baptiste Oudart, comte de Montbrun, mon père, fit démolir ce château et en bâtit encore un plus considérable durant sa vie qui fut longue", château que "feu mon frère, messire Léon-Oudart de Dixmude, augmenta et embellit encore" (AP Château de Recq, mémorial de famille rédigé sous la Restauration (après 1825) par Louis-Oudart de Dixmude comte de Montbrun, député et châtelain de la Villeneuve à Bellebrune, cité par PARENTY, 1996).
Un maître-maçon et des artisans boulonnais
L'actuel château de Recq est souvent attribué à Giraud Sannier (1721-1804) en raison de sa forte ressemblance stylistique avec le château d'Arry (Somme) élevé vers 1761 sur les plans de cet architecte boulonnais. Cependant, c'est Denis Dieuset (ou Dieusset), descendant d'une lignée de maîtres maçons et d'entrepreneurs installée dans la basse-ville de Boulogne, qui dirige effectivement les travaux de construction (AP Château de Recq, consultées par PARENTY, 1996). Denis Dieuset s'entoure sur chantier d'artisans boulonnais habiles. Guillaume Harrewyn, dit Beausoleil, sculpte en pierre de Marquise les clefs des portes, le fronton armorié et la plupart des cheminées. Il grave également dans le chœur de l'église de Recques-sur-Course la plaque funéraire armoriée d'Oudart de Dixmude, décédé en 1753 (IM62004061). Cette commande laisse penser que le sculpteur était alors sur place, sur un chantier bien avancé au regard de la nature de ses interventions*. Louis-Marie Leblond, menuisier boulonnais, fabrique et pose en 1755-1756 croisées, volets, portes, "éventailles au dessus des portes", planchers de bois d'orme, lambris et chambranles.
Un château dans la famille de Montbrun jusqu'à la fin du XIXe siècle
Jean-Baptiste-Oudart de Dixmude de Montbrun habite durablement ce château reconstruit. Il meurt à Recq le 4 mai 1795. Son fils aîné et héritier, Léon-Oudart (1758-1825), ayant émigré, le château est vendu nationalement à madame de Carpentin, fille du défunt. C'est en tout cas ce qu'établit l'érudit montreuillois Roger Rodière mais aucune trace de cette vente n'a été retrouvée aux Archives départementales du Pas-de-Calais. Madame de Carpentin étant morte veuve et sans enfant, la propriété aurait, par ce biais, fait retour après son décès à son frère puîné, alors rentré d'émigration (PARENTY, 1996).
Ce dernier reste pendant toute la durée de l'Empire à l'écart de toute activité politique. Sous la Restauration, en février 1815, il est nommé maréchal de camp mais ne reprend pas du service. Il se contente d'être maire de Recques-sur-Course qu'il administre entre 1814 et 1825, année de sa mort. Plus ambitieux, son frère cadet, Louis-Oudart, profite du rétablissement de la monarchie pour se lancer en politique et est élu à plusieurs reprises député du Pas-de-Calais.
Lieutenant des hussards de la garde royale, démissionnaire en 1830, Léon-Oudart de Dixmude de Montbrun fils (1803-1889) se retire à Recq jusqu'à sa mort en 1889. Après la mort sans enfant de sa fille, la vicomtesse de Boisguion, Recq passe dans la famille de Guiselin puis dans la famille van Robais.
Un château marqué par les deux guerres mondiales
Au cours de la Première Guerre mondiale, le château de Recq accueille une ambulance militaire belge entre 1914 et 1916 qui comprend 400 lits dans deux immenses baraquements implantés de part et d'autre de la cour d'honneur (CHEVALIER, 2015).
Il est occupé par les Allemands sous la Seconde Guerre mondiale.
Détruit par une tempête dans les dernières années du XXe siècle, un cadran solaire métallique était posé dans le parc sur un piédestal en pierre. Il portait le nom d'un habile maçon du XVIIIe siècle ayant travaillé dans les environs, notamment à Sempy et au château de Montcavrel : "PAR / CALICQUE A / 1770".
