Recherche

monument furent exécutés pour 2 300 francs par Delpierre, entrepreneur de maçonnerie à Vron. Le monument

p. 12. INVENTAIRE GÉNÉRAL DU PATRIMOINE. La Somme à ses enfants. Réd. Dominique GUERRINI, Jean

Applique en fonte à la base du monument représentant une couronne faite d'un rameau de chêne et

chaînes. Un escalier mène au monument, qui présente la forme d´une statue (étudiée), placée sur un socle à emmarchement. Inscriptions : HOMMAGE / DE LA COMMUNE DE MACHIEL / A SES ENFANTS / MORTS POUR LA France / 1914

[maçon] Delpierre A.

Machine à vapeur construite en 1856 et installée en juillet 1857 par l´ingénieur Farcot de Saint pompe à peu des frères Perier, mise en fonction en 1810, et dont la vétusté rendait son utilisation dangereuse. Cette machine à vapeur Farcot, qui permettait un débit de 31,3 mètres cubes à l´heure, a été en fonction jusque dans les années 1935, date à laquelle fut installée une pompe électrique. Laissée à l

machine à vapeur à piston

Machine à vapeur à traction horizontale, monocylindrique, à détente variable et condensation. Elle

dans le bâtiment de la pompe à feu

Machine à vapeur Farcot

Vue du mécanisme : volant, pignon, roue de réducteur, piston de la machine à vapeur

déjà mentionné au 18e siècle parmi les deux tordoirs à huile établi dans la ville de Braine. Le bâtiment a été largement remanié, voire reconstruit au milieu du 19e siècle pour adopter sa forme actuelle . Il a cessé son activité probablement après la Seconde Guerre mondiale, et a été transformé en

moulin à huile moulin à tan

escalier dans-oeuvre escalier tournant à retours sans jour

de travail à gauche et l'habitation à droite. Des bâtiments annexes (remise, écurie) devaient border

comble à surcroît

Ancien moulin à huile et à tan

toit à longs pans

Situé à 900 m. du front, cette casemate allemande a été construite dans un un corps de ferme, ou adossée à celle-ci, sous le couvert d'un rideau d'arbres (parcelles 226 et 227, section C du cadastre de . Pour sa facture et son positionnement on peut en attribuer la construction à la 81e Compagnie de Pionniers de Réserve, présente dans le secteur d'Aubers à partir du printemps 1917. Elle ne figure par

De la ceinture fortifiée de Strasbourg à la Position de la Bruche Philippe Burtscher, De la ceinture fortifiée de Strasbourg à la Position de la Bruche, Cercle D’Étude des Fortifications Société

casemate à personnel casemate à mitrailleuse

d’aération et une cheminée à périscope, de section octogonale. Elles sont distribuées par un couloir en permettaient d’accéder, au travers du couvrement, à une tranchée surélevée longitudinale desservant une par l'élévation nord-est ainsi que deux resserres à mitrailleuses à l'entrée nord du couloir.

resserre à mitrailleuse cheminée à périscope

Casemate à personnel et casemate à mitrailleuse 181

Casemate à personnel et casemate à mitrailleuse 181 cuve à mitrailleuse

De la ceinture fortifiée de Strasbourg à la Position de la Bruche "Les tôles sont généralement posées sur des pieds-droits servant également de support à des banquettes de bois. A leur sommet, [elles ] sont glissées dans des fers en 'U' rivetés dos à dos et maintenus à l'aide d'un outil spécial. Une fois fixés, les fers assurent la clef de voûte. Les tôles sont ensuite rivetées et l'ensemble est apte à

Depuis le couvrement, sortie de la cheminée à périscope IVR31_20145904163NUCA Accès à l'intérieur par échelons métalliques, depuis la tranchée surélevé IVR31_20145904160NUCA Resserres à mitrailleuses, entrée nord-est IVR31_20145904159NUCA

siècle. Avec le marais de Bélettre, il forme la section n° 154 qui appartenait à la commune, et il est alors formé de deux bâtiments parallèles et perpendiculaires à la Nièvre, qui alimente deux roues. Après la Révolution, il appartient à un certain Létocard. Comme le montre le plan cadastral de 1832, un des deux bâtiments a été considérablement agrandi au début du 19e siècle, et le site est alors partagé en deux unités distinctes : un moulin à huile avec une maison et un verger (sections C 214 à 216 ) appartiennent à Charles Ambroise Leroy, fabricant d'huile ; un moulin à blé complété d'une futaie en bord de rivière, ainsi que d'une maison d'un jardin et d'un verger de l'autre côté de la route (C 217 à 221 ) appartient à Pierre Carpentier, ménager au Soudet. La matrice des propriétés foncières permet de suivre les parcelle C 215 et 216 dépendant du moulin à huile. Celui-ci appartient à Jean-Baptiste Leroy de 1844 à 1880, puis à Oswald Leroy de 1881 à 1905. Un bâtiment de la parcelle C 215 est converti en

