La ferme semble avoir été construite au cours de la seconde moitié du 19e siècle, puisqu'elle ne figure pas sur le cadastre napoléonien.
- inventaire préliminaire, arrière-pays maritime picard
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) SMACOPI
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Communauté de communes Ponthieu-Marquenterre - Nouvion
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Commune
Ponthoile
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Lieu-dit
Romaine
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Adresse
61 rue du Bonnelle
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Cadastre
1984
A2 315, 316, 65, 402
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Dénominationsferme
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Destinationsferme, maison
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Parties constituantes non étudiéescour, étable à chevaux, grange, étable, porcherie, remise
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Période(s)
- Principale : 2e moitié 19e siècle
La ferme, à cour fermée et de plan rectangulaire, est orientée au nord. Composé d'une maçonnerie en torchis et pans de bois, le logis longe la rue sur quatre travées. Il a été entièrement remanié. A l'ouest de la cour, se situent les étables, bâtiment bas et long en torchis et pans de bois, en partie refait en ciment, et couvert d'un toit à longs pans en pannes picardes. Au fond de l'espace intérieur se trouve la grange, en torchis et pans de bois. Le pignon occidental et le mur gouttereau sud sont couverts d'un essentage de tôles. Au nord-est de la cour, d'autres étables, en brique celles-ci, longent la rue. Le comble à surcroît est accessible depuis l'ouest, par une fenêtre placée en hauteur. Les porcheries flanquent le bâtiment à l'est, donnant directement sur la pâture. Elles sont couvertes d'un toit à pan unique en pannes.
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Murs
- torchis
- brique
- essentage de tôle
- pan de bois
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Toitstuile flamande, tuile flamande mécanique
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Étagesen rez-de-chaussée, comble à surcroît
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Couvertures
- toit à longs pans
- appentis
- pignon couvert
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État de conservationremanié
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Statut de la propriétépropriété privée
Le logis a été entièrement recouvert d'un enduit. Les aérations des étables sur rue ont été condamnées. La construction située en face de la ferme, de l'autre côté de la voie de circulation, semble dépendre de l'exploitation. Il pourrait s'agir d'une grange (brique pour les murs pignons et torchis pour les murs gouttereaux ; le toit en pannes est plus long sur la face postérieure, créant ainsi une extension du bâtiment au nord). Les pannes picardes servant à la couverture de l'ensemble des bâtiments (mis à part du logis couvert de tuiles modernes) proviennent des tuileries de Mongrole dans le Nord (estampille).
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) SMACOPI
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