Note :
*. Décédé accidentellement le 27 février 1753 en entrant dans l'écurie dont la porte était trop basse pour que la monture pût y passer avec son cavalier.
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Dates
- 1727, porte la date
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Auteur(s)
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Auteur :
Dieuset Denis , dit(e) Dieussetmaître maçon attribution par sourceDieuset Denis
Maître-maçon issu d'une longue lignée établie à Boulogne-sur-Mer.
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Auteur :
Harrewyn Guillaume , dit(e) Beau SoleilHarrewyn Guillaume
Guillaume Harrewyn dit Beau Soleil ou Bois Soleil ?
Premier représentant d'une lignée de sculpteurs boulonnais, il est né à Bruxelles et décédé à Boulogne-sur-Mer en 1781. Il participe au chantier de reconstruction du château de Recq à Recques-sur-Course (Pas-de-Calais) et a livré la plaque funéraire d'Oudart de Dixmude de Montbrun (?-1753) et de son fils Florent (ca 1707-1727) posée sur la muraille sud du chœur de l'église Saint-Léger de Recques-sur-Course.
Source : https://gw.geneanet.org/euphroisine?lang=fr&n=harrewyn&p=guillaume+dit+bois+soleil [consulté le 21/11/2024]
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Auteur :
Leblond Louis-Mariemenuisier attribution par sourceLeblond Louis-Marie
À l'époque de son décès à Boulogne-sur-Mer en 1772, Louis-Marie Leblond est prévôt des maîtres-menuisiers et "précepteur de langue latine".
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Auteur :
Calicquemaçon signatureCalicque
Maçon ayant travaillé à Sempy (Pas-de-Calais), au château de Montcavrel (Pas-de-Calais). Il réalise en 1770 pour la famille Dixmude de Montbrun au château de Recq à Recques-sur-Course (Pas-de-Calais) un cadran solaire métallique sur piédestal en pierre.
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Auteur :
Le château est orienté sud-nord. Il s'élève entre une cour d'honneur au sud (précédée d'un jardin régulier organisé autour d'une allée depuis la grille) et un jardin d'agrément au nord.
Côté cour d'honneur (sud)
Le corps de logis s'organise autour d'un grand avant-corps dont la travée centrale est encadrée de pans arrondis et surmontée d'un fronton triangulaire. Cette partie centrale du château est à usage, tant au rez-de-chaussée qu'à l'étage [non visité], de vastes salons aux boiseries Louis XV élégamment chantournées, s'étendant d'une demie-rotonde à l'autre.
Deux pavillons flanqués aux extrémités répondent par leur rectitude et aussi leur modestie (saillie moins marquée, couverture ne dépassant pas la ligne de faîte de son grand toit brisé accueillant en son centre une girouette) aux courbes élégantes et quelque peu monumentales du grand avant-corps. Le style retardant en province, c'est une manière Louis XV accordée à des souvenirs du Grand Siècle, aurait résumé peu ou prou l'écrivain normand Jean de La Varende (1887-1959) qui s'est arrêté à Recq avec l'érudit local Pierre-André Wimet (1914-1994) en mai 1958 (PARENTY, 1996). À l'élégance des courbes convexes de l'avant-corps répondent en contrepoint les arrondis concaves qui encadrent les portes des deux pavillons bas flanqués aux extrémités du corps de logis.
La pierre assignée sur la façade de brique, d'un rose passé - la façade n'est cependant pas enduite et elle doit sa couleur à l'effet de l'humidité -, vient appuyer les divisions horizontales et verticales, encadrer les fenêtres. Elle est également employée pour les chaînes à refends des pavillons latéraux.