Pernois. Plan cadastral : section C, dessin à l'encre, à l'aquarelle et au lavis sur papier p. 94 INVENTAIRE GENERAL DU PATRIMOINE CULTUREL. Région PICARDIE. Le Val de Nièvre, un territoire à

moulin à blé moulin à huile

produit fini. Le bâtiment d'eau, en retour d'équerre à l'arrière sur la rivière, occupe une partie de l'ancien moulin. La cour peu profonde est bordée à l'ouest par une remise attenante au bâtiment principal , et à l'est notamment par un ancien logement.

comble à surcroît

Ancien moulin à blé et à huile de Bélettre ou du Soudet à Pernois, puis minoterie du Soudet

toit à longs pans pignon couvert

l'inscription suivante : Harris/ Intertype/ Corporation/ Intertype a product of Harris-Intertype Limited ; la

Ce lynotype date de 1963. Il doit être rapproché de l'autre machine à fonction identique, datant de

machine à façonner machine à changer d'état

comporte un clavier de type machine à écrire qui imprime chaque caractère en plomb. Identique en structure et mode de fonctionnement à l'autre linotype conservée dans cette même imprimerie (IM02002732), cette

Machine à façonner, machine à changer l'état : linotype

Le moulin à farine et à tan appartient, en 1839, à un certain Provost. Avant 1880, le moulin à tan fait place à une scierie mécanique de quarante chevaux de force motrice. L'ensemble est restauré après la première guerre mondiale. Désaffecté dans les années 1950-1960, il a perdu le bâtiment hydraulique étaient loties. Le moulin à farine est aujourd'hui transformé en logements tandis que la scierie

moulin à farine moulin à tan

d'autre permettaient d'actionner les quatre paires de meules du moulin à farine (dont le mécanisme était dit à l'anglaise ), et l'unique paire du moulin à tan. Les descriptions du 19e siècle mentionnent les , remises, hangar). On reconnaît sur les photographies antérieures à 1914 un bâtiment établi au-dessus du lit de la rivière, probablement réservé à la production de l'énergie hydraulique, prolongé par le grand bâtiment de trois étages abritant le moulin à farine proprement dit. Un logis en rez-de-chaussée

comble à surcroît

Ancien moulin à farine et moulin à tan, dit Moulin Neuf, puis scierie (détruit)

Vue des façades du moulin à farine et du logis. IVR22_19930200438X

toit à longs pans

Selon la tradition orale, ce linotype daterait de 1936. Il doit être rapproché de l'autre machine à

machine à façonner machine à changer d'état

comporte un clavier de type machine à écrire qui imprime chaque caractère en plomb. Le magasin en haut

Machine à façonner, machine à changer l'état : linotype dite Intertype

mortier à encens pilon à encens

Des figures masculines, en pied et de profil, se font face deux à deux en frise autour du mortier . Ces figures jouent d'un instrument à embouchure. Le décor d'inspiration Renaissance évoque une

Mortier et pilon à encens

Le moulin figure sur la carte de Cassini de 1757. Le toponyme lié au site fait état d'un moulin à huile, même si aucune mention ne permet de vérifier ou d'infirmer cette hypothèse. À partir du 19e siècle, l'établissement est uniquement connu comme moulin à blé. Il apparaît sur le plan cadastral de 1833 et appartient alors à Charles-Nicolas Rose, meunier, à qui succèdent Philogène Rose puis Isidore Philogène Rose en face du premier (D2 830), est détruit en 1861. Le moulin passe peu après à François Lattier, meunier (matrice des propriétés foncières). Auguste Lamart, propriétaire à Beaumetz-lès-Loges de la famille Hochin à partir de 1903, le moulin à farine cesse son activité vers 1935 pour se limiter à une activité agricole. Après la Seconde Guerre mondiale, le site est acquis par la famille

détail Canaples. Plan cadastral : section D2, dessin à l'encre, à l'aquarelle et au lavis sur

