Dossier d’œuvre objet IM02004587 | Réalisé par
Riboulleau Christiane
Riboulleau Christiane

Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France jusqu'en 2022.

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  • enquête thématique régionale, la basilique de Saint-Quentin
Grand orgue à positif
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois - Saint-Quentin
  • Commune Saint-Quentin
  • Adresse Ancienne collégiale royale, actuellement basilique Saint-Quentin
  • Emplacement dans l'édifice première travée occidentale de la nef

La plus ancienne mention d'un orgue dans la collégiale remonte à 1329 et est rapportée par Claude Hémeré. En cette année, l'orgue doit être réparé et entouré de rideaux par le facteur qui l'a construit, un dénommé Baudouin Corbison ou Corbisson. A cette époque où seul le choeur est achevé et où le grand transept est en cours de construction, l'orgue est installé dans le petit transept, contre le mur-pignon sud. Le choix d'un tel emplacement n'est pas anormal pour l'époque. Quant aux rideaux mentionnés, ils peuvent servir à protéger l'instrument de la poussière et peut-être aussi du soleil qui peut endommager certaines parties du mécanisme. Vers le milieu du 15e siècle, la croisée du bras sud du petit transept présente de nombreux signes de faiblesse. Des travaux de consolidation, voire de reconstruction, sont donc prévus. Vers la même époque, l'état de l'orgue exige des réparations. En 1455, le chapitre délibère et décide d'en faire construire un neuf, qui sera installé à l'extrémité de la nef, probablement adossé à la tour-porche. La construction du gros oeuvre est alors terminée, et cet emplacement permet à l'organiste de mieux voir le choeur, et au son de mieux se répandre dans l'édifice. De nouvelles orgues sont réalisées en 1546, posées sur une tribune en bois. Le chanoine De Croix qui les décrit précise que le buffet était très travaillé. Il était fermé par deux portes. A l'une, étaient représentées en relief l'histoire de Goliath et celle de l'invention du son des cloches, et à l'autre, la sortie d'Egypte des Hébreux et sainte Cécile touchant l'orgue. En 1620, l'instrument est restauré et augmenté de pédales, de trompettes et de nouveaux jeux, par le facteur d'orgues laonnois Crespin ou Crépin Carlier, moyennant 2000 livres. Ces orgues sont entièrement détruites lors de l'incendie du 14 octobre 1669. Dans un premier temps, le chapitre se consacre à la restauration du gros-oeuvre, incluant la réfection complète de la toiture et la construction d'un clocher neuf, puis se préoccupe de la fonte de nouvelles cloches. Ces travaux achevés, grâce à l'aide financière de Louis XIV, l'attention des chanoines peut enfin se tourner vers l'installation de grandes orgues. A la fin de l'année 1694, le chapitre décide de commencer cette construction par la tribune et un positif, en attendant d'avoir les fonds nécessaires pour compléter l'instrument. Divers facteurs d'orgues sont contactés, parmi lesquels le Parisien Robert Clicquot et le Rémois Jean Visbecq ou Vuisbecq qui adressent au chapitre une proposition en novembre. La commande de l'instrument est passée à Robert Clicquot le 14 décembre 1694. Le 23 décembre 1694, le chapitre adjuge à Henri Gérard ou Girard de La Motte, maître sculpteur à Saint-Quentin, la réalisation de la tribune, du plancher, d'un plafond et du buffet du positif, moyennant 1700 livres. Le travail de menuiserie et de sculpture doit être achevé pour la Saint-Jean de l'année suivante, afin que la partie instrumentale n'attende pas. Le projet à réaliser est l'oeuvre d'un dénommé Perrault. Toutefois, le chapitre change d'avis en mars 1695 et adopte un projet de Jean Berain pour l'ensemble de la tribune et le buffet du positif. Ce dernier est vraisemblablement achevé en 1695 ou, au plus tard, l'année suivante. Jean Ier Berain, dit le Vieux (1640-1711), dessinateur de la Chambre et du Cabinet du roi, est surtout un dessinateur et un ornemaniste, célèbre pour avoir réalisé les décors et costumes des spectacles de la Cour. Son choix comme dessinateur du buffet peut donc sembler surprenant, mais doit entretenir un rapport étroit avec la présence au sein du chapitre de Saint-Quentin de son fils aîné, le chanoine Jean-Nicolas Berain. Le registre renfermant les délibérations du chapitre pour la période immédiatement postérieure à 1695 est manquant. Il est donc impossible de connaître avec précision la progression des travaux pour cette période. Néanmoins, le 9 mai 1697, le chapitre approuve le dessin du grand buffet, oeuvre de Jean Berain. Il agrée le même jour le devis signé par Nicolas Lebègue, organiste, par Robert Clicquot et par Alexandre Thierry, facteurs