Sobre et de bonne facture, la sculpture n'est présente qu'aux agrafes de style rocaille des portes-fenêtres. Soulignée par des baies en plein cintre ornées desdites agrafes et d'un garde-corps en ferronnerie, la travée d'axe est encadrée de pilastres en creux dont les chapiteaux toscans supportent le fronton. Sur celui-ci demeurent des traces d'armoiries buchées à la Révolution. Le marteau n'a épargné qu'une tête de nègre ou satyre qui servait de cimier à l'écu.
De ce côté-ci, le château est précédé d'un jardin régulier, constitué de deux parterres de gazon pris dans une palissade de verdure formée d'une charmille. Des plates-bandes de rosiers ponctuées de topiaires de topiaires encadrent une allée gravillonnée conduisant de la grille d'honneur (probablement d'époque XVIIIe siècle) à la cour d'honneur, le tout encadré par de grands arbres de forme libre (érables, hêtres, hêtres pourpres, platanes, pins...).
La cadastre de 1816 indique que la façade d'arrivée était précédée d'une avant-cour délimitée par une clôture en forme de fer à cheval, aujourd'hui disparue (elle n'est plus présente sur la carte de l'état-major établie entre 1820 et 1860), qui rejoignait une remise à chacune de ses extrémités à l'ouest et à l'est. Datant du XVIIe siècle, ces remises se dressent toujours l'une en face de l'autre devant le château. Sur la carte de l'état-major, établie entre 1820 et 1860, un étang est creusé entre les actuelles grille et cour d'honneur.
Côté jardin d'agrément (nord)
Côté jardin d'agrément, la façade est identique, avec la même demi-rotonde, mais le tout en appareil de craie. En revanche le fronton triangulaire de l'avant-corps central est remplacé par trois lucarnes, et de grandes portes remplacent au rez-de-chaussée les fenêtres des pavillons latéraux. Il est possible que les pavillons des extrémités du corps de logis aient été élevées sur des parties conservées de l'ancien château.
L'actuel jardin d'agrément est un jardin clos composé de massifs de fleurs et d'arbustes longeant les murs, d'un vaste espace de gazon central et d'une allée de jardin gravillonnée faisant le tour de celui-ci. S'y distingue un hêtre pourpre isolé. La vue d'ensemble n'est pas très éloignée du jardin d'agrément tel qu'il se présentait sous la Monarchie de Juillet (d'après une huile sur toile de Clara Couché représentant la façade nord du château, 1832 (reproduite dans PARENTY, 1996)), si l'on met de côté le tracé, plus courbe et plus complexe qu'aujourd'hui. Nous retrouvons en effet peu ou prou dans la composition les mêmes plantations en bordure de jardin.
À proximité du jardin d'agrément clos, se remarquent un potager, une serre adossée ainsi qu'un vaste verger.
Une clôture en forme de fer à cheval sépare le jardin d'agrément du parc de chasse qui est percé d'une grande avenue permettant de rejoindre la vallée de la Course et la route de Boulogne.
Les intérieurs
À l'intérieur, l'escalier principal est rejeté à l'extrémité ouest du corps de logis. La qualité d'exécution de sa rampe est à rapprocher de celle du château de Colembert, dans le Boulonnais, dû au ciseau du serrurier Jean-Jacques Bourillon.
Une chambre au rez-de-chaussée [non visitée], tendue d'une toile de Jouy d'époque d'un bleu encore étonnamment vif, conserve le souvenir du passage d'Hortense de Beauharnais (lien web).
Les communs
Les communs, de très vastes dimensions, sont dans leur plus grande partie, antérieurs au château actuel et datent du XVIIe siècle.