moulin à huile moulin à blé

Établi à la confluence de la Nièvre et de la Fieffes, le moulin était alimenté par une roue sur fabrication, ainsi que la remise qui borde la cour à l'est, semblent avoir conservé la même disposition. Le enduite sous un toit d'ardoise. Son élévation sur cour n'a pas été modifiée tandis que l'aile en retour d'équerre, couverte de tuile, a été remaniée par son usage domestique (reprise de maçonnerie, percement des baies). La remise couverte de tuile a conservé au moins partiellement son torchis enduit. La roue hydraulique actionnée par la Fieffes, au droit du bâtiment d'eau, a disparu, mais la chute d'eau subsiste à

Canaples - Au-moulin-à-l'huile - 400 rue de la Vicogne - en village - Cadastre : 1833 D2 863 à

Ancien moulin à huile de Canaples, puis moulin à blé, devenu ferme

toit à longs pans pignon couvert

Un premier moulin à huile aurait d'abord existé sur le site et aurait donné l'appellation de l l'ensemble en moulin à blé. L'ensemble apparaît sur le plan cadastral de 1833. Le régime des eaux du moulin est réglementé par arrêté du 30 mars 1857. A la fin du 19e siècle ou au début du début du 20e, la variétés à Paris. Jusqu'en 1914, le site accueille de nombreuses personnalités du spectacle. La propriété certainement aussi à cette époque que le bassin de décharge a été comblé et que le bâtiment à usage de dépendance a été détruit. Après avoir connu plusieurs propriétaires, le site est entretenu par M. Pipette qui , en 1983, a procédé au remontage d'une autre roue, dont la force n'est toutefois plus utilisée.

Villégiature Ch. Bernard à Machemont, près de Compiègne (Oise), Gare de Thourotte. Une dépendance [Plan masse du moulin], annexe à une demande de non participation au curage de la rivière, dessin

moulin à huile moulin à blé

Moulin en pierre de taille calcaire de moyen appareil, à un étage carré et étage de comble, couvert d'une toiture à longs pans et demi-croupe en tuile plate. Le bâtiment sert aujourd' hui de maison. La remise est également en pierre de taille de moyen appareil et couverte d'une toiture à longs pans et

Mélicocq - Moulin-l'Huillier - isolé - Cadastre : 1833 A 298, 299 1996 ZI 48

Ancien moulin à huile dit Moulin l'Huillier, puis moulin à blé puis maison de villégiature dite

Plan masse du moulin : extrait de la section A du plan cadastral napoléonien, 1833 (AC Mélicocq Vue du moulin encore pourvu du bâtiment abritant la roue hydraulique à gauche, vers 1905 (AP

toit à longs pans

ses charges à Isidore Devisme pour la somme de huit mille livres. Ce dernier, puis sa veuve, se voient (c'est-à-dire un second moulin), dans l'alignement de l'autre, destinée à un tordoir à huile (D2 971 ). Selon l'état de sections et les matrices cadastrales, le moulin à blé appartient ensuite à Jacques Valembert-Petit, meunier, qui agrandit le bâtiment d'eau en 1862, puis en 1883 à Cyprien François, négociant à Naours, qui agrandit le logement contigu en 1891. Se succèdent ensuite Alexandre Goujon , propriétaire à Woincourt, puis Samuel Joseph Delbauve. En 1923, l'ancien moulin à blé (D2 967), la maison voisine (D2 966) et un magasin (D2 972) appartiennent à Georges Vignon, négociant en vin, entre 1921 et 1927. Jacob Devisme reprend quant à lui le moulin à huile, qu'il cède avant 1874 à son fils Firmin Benjamin Devisme-Boutilly, cultivateur fabricant d'huile. Après 1901, le moulin à huile semble cesser son Guerre mondiale, puis le site est loué à divers occupants avant d'être désaffecté dans les années 1970

Canaples. Plan cadastral : section D2, dessin à l'encre, à l'aquarelle et au lavis sur papier Canaples. Le Moulin, carte postale, Vignal éditeur à Auxers (Cantal), 1914-1918 (AD Somme ; 8 Fi

moulin à blé moulin à huile

Canaples - Au-moulin-de-Canaples - isolé - Cadastre : 1833 D2 966 à 975 1995 D2 515

Ancien moulin à blé et à huile de Canaples, puis ferme, devenu usine de petite métallurgie (détruit)

l'aiguière et au fond du bassin (écartelé : 1) d'or plain, 2) de gueules à l'étoile d'or, 3) d'azur plain, 4