d'orgues du roi. Le traité pour la réalisation du buffet est signé le 18 octobre 1698 avec Pierre Vaideau, menuisier ordinaire des Bâtiments du roi. La menuiserie achevée est visitée et expertisée le 15 mars 1701 par l'architecte Jean-Baptiste Marteau, par Jean Berain et par Robert Clicquot. Puis Clicquot se met à l'oeuvre et livre l'instrument au chapitre en 1703. Avant la Grande Guerre, un dessin de Berain, représentant l'orgue dans son ensemble, était conservé dans les archives de la basilique. Il a disparu dans l'incendie de la sacristie en 1917. Le National Museum de Stockolm conserve un autre dessin du buffet, sans le positif, dessin exécuté en 1701 par Jean 2 Berain (1674-1726) d'après un original de son père, à la demande de l'architecte Nicodème Tessin le Jeune. Il existe quelques différences entre les deux dessins, de même qu'entre ces dessins et le buffet réalisé. En particulier, la décollation de saint Quentin qui devait orner le médaillon circulaire, a été remplacée par deux anges enlevant au Ciel l'âme de saint Quentin. Une inscription placée au-dessus des claviers commémore alors l'entreprise. L'orgue comporte 47 jeux répartis sur 4 claviers manuels et un clavier de pédale. Il est réparé une première fois en 1718 par Robert Clicquot, puis en 1727 par Boudos, facteur d'orgues à Vervins. En 1736, le chapitre décide à nouveau de faire réparer l'orgue et se préoccupe de trouver un habile facteur qui soit basé à Reims ou à Paris. Le 9 avril 1737, un marché est passé avec le facteur d'orgues parisien François Thierry, pour effectuer des réparations, des augmentations et changements, moyennant 5000 livres. Si le détail des travaux n'est pas connu, il est néanmoins certain que Thierry a fait trois jeux neufs. Peut-être est-ce à cette époque que le buffet du positif est modifié. L'orgue est à nouveau réparé en 1751 par le facteur d'orgues saint-quentinois Claude Deschamps, qui signe, le 18 décembre 1752, un traité avec le chapitre pour entretenir les deux orgues de l'église. Cet entretien est réalisé jusqu'au moment où éclate la Révolution. Le culte catholique est interdit en 1793, et en novembre de la même année, l´administration municipale ordonne la destruction des marques de la féodalité et de la religion qui se trouvent dans l'église. Le temple de la Raison est inauguré le 30 novembre 1793, allégé de son décor religieux et de ses symboles royaux. L'orgue y perd certains éléments de son décor et en particulier sa couronne sommitale. Néanmoins, sa voix accompagne certaines cérémonies révolutionnaires, ce qui lui permet de franchir cette tourmente sans trop de dommages. Au début du 19e siècle, l'orgue est à plusieurs reprises nettoyé, réparé et entretenu par le facteur d'orgues Nielles, de Noyon. Le 4 juillet 1830, un membre du conseil de Fabrique manifeste le désir de voir rétablir au-dessus du buffet d'orgues la couronne de France qui s'y trouvait avant la Révolution. Mais conscient du coût de l'opération, il propose de remplacer la couronne par une croix proportionnée. Le conseil, favorable à cette proposition, en ajourne l'exécution, faute de revenus. Finalement, la dépense peut en être allouée en 1831. L'instrument est presque entièrement reconstruit en 1849-1850 (inauguration le 6 juin 1850), par le Messin Antoine Sauvage, qui avait longtemps travaillé chez Aristide Cavaillé-Coll. Il introduit une registration romantique et le procédé Barker à traction pneumatique. Par la suite, la documentation ne mentionne plus qu'un relevage, effectué en 1888 par Augustin Brisset. Jusqu'à l'installation de l'armée allemande sur la ligne Hindenburg au début de l'année 1917, la basilique et son orgue souffrent peu de la guerre. Le 13 mars 1917, les Allemands enlèvent les tuyaux d'étain pour les fondre. L'incendie du 15 août 1917 épargne le buffet, qu'un pan de voûte protège, tant bien que mal, jusqu'à la fin de la guerre. La restauration du buffet débute en 1929, par une révision générale et un réassemblage des parties démontées. Les travaux se poursuivent dans les années 1930, et sont très avancés au moment où éclate la Seconde Guerre mondiale. Une fois la paix revenue, la restauration de la menuiserie reprend, réalisée par le Saint-Quentinois Robert Raepsaet, et s'achève en juin 1958. De nombreuses sculptures ont été refaites, tels la statue centrale de saint Quentin, les trois anges musiciens assis et la tête d'autres anges. Quelques modèles à grandeur d'exécution en plâtre sont conservés à l'étage de la tour. La partie instrumentale est reconstruite de 1961 à 1966 par les facteurs Haerpfer et Erman de Boulay (Moselle). Le nouvel instrument de 75 jeux a été inauguré le 27 mai 1967 par Jean-Jacques Grunenwald.

