Dossier d’œuvre architecture IA62005191 | Réalisé par
Girard Karine (Rédacteur)
Girard Karine

Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.

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  • patrimoine de la Reconstruction
  • enquête thématique régionale, La première Reconstruction
Ancienne ferme, propriété de M. Jean Peugniez, puis maison
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communauté de communes du Sud-Artois - Bapaume
  • Commune Bapaume
  • Adresse 3 rue faubourg de péronne
  • Cadastre 2020 000 AE 01 268
  • Destinations
    maison
  • Parties constituantes non étudiées
    jardin, pavillon de jardin

La position de la maison, aujourd'hui isolée en milieu de parcelle, est assez exceptionnelle à Bapaume mais s'explique par la destination initiale de la maison qui était l'habitation de ferme. Elle était donc insérée dans un ensemble de bâtiments agricoles aujourd'hui disparus ce qui en fausse la lecture.

La ferme de M. Peugniez est caractéristique des fermes de la reconstruction à Bapaume. Elle est située dans un faubourg où l'espace est disponible, et particulièrement dans la rue du faubourg de Péronne où les fermes représentent 26% des constructions. Elle est reconstruite avant 1923, c'est à dire dans la première phase de reconstruction. Son organisation spatiale privilégie la séparation des fonctions d'habitation, des espaces de stockage du matériel et ceux des productions agricoles, et des bâtiments d'élevage. La fosse à fumier reste dans la cour, mais elle est déplacée au fond et est dans un bâtiment couvert spécifique. Les bâtiments sont regroupés en U autour d'une cour qui ouvre sur la rue. L'habitation est "luxueuse" (surfaces, équipements sanitaires et électriques, chauffage central...) et bénéficie d'une recherche architecturale.

Un petit bow-window à pans coupés couvert en appentis assez similaire à celui situé sur le mur pignon se retrouve sur la façade de la maison de maître de la brasserie rue du Maréchal Leclerc appartenant au même propriétaire, sur la façade du pan coupé de la maison à trois unités d'habitation-commerce réalisée par le même architecte pour Mme Legay-Carpentier rue du Faubourg de Péronne ou sur le fronton de l'hôtel Sheffield, ou encore l'ancienne maison à boutique de Mme Legay-Carpentier.Ancienne maison à boutique de Mme Emilie Legay-Carpentier, 4, rue de péronne. Construite en 1921 par l'architecte Paul Decaux.Ancienne maison à boutique de Mme Emilie Legay-Carpentier, 4, rue de péronne. Construite en 1921 par l'architecte Paul Decaux.

Ce bow-window situé au second niveau, ce qui est très original ces derniers étant plutôt au rez-de-chaussée, semble être une "signature" de Decaux - Crevel à Bapaume.

La maison de maître de la brasserie présente de nombreux points commune avec la maison de la ferme : plan carré avec les excroissances des vérandas, oriel à pans coupés sur le fronton-pignon, distribution centrale, deux salles à manger...

Éléments de contexte

La maison est reconstruite à la demande de M. Jean Peugniez. Les plans, dus à Decaux et Crevel sont validés en décembre 1923. Aucune pièce n'est conservée dans le dossier de dommages de guerre (AD Pas de Calais, 10R9/93) ou dans le fonds Decaux (45J105-106) qui permettrait de dater la fin des travaux. De même, aucun devis descriptif ne figure dans les dossiers. Seul un "devis estimatif au mètre superficiel" et les dessins des plans et des élévations documentent le projet.

Le fonds Decaux (AD Pas-de-Calais, 45J105 et 106) conserve un plan de situation daté de mai 1920 qui montre une maison située en retrait de la rue et au milieu d'un vaste jardin. Le plan est identique à celui de la maison effectivement construite. A l'arrière du terrain, sont prévus deux écuries, une remise, un hangar, un fournil et un poulailler.

La reconstruction de la ferme

Un plan de situation, des plans et des élévations de bâtiments agricoles sont conservés dans ce même fonds. Malheureusement sans date, ils montrent des constructions jointives d'un niveau couvertes par des toitures à longs pans percées de lucarnes sur le versant, organisées autour d'une grande cour rectangulaire perpendiculaire à la rue.