Cet ensemble, formé d'une aiguière et d'un bassin à ablutions en argent doré, est une création du chapelle de Monseigneur Jules-François de Simony, évêque de Soissons de 1824 à 1847. Il est probable que cette chapelle a été constituée par le prélat très rapidement après son accession à l'épiscopat , à la mense épiscopale de Soissons. Les médailles qui ornent le bord du bassin sont signées et sont chapelle épiscopale de Soissons. Le bassin à burettes, en particulier, est orné des quatre médaillons de

p. 16. A Évêché Soissons : Cathédrale de Soissons. Archives du chapitre, boîte 9 (Comptes

aiguière à ablutions bassin à ablutions

supérieure a reçu une alternance de feuilles d'acanthe et de feuilles d'eau. À la base de la panse, la fausse -coupe est composée d'une alternance de feuilles d'eau et de bouquets de roseaux, allusion à l'eau col du récipient. L'anse, à la base de laquelle se détache une tête de chérubin, est ornée de palmes Évangiles qui se rapportent tous à un repas préparé et généreusement distribué par Dieu. La Cène, dont l'iconographie est ici tout à fait conventionnelle, est le dernier repas du Christ le Jeudi Saint, avant la Évangiles rapportent deux miracles de ce type) est considéré, à cause de l'attitude et des paroles du Christ ou de l'Invité indigne, représente l'invitation de Dieu à le rejoindre, invitation à laquelle peu noces et le serviteur qui apporte les mets sont plutôt représentés à l'arrière-plan. En revanche, le devant de la scène est réservé au roi qui ordonne à ses serviteurs de lier l'invité qui n'a pas revêtu -dessus son épaule ou lui parler à l'oreille. Saint Luc, appuyé sur un livre, paraît méditer, observé par

médaillons qui se remarquent sur la panse ont été fondus à part et rapportés. Le bassin à ablutions est de s'agisse du bandeau décoratif qui court à la périphérie de l'objet ou des quatre médaillons fondus qui

Aiguière et bassin à ablutions, de la chapelle de Monseigneur de Simony

. La largeur a été mesurée du bec à l'anse. Les mesures du bassin sont les suivantes : h = 4 ; l = 38

Vue de l'aiguière et du bassin à ablutions. IVR22_20010202437XA Vue de l'aiguière et du bassin à ablutions. IVR22_20010202438XA

Moulin construit en 1841 (l'élévation sur cour porte la date) à l'emplacement d'un précédent moulin détruit. Le bâtiment, dépourvu de sa roue, a abrité une fromagerie (dite fromagerie de la Neuville les

culturel à Amiens.

moulin à farine

Moulin construit en brique avec un toit d'ardoise à demi-croupe. Le bâtiment à usage de remise , écurie et resserre est en brique et silex avec essentage de tôle et toit à pignon couvert en tôle ondulée.

comble à surcroît

La Neuville-lès-Dorengt - 1 rue du Fort - en village - Cadastre : 1838 C1 163 A 165 1986 AB 82, 96

élévation à travées

Ancien moulin à Farine

toit à longs pans

Inscription concernant le fabricant (machine à tisser) : Dornier ; plaque signalétique (machine à FC214L-CAOOOZ 33, 220-380 V, 6,65-3,85 A, 1,8 KW, 960 t/min, 50 Hz, Isol. KL. 8.

Cette machine à tisser a été construite en 1971 par le constructucteur allemand Dornier, dans ses principalement équipée de ce type de machines, acquises à partir des années 1970, après l'agrandissement de

machine à tisser à lances et ratière

machine à tisser

Cette machine à tisser (le terme métier est réservé aux machines dotées de navettes), conçue pour , provoquant l'interruption du mouvement de cisaillement qui les anime et l'arrêt de la machine à tisser plusieurs cadres en bois et métal, appelés lames. Elles sont placées au centre du châssis de la machine à placé au sol, dans l'axe du châssis de la machine à tisser. Le levage et l'abaissement simultanés des (actionné par une petite mécanique Stäubli à lecture de bande plastique perforée continue) vers la foule et est alors coupé), et l'entraîne dans la foule. A mi-parcours, une commande positive déclenche l'ouverture de la pince d'entrée qui transmet alors le fil de trame, appelé duite, à une seconde lance, la maintien du tissu dans l'axe de la machine, assurant la mise à la largeur, et évitant son retrait sous l'action du peigne) vers le rouleau d'appel, et placé à l'avant de la machine. Le tissu s'enroule ensuite sur le rouleau toilier, placé sous le rouleau d´appel. Cette machine à tisser est mise en mouvement

