Dossier d’œuvre objet IM02004689 | Réalisé par
Riboulleau Christiane
Riboulleau Christiane

Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France jusqu'en 2022.

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  • enquête thématique régionale, la basilique de Saint-Quentin
Suite des onze reliefs, de style néogothique, de la clôture de choeur : Apostolat et martyre de saint Quentin, invention et culte de ses reliques (seconde série)
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois - Saint-Quentin
  • Commune Saint-Quentin
  • Adresse Ancienne collégiale royale, actuellement basilique Saint-Quentin
  • Emplacement dans l'édifice clôture du choeur élévation externe vers le déambulatoire
  • Dénominations
    relief
  • Titres
    • Apostolat et martyre de saint Quentin, invention et culte de ses reliques
  • Appellations
    style néogothique

Vers le milieu du 19e siècle, commence la restauration raisonnée de l'ancienne collégiale, sous la direction de l'architecte Pierre Bénard. Dans un premier temps, l'activité porte sur le renouvellement du décor et l'ameublement des chapelles dans un style néo-gothique ; puis, dans le courant des années 1870, le choeur qui doit recevoir un nouveau maître-autel monumental devient le centre de toutes les attentions. Se repose alors la question du décor du mur de clôture du choeur, sujet récurrent. De ce mur de dix-sept travées, bâti en 1316, seules douze travées de maçonnerie (dont l'enfeu de Grégoire de Ferrière) se dressent encore, intouchables pour leur rôle légendaire dans la stabilité des colonnes du choeur. Les cinq travées du sanctuaire ont en effet été détruites pendant la période révolutionnaire ou dans les premières années du 19e siècle. Le décor en relief de la première moitié du 14e siècle, consacré à l'histoire de saint Quentin et de ses reliques, a été mutilé pendant la Révolution, et il n'en subsiste donc que les fragments de dix de ses quinze reliefs, arasés pour raisons esthétiques en 1812. Une amélioration de la gestion des travaux de restauration du monument et de la situation financière de la fabrique permet enfin, dans le courant des années 1880, la restauration du décor sculpté tant regretté. Le terme "restauration" est employé dans la plupart des textes de l'époque. Mais loin de lui donner le sens actuel, il faut lui donner le sens de : création nouvelle s'inspirant du décor disparu. Le travail est confié à Francis et Aimé Jacquier de Caen, spécialisés dans l'ameublement et la décoration des édifices religieux, et qui vont intervenir à plusieurs reprises dans la basilique dans le dernier quart du 19e siècle. Leur signature est peinte sur le premier relief de la série. Pour composer les onze reliefs souhaités, ces artistes, sculpteurs et décorateurs, disposent alors de plusieurs sources. Les vestiges en place du décor d'origine (traces des personnages, représentation de bâtiments, moulures ornementales et encadrement de certaines scènes, restes d'inscriptions peintes) peuvent fournir le nombre de personnages, leur emplacement et leur attitude. Deux manuscrits médiévaux illustrés, consacrés à la vie et au martyre du saint : l'Authentique (conservé alors à la basilique, actuellement à la Bibliothèque municipale de Saint-Quentin) et surtout le "Rotulus" de Louvain (conservé alors à Louvain, actuellement à la Bibliothèque royale de Belgique à Bruxelles), proposent des modèles pour la composition des scènes, comme en témoignent plusieurs auteurs contemporains des Jacquier. Les scènes du "Rotulus" de Louvain ont d'ailleurs été dessinées et publiées par Adolphe Everaerts en 1874, dans un ouvrage qui facilite leur consultation et qui est acheté, l'année même de sa parution, par le conseil de fabrique ou le clergé. Enfin, deux séries de dessins du 19e siècle ont également pu aider les sculpteurs. Il existe en effet une série complète de dessins, réalisée au plus tard en 1804, qui participe à "l'album Pingret" du nom de son dessinateur Edouard Pingret. Cet ensemble est le seul à représenter les quinze reliefs. Néanmoins, ce témoignage unique est à recevoir avec précautions car de nombreux