On y trouve successivement une grange, une écurie de 15 box, un abreuvoir, une basse-cour ouverte (autour de laquelle sont installés un poulailler, des clapiers et un pigeonnier dans une tourelle couverte par une poivrière), une porcherie, un local de préparation des aliments pour les animaux, un local pour les "gens de ferme" équipé d'une cheminée et une "fosse à pulpes" (la pulpe est le résidu du broyage des betteraves riche en cellulose et sert à nourrir les ruminants).

Perpendiculairement à ce premier ensemble et venant fermer le fond de la cour est située une grande "vacherie" devant laquelle est construit un fumier couvert.

Sur le côté droit, derrière la maison, on trouve une "remise à chariots", un chenil et une buanderie.

Le long de la rue, à l'opposé du côté occupé par la maison, la cour est en partie fermée par un bâtiment en retour d'équerre qui abrite un fournil et un "hangar pour voitures de luxe". Un long jardin d'agrément borde l'avant et le côté droit de la maison. Il accueille une volière.

Les matériaux préconisés par l'architecte pour la maison d'habitation

Dans le devis la maison est appelée "grand bâtiment" et le budget prévisionnel est arrêté à 317 000 francs.

Le récapitulatif des dépenses apporte quelques indications sur les matériaux employés mais ne permet pas de préciser où ces derniers ont été mis en œuvre. On trouve ainsi mention d'une maçonnerie de briques, de pierre de taille, de ciment et de ciment armé, de plâtre, de carrelage et de faïence, d'une charpente en sapin, de planchers et de menuiseries en chêne et en sapin, de marbrerie (pour les manteaux de cheminées). Le dessin des sols sur plans permet de préciser que les espaces sanitaires et la cuisine sont carrelés.

Des plus-values sont prévues pour des "menuiseries soignées et en bois apparent en chêne ou en sapin, des persiennes métalliques et en bois, une décoration soignée peinture et tenture, un service d'eau avec appareils sanitaires et installation complète de la salle de bain, l'installation du gaz, l'installation complète de l'éclairage électrique et de 38 lampes, l'installation du chauffage central et des radiateurs". Enfin, "le grand bâtiment" comprend des annexes : "buanderie en rez-de-chaussée (...), deux bow-window et auvents, perrons divers et trottoirs, clôtures".

Le projet de l’architecte : les plans de la maison d'habitation

Les plans des différents étages montrent une maison de plan carré avec une distribution centrale.

La cave est divisée en quatre espaces, dont une cave à vin et une à bière.

Au rez-de-chaussée, on trouve à droite en enfilade deux salles à manger. Celle sur rue s'appelle "grande salle à manger" et celle sur le jardin est complétée par une véranda de plan rectangulaire. A gauche, le salon donne sur la rue et précède un espace abritant la cage d'escalier qui mène à l'étage et un W.C., puis la cuisine. La buanderie est située à gauche de la cuisine. Comme la véranda, elle déborde du plan carré initial. Tous les accès se font par un degré rectangulaire. On en compte trois : un donnant directement dans la cuisine et la buanderie, les deux autres étant situés à chaque extrémité du couloir central et donnant sur la rue ou sur le jardin.

Les deux étages s'organisent autour du palier de l'escalier, qui débouche sur un vestibule sur lequel s'ouvrent toutes les pièces. Au premier, cinq chambres, deux cabinets de toilette et une salle de bain se partagent l'espace, tandis que l'étage de combles est occupé par une très grande chambre sur rue, deux petites chambres et un grenier. L'escalier, qui dessert tous les étages, est encagé, tournant à retours à volées droites.

Le projet de l’architecte : les élévations

La maison est bâtie sur cave et compte deux étages : le rez-de-chaussée surélevé est complété par un étage carré et un étage de combles.

Sur toutes les faces le soubassement est percé de soupiraux et semble être d'un matériau différent du reste de l'élévation.