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Murs
- calcaire
- grès
- brique
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Toitsardoise
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Étages1 étage carré
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Élévations extérieuresélévation ordonnancée
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Couvertures
- pignon couvert
- pignon découvert
- toit à longs pans
- toit en pavillon
- toit à longs pans brisés
- toit à deux pans
- croupe
- croupe brisée
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre
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Jardinsparterre de gazon, palissade de verdure, groupe d'arbres, bois de jardin
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Statut de la propriétépropriété privée
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Éléments remarquableschâteau, communs
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Protectionsinscrit MH partiellement, 1986/09/09
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Précisions sur la protection
Inscrit MH partiellement :
Façades et toitures du château y compris les ailes ajoutées ; façades et toitures des communs sur la cour d'honneur ; deux portails d'entrée principaux et les deux parties d'entrée secondaire avec leur grille ; mur d'enceinte attenant aux grilles ; façades et toitures du pigeonnier ; pièces avec décor : vestibule (actuel grand salon) , salle à manger, petit salon, petite entrée, rampe d'escalier (cad. B 16) : inscription par arrêté du 9 septembre 1986.
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Référence MH
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
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Documents d'archives
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Mémoire sur la maison de Dixmude certifié par Dupire baron d'Hinges, grand bailli des ville et gouvernance de Béthune, 1769 (AD Pas-de-Calais ; 1 J 648).
Bibliographie
-
PAS-DE-CALAIS. COMMISSION DÉPARTEMENTALE DES MONUMENTS HISTORIQUES. Épigraphie du département du Pas-de-Calais : canton d'Aubigny et suppléments aux arrondissements de Saint-Pol et de Montreuil. Laval : Barnéoud, 1929. Tome VI. Fascicule 6.
Parution en tomes, fascicules et addendum. [Lieux divers] : [Éd. divers], 1883-1937.
p. 1268. -
PAS-DE-CALAIS. COMMISSION DÉPARTEMENTALE DES MONUMENTS HISTORIQUES. Épigraphie du département du Pas-de-Calais. Arras : Ségaud et Sueur, 1904. Tome IV. Fascicule 6.
Parution en tomes, fascicules et addendum. [Lieux divers] : [Éd. divers], 1883-1937.
pp. 30-31. -
PAS-DE-CALAIS. COMMISSION DÉPARTEMENTALE DES MONUMENTS HISTORIQUES. Épigraphie du département du Pas-de-Calais. Arras : Ségaud, 1899. Tome V. Fascicule 4.
Parution en tomes, fascicules et addendum. [Lieux divers] : [Éd. divers], 1883-1937.
pp. 85-94. -
BRAQUEHAY, Auguste. Un peintre d'histoire naturelle, Leroy de Barde, et son temps (1777-1829). Abbeville : Fourdrinier, 1896.
p. 32. -
CAZENOVE, N... de. Mémorial de campagne d'Antoine de Lafarelle chef du génie au 6e corps de la Grande-Armée (1805) [en ligne]. Carnet de la Sabretache : revue militaire rétrospective, 1902.
pp. 273-309. -
CHEVALIER, Hugues. Châteaux en guerre. Pas-de-Calais 1939-1945. Lillers : Les Échos du Pas-de-Calais (impr.), 2015.
p. 343. -
LHOMEL, Georges de. Documents pour servir à l'Histoire de Montreuil-sur-Mer : de 1789 à 1830. Deuxième partie. Journal du Directoire, du Consulat et de l'Empire à Montreuil-sur-Mer. Abbeville : Lafosse, 1905.
p. 183. -
SEYDOUX, Philippe. Châteaux d'Artois et du Boulonnais. Paris : La Morande, 1991.
p. 75. -
SEYDOUX, Philippe. Gentilhommières d'Artois et du Boulonnais. Tome 2 : Audomarois, Haut-Pays, Boulonnais, Calaisis. Paris : La Morande, 2006.
pp. 83-85. -
WIMET, Pierre-André, PARENTY, Michel. Châteaux et maisons de campagne du Boulonnais. Arras : [s.ed.], 1996.
pp. 282-299.
Périodiques
-
HANOTEAU, Jean. Lettres au Prince Eugène [en ligne]. Revue des Deux Mondes. Paris : Revue des Deux Mondes, 15 juillet 1933.
pp. 312-313. -
THIÉBAUT, Jacques. Châteaux à découvrir. Vieilles Maisons françaises. Patrimoine historique, 1979, n°1.
p. 40. -
WIMET, Pierre-André. Le château de Recq. Revue de Boulogne-sur-Mer, mai-juin 1961, n°274 [en ligne].
pp. 651-657.