détails n'évoquent aucunement l'époque médiévale, telles les colonnes ou pilastres ioniques qui séparent les scènes. En 1840, un dessinateur anonyme reprend les dessins d'Edouard Pingret et les corrige par des observations in situ. Malheureusement, ce travail très fidèle est incomplet et se limite au mur de clôture sud. Pour les six reliefs de la clôture sud, les frères Jacquier s'inspirent vraisemblablement de ces modèles et proposent des scènes dont le sujet reprend exactement les sujets traités dans la première moitié du 14e siècle. Mais, pour orner la clôture nord, les sculpteurs ne disposent plus que de cinq travées pour y installer des sujets occupant autrefois neuf entrecolonnements. Certains épisodes secondaires de la légende du saint sont donc écartés (la guérison du lépreux, le supplice des chaînes ardentes, la punition du prêtre Maurin, etc). Sur le mur de clôture nord, la distribution des scènes diffère donc totalement de leur disposition d'origine. La réalisation de ce décor occupe les années 1884-1890, financée à l'occasion par de généreux dons particuliers comme en témoignent encore les inscriptions peintes sur des écussons. La date de 1882, lisible sous la première travée, peut correspondre à un don précoce utilisé deux années plus tard. La progression du chantier est connue grâce aux programmes du pèlerinage annuel de Saint-Quentin imprimés sur affiche, ou encore par les récits de ces fêtes religieuses publiés dans l'hebdomadaire diocésain, documents intégrés dans le registre des délibérations du Conseil de Fabrique. Elle a dû respecter l'ordre des scènes et le déroulement de l'histoire de saint Quentin, à une exception près : le dernier relief à avoir été posé correspond en effet à la sixième travée sud, occupée jusque là par le décor médiéval arasé. La première travée "restaurée" des sculptures du pourtour du choeur est bénie le dimanche 26 octobre 1884, au cours du pèlerinage annuel. Trois autres reliefs sont bénis au cours du pèlerinage suivant, le mardi 27 octobre 1885. Une nouvelle travée est bénie le mardi 26 octobre 1886 par le cardinal Langénieux, archevêque de Reims. Un écusson (aujourd'hui disparu), faisant suite à cette travée, indique qu'elle est due à la libéralité des ecclésiastiques ayant exercé ou exerçant le ministère pastoral dans la paroisse de la basilique. Le pèlerinage d'octobre 1887 permet la bénédiction par Monseigneur Géraïgiry, évêque de Panéas, de deux travées récemment terminées (le jeudi 27 ou le dimanche 30 octobre). En 1888, de nouvelles scènes de la Passion de saint Quentin sont rajoutées aux précédentes, correspondant au minimum à une travée supplémentaire. Le récit du pèlerinage de 1889 révèle que la dixième scène de l'ensemble (l'élévation des reliques de saint Quentin en présence de Saint Louis) vient d'être placée dans la première travée de la clôture nord et qu'on met la dernière main à sa brillante décoration. A cette date, il ne reste plus qu'un seul relief à réaliser, qui doit être installé dans le collatéral sud, à la sixième travée. Le 29 avril 1890, le Conseil de Fabrique vote une dépense de 92 Francs pour cercler en fer ce qui subsiste des anciens bas-reliefs de la sixième travée et placer ces vestiges à l'étage de la chapelle Saint-Fursy où ils se trouvent encore actuellement. Ils sont remplacés par le dernier relief sorti de l'atelier des Jacquier, qui est béni avec l'un des reliefs précédemment réalisés, le mardi 28 octobre 1890. A cette date, le nouveau décor sculpté de la clôture n'intègre plus des anciens reliefs que des moulures et bandeaux décoratifs, ainsi que l'encadrement des scènes de la cinquième travée nord. La Première Guerre mondiale endommage ces reliefs. Trois d'entre-eux, plus sévèrement atteints, disparaissent lors de la restauration du monument (à l'exception de quelques éléments médiévaux qui gagnent un dépôt lapidaire). Leur emplacement est reconnaissable par la teinte plus grise de la maçonnerie qui leur a succédé (cinquième et sixième travées sud, cinquième travée nord). Les huit reliefs subsistants se présentent encore aujourd'hui dans leur état d'après-guerre.