Bien que toutes les façades de la maison présentent deux niveaux et trois travées organisées par rapport à un axe de symétrie central, leur aspect demeure assez différent. Les deux pignons sont identiques pour les deux premiers niveaux de façade : une travée centrale comprenant la porte couverte par un auvent surmontée d'une petite baie rectangulaire est encadrée de deux travées présentant une grande baie en plein cintre au premier niveau et une grande baie à linteau droit au second niveau. Mais le dernier niveau de façade, qui correspond à la partie du pignon enserrée par les longs pans, est occupé côté rue par un oriel à trois pans coupés couvert en appentis et côté jardin, par un triplet de baies horizontales. La façade latérale côté jardin montre au premier niveau les trois baies en plein cintre correspondant à la "grande salle à manger", puis la véranda. Les trois fenêtres rectangulaires du second niveau sont situées symétriquement au centre et à chaque extrémité de la façade. Elles se situent au-dessus des extrémités des baies du premier niveau et du centre de la véranda et sont également parfaitement alignées avec les trois lucarnes de l'étage de comble. Enfin, côté cour de la ferme, les travées sont bien visibles mais chacune présente une ordonnance différente : large baie en plein cintre, fenêtre rectangulaire et lucarne pour celle de droite ; porte sous auvent, baie à linteau droit et lucarne-pignon percée d'une baie en plein cintre pour celle centrale ; fenêtre rectangulaire, petite lucarne sur le rampant de l'appentis, grande lucarne sur le long pan. La lucarne-pignon latérale reprend la forme des pignons sur rue et sur cour dont les rampants sont interrompus par une souche de cheminée. Les linteaux des baies en plein cintre semblent être soulignés par des briques, tandis que ceux des baies rectangulaires semblent en béton, tout comme les appuis de l'ensemble des baies. Les maçonneries extérieures semblent être en brique.

La maison est couverte par une grande toiture à longs pans débordante, rythmée par trois lucarnes rampantes sur le pan droit et par une lucarne-pignon encadrée de deux lucarnes rampantes sur le pan gauche. La buanderie est couverte en appentis, et la véranda par une couverture en zinc.

La réalisation et les modifications ultérieures

Les vues aériennes réalisées par l'IGN à partir de 1947 montrent que les bâtiments agricoles ont été construits selon les plans de l'architecte, au moins pour ceux situées sur la gauche de la cour. Jusqu'en 1976, aucun d'entre eux n'avait été supprimé. En 1981, en revanche, il ne reste de la ferme que la maison d'habitation avec une partie du jardin à l'arrière.

La comparaison avec les plans dressés par Decaux montre que la maison a été édifiée conformément au projet en ce qui concerne les élévations et le rythme des différentes façades. On voit bien que les linteaux des baies en plein cintre sont soulignés par un arc de brique et que celles rectangulaires sont couvertes par un large bandeau en ciment. Aucun document ne permet de savoir quels étaient les matériaux de couverture ou l'aspect de la façade lors de la construction. Aujourd'hui, la maison est couverte en ardoise, tous les murs sont recouverts d'enduit tyrolien et le soubassement est en béton moulé avec un motif de fausse meulière. La propriétaire actuelle, qui possède la maison depuis plus de quarante ans, a indiqué qu'elle avait toujours connu la maison avec cet aspect.

A une date inconnue, les lucarnes ont été remplacées par des fenêtres sur le versant.

Les bâtiments et la cour de la ferme sont remplacés par un supermarché et son parking.

  • Dates
    • 1923, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Decaux Paul
      Decaux Paul

      Paul Decaux est né à Serqueux (Seine-Maritime) le 28 mai 1881. Après des études à Dieppe puis à l'École des Beaux-Arts de Paris où il obtient son diplôme d'architecte, il fait ses premières armes à Valenciennes, chez M. Lemaire. Il devient architecte en chef du département du Pas-de-Calais en décembre 1909 et un an et demi plus tard, architecte ordinaire des monuments historiques.