L'orgue est constitué de deux buffets : un grand corps et un positif dorsal. Ils sont en chêne, mouluré grand cadre vrai et petit cadre élégi. Le positif est constitué de trois tourelles encadrant deux plates-faces, la tourelle centrale est surmontée d'une statue en ronde bosse. Le positif comporte également un décor en relief dans la masse. Le grand buffet se compose d'une large plate-face encadrée de deux paires de tourelles, l'ensemble est surmonté d'une coupole. Le buffet comporte un important décor en bas et haut relief, avec également des éléments en ronde bosse (statues et éléments décoratifs des parties hautes).

  • Catégories
    menuiserie, sculpture, facture d'orgue
  • Structures
    • de tribune
    • à vent
    • plan, forme complexe
  • Matériaux
    • chêne, en plusieurs éléments taillé, ciré, petit cadre élégi, grand cadre vrai, décor en relief, décor en ronde bosse, décor dans la masse, décor rapporté
    • étain, fondu, taillé
  • Précision dimensions

    Dimensions approximatives du buffet : h = 2000 ; l = 1420 ; pr = 115. Positif : h = 365, l = 480, pr = 130.

  • Iconographies
    • figures bibliques, assis, musicien, trompette, flûte traversière, guitare, chérubin ange
    • figure, saint Quentin, en pied, de face
    • scène, apothéose, ange, nuée saint Quentin
    • ornementation, fleur, pot à feu, croix, guirlande, rosace, chute enroulements, feuille d'acanthe, chute végétale
  • Précision représentations

    La tourelle centrale du positif est ornée d'une statue de saint Quentin, debout et de face. Trois jeunes anges musiciens sont assis au-dessus du clavier de l'instrument. L'un d'eux joue de la flûte traversière et l'autre de la guitare. La plate-face comporte un médaillon porté par deux anges et surmonté de trois têtes d'anges. Le médaillon porte un relief représentant l'apothéose de saint Quentin, sur le modèle d'une Assomption de la Vierge. Dans une nuée, l'âme du saint est enlevée au ciel par deux anges. Enfin, le grand buffet est surmonté par quatre anges, dont deux soufflent dans une trompette et les deux autres semblent réclamer l'attention. Le buffet est recouvert d'une riche ornementation, empruntée surtout au domaine végétal ou à la musique : feuilles d'acanthe, guirlandes et chutes de feuillages et de fleurs, rosaces, etc. La plate-face centrale est bordée par des chutes d'instruments de musique et de partitions. Une lyre surmonte deux tourelles du positif. Les plate-faces du positif comportent chacune un médaillon renfermant le monogramme du roi : deux L entrelacés.