Chacun des reliefs est formé de plusieurs panneaux assemblés. Les personnages et le cadre dans lequel ils évoluent se détachent sur le fond en adoptant diverses profondeurs de relief. Ces sujets, peints de couleurs variées, avec rehauts dorés, se détachent sur un fond doré.

  • Catégories
    sculpture
  • Structures
    • plan, rectangulaire horizontal, 11, juxtaposé
  • Matériaux
    • calcaire, blanc, en plusieurs éléments taillé, peint, polychrome, peint faux or, décor dans la masse
  • Précision dimensions

    Largeur de la première travée nord et sud : la = 470. Les deuxièmes et troisièmes travées nord et sud mesurent environ 400 cm de largeur.

  • Iconographies
    • cycle narratif, vie, action pastorale, martyre, reliques, dévotion aux saints saint Quentin
  • Précision représentations

    L'ensemble illustre la vie de saint Quentin, depuis son départ de Rome avec onze compagnons pour évangéliser la Gaule Belgique, jusqu'à son martyre par décapitation, puis l'immersion de son corps et de sa tête dans les eaux de la Somme. La suite des reliefs raconte l'invention des reliques par une Romaine aveugle, Eusébie, leur inhumation et la construction d'une chapelle sur cette tombe. Enfin, les derniers épisodes se rapportent à la seconde invention des reliques par saint Eloi, au milieu du 7e siècle, leur enchâssement dans un reliquaire précieux et, enfin, à la translation des reliques dans le nouveau choeur de la collégiale, en présence de saint Louis en 1257. Les inscriptions qui accompagnent les reliefs et sont rapportées dans le champ PINS précisent le sujet de chacune des scènes.

  • Inscriptions & marques
    • signature, peint, sur l'oeuvre
    • inscription concernant le lieu d'exécution, peint, sur l'oeuvre
    • date, peint, sur l'oeuvre
    • inscription concernant l'iconographie, peint, sur l'oeuvre, disparu, partiellement illisible, connu par document
    • inscription concernant le donateur, peint, sur l'oeuvre
    • armoiries, peint, sur l'oeuvre
  • Précision inscriptions