      Au lendemain de la guerre 1914-1918, il prend une part active à la reconstruction des communes du département : bâtiments communaux et monuments historiques (restauration de nombreuses églises dévastées et de la cathédrale d’Arras, palais Saint-Vaast et places d'Arras), mais également reconstruction d’un nombre considérable de maisons particulières. Il est ainsi l’architecte attitré de 14 coopératives de reconstruction (Préfecture du Pas-de-Calais, La reconstitution des régions libérées du Pas de Calais, situation au 1er janvier 1927).Son cabinet arrageois est installé rue d'Amiens à Arras. Il compte de nombreux collaborateurs et s’est souvent associé à Edouard Crevel, architecte installé 11 rue Deperré à Paris. On leur doit la construction d'établissements comme le sanatorium d'Helfaut ou l'École d'agriculture de Tilloy-lès-Mofflaines.

      Paul Decaux quitte le poste d'architecte départemental en 1950 et Arras en 1959. Il meurt à Dieppe le 6 septembre 1968. Il a été président du Conseil de l'Ordre des architectes, membre de la Commission départementale des monuments historiques du Pas-de-Calais, et de l'Académie d'Arras.

      (source : présentation du fonds Paul Decaux - 45J - Archives départementales du Pas-de-Calais)

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      architecte attribution par source
    • Auteur : architecte attribution par source

La maison est isolée, construite en retrait par rapport à la rue. Elle se situe à l'avant gauche de la parcelle. Elle est prolongée à l’arrière par un jardin. Les deux façades latérales sont bordées par une bande de terrain, assez large à droite mais très étroite à gauche. La façade principale donne sur la rue du faubourg de Péronne dont elle est séparée par un petit terre-plein gazonné.

Bien que s’agissant d’une propriété privée, l’intérieur actuel de la maison n’a pu être rapidement visité, confirmant que la construction s’était faite conformément aux plans de l’architecte et qu'hormis les décors, cette dernière n'avait pas été modifiée par la suite.

  • Murs
    • brique
    • ciment enduit d'imitation
    • béton béton armé
  • Toits
    ardoise, zinc en couverture
  • Plans
    plan carré régulier
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage de comble
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans pignon couvert
    • appentis
  • Typologies
  • Représentations
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée

La position de la maison, isolée en milieu de parcelle, est assez exceptionnelle à Bapaume. Elle s'explique par la destination initiale de la maison, qui était une habitation de ferme. La disposition de cet ensemble, aujourd'hui détruit, est caractéristique des fermes de la reconstruction à Bapaume. Elle est située dans un faubourg où l'espace est disponible, et particulièrement dans la rue du faubourg de Péronne où les fermes représentent 26% des constructions. Elle est reconstruite avant 1923, c'est à dire dans la première phase de reconstruction. Son organisation spatiale privilégie la séparation des fonctions d'habitation, des espaces de stockage du matériel et ceux des productions agricoles, des bâtiments d'élevage. La fosse à fumier reste dans la cour, mais elle est déplacée au fond et est dans un bâtiment couvert spécifique. Les bâtiments sont regroupés en U autour d'une cour qui ouvre sur la rue. L'habitation est "luxueuse" (surfaces, équipements sanitaires et électriques, chauffage central...) et bénéficie d'une recherche architecturale.

Un petit bow-window à pans coupés couvert en appentis assez similaire à celui situé sur le mur pignon se retrouve sur la façade de la maison de maître de la brasserie rue du Maréchal Leclerc appartenant au même propriétaire, sur la façade du pan coupé de la maison à trois unités d'habitation-commerce réalisée par le même architecte pour Mme Legay-Carpentier rue du Faubourg de Péronne ou sur le fronton de l'hôtel Sheffield. Ce bow-window situé au second niveau, ce qui est très original ces derniers étant plutôt au rez-de-chaussée, semble être une "signature" de Decaux - Crevel à Bapaume.

Paul Decaux a également construit pour M. Peugniez la brasserie située rue du Maréchal Leclerc. La maison de maître de cet ensemble présente de nombreux points commune avec la maison de la ferme : plan carré avec les excroissances des vérandas, oriel à pans coupés sur le fronton-pignon, distribution centrale, deux salles à manger...