  • État de conservation
    • oeuvre restaurée
  • Statut de la propriété
    propriété de la commune
  • Intérêt de l'œuvre
    À signaler
  • Protections
    classé au titre objet, 1969/03/27
  • Référence MH

Exceptionnel buffet, d'une composition unique en France pour l'époque.

Documents d'archives

  • AD Aisne. Série G ; G 784. Inventaire analytique des archives du chapitre de Saint-Quentin rédigé en 1775, t. 2.

    folios 75 recto-76 verso
  • AD Aisne. Série G ; G 810. Délibérations capitulaires, 1713-1720.

    folio 6 recto (délibération du 24 juillet 1713), folio 36 recto (délibération du 2 décembre 1713)
  • AD Aisne. Série G ; G 813. Délibérations capitulaires, 1733-1740.

    folio 219 verso (séance du 12 octobre 1736), folios 256 recto et verso (séance du 8 avril 1737), folio 278 verso (séance du 19 août 1737)
  • AC Saint-Quentin : 6 S 1. Registre des délibérations du Conseil de Fabrique (21 mars 1811-10 janvier 1836).

    p. 92 (23 mars 1819), 103 (22 avril 1819), 313 (4 juillet 1830), 334 (3 juillet 1831)
  • AMH (Médiathèque du Patrimoine) : 81/02, carton 164.

    dossier 7 (travaux de 1929 à 1930)
  • AMH (Médiathèque du Patrimoine) : 81/02, carton 168.

    dossier 14 (travaux de 1945 à 1950) ; sous-dossier : restauration partielle du buffet des grandes orgues
  • AMH (Médiathèque du Patrimoine) : 81/02, carton 169.

    dossier 16 (travaux de 1950) ; sous-dossier : restauration du buffet d'orgues
  • BnF (Cabinet des Manuscrits) ; naf 6108. Collection Guilhermy.

    folio 319 recto

Bibliographie

  • Association pour l'expansion et la coordination des activités régionales musicales (Picardie). Orgues de Picardie. Aisne. Amiens : ASSECARM, 1988.

    p. 154-159
  • CARDON, Henri. Extraits du journal de Charles de Croix, chanoine de l'église collégiale de Saint-Quentin (3 février 1645-3 octobre 1685) publiés et annotés par Henri Cardon. Saint-Quentin : Imprimerie Ch. Poette, 1904.

    p. 179
  • DESAINS, Auguste. Notes sur l'église de St-Quentin (Extraites d'un Manuscrit portant la date de 1744). Travaux de la Société académique des Sciences, Arts, Belles-Lettres et Agriculture de Saint-Quentin (Aisne) , 3e série, t. 1, travaux de 1855 à 1857.

    p. 59-60
  • DREILING, Prof. Dr. Raymund. Die Basilika von St. Quentin. Ihre Geschichte und ihr Charakter. St. Quentin, 1916.

    p. 53
  • DUFOURCQ, Norbert. Documents inédits relatifs à l'orgue français (XIVe-XVIIIe s). Paris : librairie E. Droz, 1934. Thèse complémentaire pour le doctorat : Lettres : Paris : [1934].

    p. 105-106 (note 2), p. 254 (note 1), p. 257-259
  • DUFOURCQ, Norbert. Le livre de l'orgue français 1589-1789. Tome II : Le buffet. Etude architecturale et décorative du meuble. Paris : A. et J. Picard, 1969.

    p. 127-130
  • DUFOURCQ, Norbert. Les Clicquot, facteurs d'orgues du roy. Contribution à l'histoire d'une famille d'artisans d'origine champenoise sous l'Ancien Régime. Paris : librairie Floury, 1942.

    p. 21-24, 29, 59
  • La Foi Picarde. Semaine religieuse des trois diocèses de Beauvais, Soissons & Amiens.