    La signature et la date de commencement de l'ensemble sont peintes en noir sur le premier relief, en bas et à droite devant la représentation de saint Quentin : F. & A. Jacquier / CAEN / 1884. Le nom de deux donateurs est peint en noir et doré sur des écus sculptés sous les reliefs. A la deuxième travée sud, l'écu sculpté sous la prison de saint Quentin porte l'inscription : Don / de Mme Vve / Lefranc-Mennechet / de St-Quentin / mdccclxxxii. A la troisième travée, l'écu sculpté sous la prison de saint Quentin porte l'inscription : Don de / M. Eug. Mennechet. / Conseiller à la / Cour d'appel / d'Amiens. / mdccclxxxv. Les inscriptions donnant le sujet des scènes sont peintes en noir et doré sur la moulure inférieure. Quelques inscriptions sont parfois portées sur la moulure supérieure. Les légendes des trois reliefs détruits en 1914-1918 ont disparu en même temps que les sculptures. La peinture de certaines légendes des travées nord s'est écaillée et les textes sont partiellement illisibles. Toutefois, la totalité des inscriptions est connue grâce à un fascicule de 1890, consacré à ce décor, et grâce à quelques photographies. Inscriptions de la première travée sud : Rome. + S Quentin et ses compagnons partis de Rome, vont annoncer l'Evangile dans la Gaule Belgique. St Quentin prêche à Amiens. Les noms des saints sont peints au-dessus d'eux : St. Chrysole. St. Piat. St Fuscien. St. Victorice. St. Eugène. St. Marcel. St. Valère. S. Rufin. S. Crépinien. St. Crépin. St. Lucius. St. Quentin. Deuxième travée sud : Rictiovare fait arrêter St Quentin et l´interroge. Il le fait conduire en prison. Il veut le forcer à sacrifier aux dieux. Troisième travée sud : Rictiovare fait flageller St Quentin. Il le fait jeter dans une prison plus étroite. Quatrième travée sud : St Quentin est délivré par un ange. Il prêche sur la place publique d´Amiens. Il baptise les nouveaux convertis. Cinquième travée sud (détruite) : [Rictiovare apprend que St Quentin / n'est plus en prison + Il le fait saisir et le tente par / des promesses + Les bourreaux lui disloquent / les membres + Ils le déchirent avec des / rateaux + Ils lui appliquent des torches / ardentes + Rictiovare leur ordonne / d'autres tourments]. Sixième travée sud (détruite) : [Rictiovare ordonne un breuvage composé de vinaigre, de chaux et d'huile bouillante. Il envoie saint Quentin à Auguste de Vermandois]. Cinquième travée nord (détruite) : [Saint Quentin à Auguste de Vermandois. Il refuse encore de sacrifier aux dieux. On lui enfonce des broches dans les épaules. On perce ses doigts de clous. Sa prière avant le dernier supplice. Rictiovare fait décapiter saint Quentin. Il fait jeter son corps dans la Somme. Vision d'Eusébie ; elle entend les paroles de l'ange : "Levez-vous, partez pour les Gaules"]. Quatrième travée nord : + Eusébie part pour les Gaules + + Elle interroge le vieillard Hérodien + Elle prie + Elle retrouve le corps de St Quentin +. Troisième travée nord : [Eusébie fait conduire le corps au lieu du martyre. Là les boeufs] ne peuvent plus avancer. [Elle fait] construire un tombeau et une chapelle. Deuxième travée nord : + St Eloi vient à Auguste de Vermandois + Il prie, entouré des pieux fidèles + Il retrouve et lève de terre le Corps de St Quentin + Il le dépose dans une Châsse précieuse +. Première travée nord : St Louis à Auguste de Vermandois + Accompagné des Evêques de la province de Reims + le roi tran[sporte] le Chef de St Quentin dans une Châsse nouvelle +. Les armoiries peintes sous les reliefs de la troisième travée nord sont celles des villes de Vermand et de Saint-Quentin. Vermand : échiqueté d'azur et d'or, au chef aussi d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or. Saint-Quentin : d'azur, à un buste de Saint-Quentin d'argent, accompagné de trois fleurs de lys d'or, deux en chef et une en pointe. Les armoiries peintes sous les reliefs de la première travée nord sont celles du royaume de France et du royaume de Castille, allusion à Saint Louis et à sa mère Blanche de Castille. France ancien : d'azur semé de fleurs de lys d'or. Castille : de gueules au château d'or, donjonné de trois tours, ouvert d'azur.

  • État de conservation
    • manque
    • mauvais état
  • Précision état de conservation

    Trois reliefs de l'ensemble ont été détruits au cours de la Première Guerre mondiale. Ils sont néanmoins connus par des documents figurés et des descriptions. En suivant le déroulement de l'histoire du saint, il s'agit des 5e et 6e reliefs (5e et 6e travées sud) et du 7e relief (5e travée nord). Ce conflit est également responsable des mutilations subies par les reliefs (disparition de têtes, lacunes du décor architecturé). L'inscription peinte des légendes s'efface sous certains reliefs du mur nord.

