D´après l´abbé Tassus (1908), le prêtre Jean-François Philippe déclare en 1752 être possesseur de la maison presbytérale « consistant en cuisine, salle, sallette, fournil, chambre, grenier, cave, grange, écuries et autres bâtiments, cour, jardin, et lieux en dépendant, contenant en totalité 22 verges, située vis-à-vis la Place, t. d. l. au septentrion à la petite Place vis-à-vis le château, où est l´abreuvoir, et à la rue Câline d. au midi a Jacques Leplat et Madeleine Guillot, sa femme ; d. b. orient à la Place de Baboeuf où est le Jeu de Batoir ; d. b. occ. à la maison et jardin de l'école des garçons ». Des travaux sont effectués en 1774. En 1866, la commune finance la construction de deux chambres. Le logis et la remise, disposée en retour d'équerre figurent sur le cadastre napoléonien (1831). Le décor intérieur conservé dans le logis permet de les dater de la 2e moitié du 18e siècle. Le portail est daté 1866.