    1868, n° 3, 18 janvier 1868, p. 65-67
  • FONCLAUSE. Les grandes Orgues de la Cathédrale de Saint-Quentin. La Construction moderne, 45e année, n° 29, 20 avril 1930.

    p. 438
  • GOMART, Charles. Extraits originaux d'un manuscrit de Quentin de La Fons intitulé Histoire particulière de l'église de Saint-Quentin, publiés, pour la première fois, par Ch. Gomart. Saint-Quentin : librairie Doloy, 1854, t. 1er.

    p. 136-137
  • GOMART, Charles. Notice sur l'église de Saint-Quentin. Bulletin monumental, 1870, vol. 36 (4e série, t. 6).

    p. 231, 238
  • HACHET, Jules. La basilique de Saint-Quentin. Son Histoire - Sa Description. Troisième édition. Saint-Quentin : Imprimerie moderne, 1926.

    p. 67-69
  • HÉMERÉ, Claude. Augusta viromanduorum vindicata et illustrata. Duobus libris. Quibus antiquitates urbis, et ecclesiae Sancti Quintini, viromandensiumque comitum series explicantur. Paris : Jean Bessin, 1643.

    p. 258
  • LECOCQ, Georges. Journal de l'incendie & de la restauration de l'église de St-Quentin (1669-1681) par le chanoine De Croix, publié et annoté par Georges Lecocq. Saint-Quentin : Imprimerie Ch. Poette, 1877.

    p. 10
  • PEITAVY, chanoine Jean-Antoine. Mémoire sur la Ville et les Environs de St-Quentin. Saint-Quentin : imprimerie Ch. Poette, 1883.

    p. 29
  • RAUGEL, André. Les Grandes Orgues et Les Organistes de la Basilique de Saint-Quentin. Argenteuil : imprimerie de la Presse de Seine-et-Oise, 1925.

  • RAUGEL, Félix. Les grandes Orgues et les Organistes de la Basilique de Saint-Quentin. L'Orgue, avril-septembre 1967, n° 122-123.

    p. 134-153
  • WEIGERT, Roger-Armand. Jean I Berain. Dessinateur de la chambre et du cabinet du roi (1640-1711). Paris : [s.n.], 1936. Th. doc. : Lettres : Paris : 1936.

    p. 109-110, 166-167, pl. XIV

Documents figurés

  • Plan du Buffet et du positif de l'Orgue et de l'emplacement des souflets de l'Eglise de Saint Quentin, dessin à l'encre aquarellé, par Edouard Pingret, 1804. In : PINGRET, Edouard. Vues extérieures et intérieures de l'église de Saint Quentin, ainsi que de plusieurs autres monuments de la dite église ; contenant légendes historiques, remarques et explications sur le martyr de saint Quentin, 1804 (coll. part.).

    folios 40 verso-41 recto
  • Vue de l'Orgue et du Positif de l'Eglise de Saint Quentin, dessin à l'encre aquarellé, par Edouard Pingret, 1804. In : PINGRET, Edouard. Vues extérieures et intérieures de l'église de Saint Quentin, ainsi que de plusieurs autres monuments de la dite église ; contenant légendes historiques, remarques et explications sur le martyr de saint Quentin, 1804 (coll. part.).

    folios 43 verso - 44 recto
  • Saint-Quentin. La Basilique. Les Orgues. N. D. photographe, [vers 1900]. Impr. photoméc. (carte postale).

  • Saint-Quentin. La Basilique. Les Grandes Orgues, 1703. N. G. éditeur, [vers 1925]. Impr. photoméc. (carte postale).

  • Grandes orgues de la Cathédrale de Saint-Quentin - Etat à la date du 24 Octobre 1929 / C. M. photographe. Paris : [s. n.]. 1930. 1 est. (il. de périodique). Dans : "La Construction moderne", 45e annnée, n° 29, 20 avril 1930, 1ère de couverture.

  • Saint-Quentin. La nef et les grandes orgues. [vers 1960]. Impr. photoméc. (carte postale).

Date(s) d'enquête : 2001; Date(s) de rédaction : 2008
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Riboulleau Christiane
Riboulleau Christiane

Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France jusqu'en 2022.

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