  • Statut de la propriété
    propriété publique
  • Intérêt de l'œuvre
    À signaler

Documents d'archives

  • AC Saint-Quentin : 6 S 1. Registre des délibérations du Conseil de Fabrique (21 mars 1811-10 janvier 1836).

    p. 31-32 (séance du 23 mai 1812)
  • AC Saint-Quentin : 6 S 3. Registre des délibérations du Conseil de Fabrique (17 septembre 1875-12 décembre 1906).

    p. 212-213 (1884), p 232-233 (1885), p. 262 (1886), p. 288-289 (1887), p. 303 ( 1888), p. 329 (1889), p. 338 (séance du 29 avril 1890)

Bibliographie

  • Les scènes sculptées de l'apostolat, du martyre & du culte de saint Quentin dans les travées du pourtour du choeur de la Basilique. Imprimerie du "Journal de Saint-Quentin" A. Bray et Cie, 1890.

  • BRANNER, Robert. The Saint-Quentin rotulus. Scriptorium. Revue internationale des Etudes relatives aux manuscrits, tome XXI, 1967.

    fascicule 2, p. 252-260
  • DREILING, Prof. Dr. Raymund. Die Basilika von St. Quentin. Ihre Geschichte und ihr Charakter. St. Quentin, 1916.

    p. 35-36
  • EVERAERTS, Adolphe. Vie de saint Quentin, d'après un manuscrit conservé aux archives de l'église de Saint-Quentin à Louvain. Louvain : typographie Ch. Peeters, 1874.

  • HACHET, Jules. La basilique de Saint-Quentin. Son Histoire - Sa Description. Troisième édition. Saint-Quentin : Imprimerie moderne, 1926.

    p. 48-52, 56-57
  • RAYMOND, Pauline. La clôture du choeur de la collégiale de Saint-Quentin. Mémoire de Master 2 d'Histoire de l'Art Médiéval sous la direction de Madame Anne-Marie Legaré. Université des Sciences Humaines et Sociales Charles de Gaulle-Lille 3. Domaine universitaire du "Pont de bois". 2 volumes (texte et illustrations), septembre 2008.

Documents figurés

  • Vue de la cinquième travée sud du choeur, prise depuis le collatéral (avant 1914), photographie, limite des 19e et 20e siècles (Société académique de Saint-Quentin : non coté).

  • Saint-Quentin. Basilique. Martyre de saint Quentin. Première travée. P. D. photographe, [vers 1900]. Impr. photoméc. (carte postale).

  • Saint-Quentin. Basilique. Martyre de saint Quentin. Deuxième travée. P. D. photographe, [vers 1900]. Impr. photoméc. (carte postale).

  • Saint-Quentin. Basilique. Martyre de saint Quentin. Troisième travée. P. D. photographe, [vers 1900]. Impr. photoméc. (carte postale).

  • Saint-Quentin. Basilique. Martyre de saint Quentin. Quatrième travée. P. D. photographe, [vers 1900]. Impr. photoméc. (carte postale).

  • Saint-Quentin. Basilique. Martyre de saint Quentin. Cinquième travée 1ère partie. P. D. photographe, [vers 1900]. Impr. photoméc. (carte postale).

  • Saint-Quentin. Basilique. Martyre de saint Quentin. Cinquième travée 2e partie. P. D. photographe, [vers 1900]. Impr. photoméc. (carte postale).

  • Saint-Quentin. Basilique. Martyre de saint Quentin. Sixième travée. P. D. photographe, [vers 1900]. Impr. photoméc. (carte postale).

  • Saint-Quentin. La Basilique. Scènes du Martyre de saint Quentin. Côté nord près de la porte latérale du Choeur. N. G. éditeur, [vers 1920]. Impr. photoméc. (carte postale).

Date(s) d'enquête : 2010; Date(s) de rédaction : 2010
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Riboulleau Christiane
Riboulleau Christiane

Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France jusqu'en 2022.

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