Documents d'archives

  • AD Pas-de-Calais. Série R ; 10R9/93. Dommages de guerre. Secteur de Bapaume. Dossier 1378 - Olympe-Noémie Peugniez-Soualle. Habitations et estaminet. Devis, marché, plans.

    Attention : le titre du dossier ne correspond pas à son contenu : le dossier concerne la maison rue du faubourg de Péronne reconstruite par Monsieur Jean Peugniez. Le dossier est intitulé "maison de la ferme"… mais le dossier ne contient ni plans ni devis pour des bâtiments agricoles. Une maison-estaminet au croisement rue de la République et rue de Péronne est bien budgétée mais aucun plan ou devis pour cette construction ne figure dans le dossier.

    Illustrations utilisées dans la notice :

    - Façades principale, postérieure, latérale droite et latérale gauche ; coupe. Daté et signé P. Decaux et E. Crevel, 8 décembre 1923.

    - Plans du sous-sol, du rez-de-chaussée, du premier étage et des combles. Daté et signé P. Decaux et E. Crevel, 8 décembre 1923.

    Devis, marché, plans.
  • AD Pas-de-Calais. Série J : pièces, fonds et collections d'origine privée - fonds d'architectes ; 45 J Fonds Paul Decaux : plans, mémoires, devis, plaques photographiques ; ville de Bapaume (45J 102 à 107 ; ).

    Dossiers 105 et 106 : M. Peugniez (Brasserie et habitation, ferme et habitation). 54 plans du 15 avril 1920 au 6 septembre 1924 et sans date ; 10 études, sans date - Rue de Péronne : 2 plans, 1er décembre 1923.

    Liste des documents figurés utilisés dans la notice de la ferme :

    - Ferme de M. Peugniez à Bapaume : plan d'ensemble des bâtiments de la ferme. Sans date. Signé P. Decaux et E. Crevel, architectes.

    - Ferme de M. Peugniez à Bapaume : coupe sur hangar voiture de luxe ; élévation du bâtiment réunissant grange-écurie-abreuvoir-basse-cour-porcherie-fosse à pulpe. Sans date. Signé P. Decaux et E. Crevel, architectes.

    - Ferme de M. Peugniez à Bapaume : coupes sur le fournil, la remise et les écuries ; élévation du bâtiment réunissant fournil-grange-écuries ; façade sur route du bâtiment grange-remise-fournil ; façade sur cour du fournil-remise et coupe sur la grange. Sans date. Signé P. Decaux et E. Crevel, architectes. Sans date.

    - Ferme de M. Peugniez à Bapaume : coupes sur le lazaret, la vacherie, le fumier couvert, la remise, le chenil-buanderie ; élévation de la vacherie. Sans date. Signé P. Decaux et E. Crevel, architectes.

    - Ferme de M. Peugniez à Bapaume : élévation des bâtiments réunissant lapins-pigeonnier-poulailler et abreuvoir-basse-cour-porcherie-préparation des aliments-gens de fermes-fosse à pulpes ; coupes sur la fosse à pulpes, le pigeonnier-poulailler. Sans date. Signé P. Decaux et E. Crevel, architectes.

    - Ferme de M. Peugniez à Bapaume : élévation du bâtiment réunissant fournil-remise-grange, de la vacherie, de la buanderie, de la remise à chariot-chenil, le fumier couvert ; coupes sur le couvre-fumier, la remise et la vacherie. Sans date. Signé P. Decaux et E. Crevel, architectes.

    Liste des documents figurés utilisés dans la notice de la brasserie :

    - IVR32_ 428 :- maison de M. Peugniez à Bapaume : Brasserie : maison d'habitation : plan de situation, plans des caves, du rez-de-chaussée et de l'étage ; coupes sur AB, CD et EF. Daté et signé P. Decaux et E. Crevel, architectes, le 20 mai 1920.

    Plans
Date d'enquête 2018 ; Date(s) de rédaction 2019
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Girard Karine
Girard Karine

Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.

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Articulation des dossiers
Fait partie de