Documents figurés
-
Carte générale de la France établie sous la direction de César-François Cassini de Thury, 022 [Boulogne-sur-Mer], 16e feuille, 1758 [en ligne] (BNF, département Cartes et plans, GE FF-18595 (22)).
-
Cadastre de Recques-sur-Course (Pas-de-Calais), 1816. Section B, parcelles 89-103 [en ligne] (AD Pas-de-Calais ; 3 P 1010/28).
-
Carte de l'état-major (1820-1866) [en ligne].
-
Cadastre de Recques-sur-Course (Pas-de-Calais), 1971-1982. Section B, parcelles 11-20 [en ligne] (AD Pas-de-Calais ; 2183 W 2917).
Lien web
- Recques-sur-Course sur la Carte générale de la France établie sous la direction de César-François Cassini de Thury, 022 [Boulogne-sur-Mer], 16e feuille, 1758 [en ligne] (BNF, département Cartes et plans, GE FF-18595 (22). [consulté le 26/11/2024]
- Le château de Recq à Recques-sur-Course (Pas-de-Calais) sur le cadastre de 1816. Section B, parcelles 89-103. AD Pas-de-Calais, 3P1010/28. [consulté le 30/07/2024]
- Le château de Recq à Recques-sur-Course sur la carte de l'état-major (1820-1860). [consulté le 17/11/2024]
- Le château de Recq à Recques-sur-Course (Pas-de-Calais) sur le cadastre de 1971-1982. Section B, parcelles 11-20. AD Pas-de-Calais, 2183W2917. [consulté le 30/07/2024]
- Chambre dite de la Reine Hortense (actuellement salle à manger). Détail du trumeau de la cheminée. [consulté le 13/11/2024]
- CAZENOVE (de), N... Mémorial de campagne d'Antoine de Lafarelle chef du génie au 6e corps de la Grande-Armée (1805). Carnet de la Sabretache : revue militaire rétrospective, 1902, pp. 273-309. [consulté le 13/11/2024].
- HANOTEAU, Jean. Lettres au Prince Eugène. In Revue des Deux Mondes. Paris : Revue des Deux Mondes, livraison du 15 juillet 1933. [consulté le 13/11/2024]
- PARENTY, Michel. Maisons seigneuriales et châteaux du Boulonnais. P.A.J. (PAtrimoine-Architecture-Jardins, le magazine du patrimoine). [consulté le 13/11/2024]
- WIMET, Pierre-André. Le château de Recq. Revue de Boulogne-sur-Mer, mai-juin 1961, n°274. [consulté le 02/12/2024]
- La cloche de l'ancienne chapelle du château de Recq à Recques-sur-Course (Pas-de-Calais). [consulté le 23/04/2025]
- Les peintures disparues du grand salon du château de Recq à Recques-sur-Course (Pas-de-Calais). [consulté le 23/04/2025]
- Plus de photos sur notre site.
Annexes
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L'installation au château de Recq du maréchal Ney (mai-septembre 1805) et la visite d'Hortense de Beauharnais (août 1805).
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Épigraphie du Pas-de-Calais. Note sur des peintures, aujourd'hui recouvertes, qui ornaient le grand salon à l'étage du château de Recq.
-
Épigraphie de la cloche de l'ancienne chapelle du château de Recq.
Responsable-adjoint (2018-2023) puis conservateur régional (depuis 2024) de l'Inventaire général Hauts-de-France.
Photographe du service régional de l'Inventaire général Hauts-de-France.
Stagiaire au sein du service régional de l'Inventaire général Hauts-de-France.
Responsable-adjoint (2018-2023) puis conservateur régional (depuis 2024) de l'Inventaire général Hauts-de-France.