Machine à tisser à lances et ratière

Vue générale de la machine à tisser. IVR22_20040201092NUCA Les fils de chaîne, déroulés de l'ensouple (en bas à gauche), orientés par le porte-fils, sont chevauchés par les casse-chaînes à lamelle (au centre), avant de passer dans les lisses (à droite Casse-chaînes à lamelles (en haut, à gauche) et lisses, vus de dessous. IVR22_20040201095NUCA Ratière Stäubli destinée à la mise en mouvement des lames de lisses. IVR22_20040201097NUCA Ratière (mécanisme d'armure) Stäubli de la machine à tisser. IVR22_20040201098NUCA Les fils de chaîne, orientés par le porte-fils (cylindre à droite) et traversés par les baguettes d'encroix, sont chevauchés par les casse-chaînes à lamelles (au centre) avant de passer dans les oeillets des lisses (à gauche). IVR22_20040201099NUCA Casse-chaînes et lames de lisses à l'arrêt. IVR22_20040201101NUCA

Inscription (sur un papier contenu à l'intérieur de la boite) : Grugeoir ou plutôt boîte à poivre

Cette boîte à poivre provient du village de Laigny. Datant du 19e siècle, c'est l'un de ces nombreux petits objets domestiques autrefois en usage dans les cuisines servant à la conservation des aliments. De fabrication locale, elle a été donnée au musée par Mr Hector Laloux.

boîte à poivre

boîte à épices

La boîte à épices est en bois de couleur rougeâtre, peut-être du poirier, tourné et rainuré. De plan circulaire, elle affecte la forme d'une petite fiole ventrue à élévation galbée. Elle comporte un petit couvercle à pointe qui s'encastre.

Boîte à épices (boîte à poivre)

La chaire, datant du 3e quart du 17e siècle, provient de l'abbaye de Saint-Lucien et fut donnée à la cathédrale en 1805 par Michel Boislisle pour remplacer le mobilier dévasté à la Révolution.

p. 134 BARRAUD, Pierre-Constant (Abbé). Notice sur les chaires à prêcher. Bulletin monumental, 1870. p. 130-131 (a, b) PICARDIE. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la

chaire à prêcher

saints ont été décapités vers 290 à Beauvais et leurs corps furent découverts au VII siècle selon saint tout autour. Sur les panneaux à côté du dossier se trouvent des angelots, tandis qu'un décor de

. L’ensemble a été réalisé en chêne.

Chaire à prêcher (n° 1)

cuve au sol est de 210 cm. Il y a environ 7 mètres jusqu' au globe qui surmonte l'’abat-voix.

à poser

Ancien moulin à farine datant du milieu du 19e siècle.

Ce dossier de repérage du patrimoine industriel établi en 1990, a été complété de photographies en

moulin à farine

Atelier de fabrication à deux étages carrés en brique et béton armé, toit en terrasse.

élévation à travées

Ancien moulin à farine

Façade postérieure du moulin à farine. IVR22_20158005914NUCA

toit à longs pans

immeuble à logements

brique brique et pierre à assises alternées

d'autre du passage traversant central donnant accès à la cour. Construit en pan de bois hourdé en brique et enduit, et couvert de tuiles, il présente un mur-pignon à assises alternées de briques et de

Saint-Ouen - 21 à 27 rue de la Cavée - en village - Cadastre : 1832 A 98 1984 AC 13 à 16

Immeuble à logements locatifs à Saint-Ouen

Cette commode-secrétaire à abattant est de style Louis-Philippe. Elle date très vraisemblablement

cuir gravé doré à la feuille

commode-secrétaire à abattant

secrétaire à abattant

ornement à forme architecturale pilastre ornement à forme végétale corne d'abondance feuillage fleurs palmette ornement à forme géométrique

Le secrétaire à abattant est de plan rectangulaire et à élévation droite. Il est à un seul corps -dessus de l'abattant. Celui-ci, servant de pupitre-table à écrire, possède une garniture de cuir à décor gravé et doré à la feuille. L'abattant laisse apparaître 2 rangées de tiroirs superposés formant niche

dans la grande chambre à coucher

Secrétaire à abattant, de style Louis-Philippe

à abattant