Dossier d’œuvre architecture IA80009688 | Réalisé par
Fournis Frédéric
Fournis Frédéric

Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France.

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  • inventaire topographique, Val-de-Nièvre
Château de Ribeaucourt
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Grand Amiénois - Domart-en-Ponthieu
  • Commune Ribeaucourt
  • Adresse rue du Château
  • Cadastre 1835 B1 144 à 148, 197 à 206  ; 1835 B2 433 à 479  ; 1984 B 239 à 248, 262, 281

Sources

L'article très documenté de Jocelyne Bulan et de Marcel Evrard (1994) met en lumière trois documents d'archives essentiels pour comprendre l'histoire et l'évolution du château de Ribeaucourt. Le contrat de 1678 pour des travaux de charpente (annexe 1) renseigne sur les modifications et agrandissements du logis à cette époque. Le procès-verbal de saisie de 1778 (annexe 3) donne une description très complète du domaine et des aménagements les plus récents, qui peut être complétée par l'inventaire après décès de François-Louis Le Fournier de Wargemont en 1773 (annexe 2) pour avoir une idée très précise du château et de ses dépendances à son apogée.

Pour le 19e siècle, le cadastre de 1835 (plan et état de sections) permet d'avoir un état du domaine alors qu'il a été repris par la famille de Berny, et les travaux du 19e siècle peuvent être suivis grâce aux matrices cadastrales.

Historique

Le château de plaisance de la famille de Wargemont

En 1613, Marie de Boubers hérite de son père la seigneurie de Ribeaucourt et s'y installe avec son époux Antoine Le Fournier, seigneur de Wargemont (paroisse de Graincourt, actuelle commune de Dechigny en Seine-Maritime), terre que possède la famille Le Fournier depuis le 15e siècle. Il est probable que la maison seigneuriale se présente encore sous la forme d'un manoir ayant conservé certains caractères médiévaux, comme la basse-cour précédant le logis et la tour latérale qui servira de chapelle seigneuriale jusqu'à la Révolution. Les deux caves subsistant sous le château actuel (aile nord-est et corps de logis sud-ouest) correspondent à ce premier manoir, la première portant un graffiti avec la date de 1642.

Le logis à deux niveaux et pignons, qui sera agrandi et modifié en 1678, a probablement été construit pour Antoine Le Fournier de Wargemont dans les années 1620, en tous les cas avant l'année 1635 qui marque le début d'une période de troubles dans le Ponthieu, peu propice à des travaux de cette envergure. Le 4 avril 1678 (annexe 1), François le Fournier, chevalier, seigneur de Wargemont, Ribeaucourt, Barlette, Graincourt et Méricourt, passe marché avec le maître charpentier amiénois François de Vaux, par l'intermédiaire de Dom Augustin de Saint-Joseph, prieur des Feuillants d'Amiens ; en effet, le charpentier vient de réaliser le grand escalier du couvent, situé rue des Rabuissons à Amiens, et avec lequel la famille Le Fournier est très liée.

Le contrat pour conduire des travaux de charpente au château de Ribeaucourt comprend plusieurs clauses : réalisation des plafonds et du toit à croupes et à deux lucarnes de l'aile est, en cours de construction ; rehaussement des deux niveaux du corps de logis principal, ainsi que du toit à deux croupes et six lucarnes communiquant avec celui de l'aile ; construction d'un escalier central en bois de fond en comble, semblable à celui des Feuillants, en bois à quatre volées avec rampe à balustres, probablement rampe sur rampe ; enfin la construction du toit de la chapelle. Comme l'indique le contrat, la façade du corps de logis principal comprend alors trois travées sur cour et sur jardin, et l'aile deux travées.

Il est certain que ces travaux de charpente ont été précédés de travaux de maçonnerie et de reprise d'élévations, et fort probable que l'aile ouest, symétrique en tous points à la précédente, ait été construite peu après sur le même modèle, peut-être à l'emplacement de corps de logis ou de bâtiment jouxtant la chapelle. Après ces travaux, le plan du logis doit être relativement simple et symétrique, le vestibule central desservant de part et d'autre une grande salle éclairée par une fenêtre sur la cour et une sur le jardin, suivie d'une chambre éclairée par deux fenêtres sur le jardin. Des pièces de service et de commodité complétaient probablement ces deux appartements côté cour. Comme au 18e siècle, un couloir côté cour devait déjà assurer la distribution des chambres et/ou appartements du premier étage. L'aménagement de la basse-cour à l'est et la construction des communs et dépendances ont dû s'étaler entre la fin du 17e et le milieu du 18e siècle. On doit à François-Louis Le Fournier, marquis de Wargemont, maréchal de camp, des travaux considérables à Ribeaucourt dans le troisième quart du 18e siècle, décrits dans le procès-verbal de saisie de 1778 (annexe 2) : aménagement de la cour en fer -à-cheval et de sa clôture, tracé de la demi-étoile qui la précède au nord et de la perspective plantée qui prolonge le parc au sud.

Au décès du marquis de Wargemont en 1773, la demeure est agencée et décorée selon la mode des maisons des champs du milieu du 18e siècle. Le grand escalier central a été supprimé au profit d'un escalier tournant avec rampe en fer forgé dans l'aile ouest, toujours de fond en comble, afin de dégager l'enfilade centrale du corps de logis principal et rétablir la transparence du vestibule entre cour et jardin. Celui-ci dessert toujours deux appartements de part et d'autre, avec salon dans le corps de logis principal et grande chambre (complétée d'une petite chambre, de garde-robes et de cabinets) dans les ailes éclairées sur le jardin. L'aile est abrite en outre la salle à manger, éclairée par deux croisées sur la cour, et agrémentée d'un buffet et de deux niches occupées par un poêle et une fontaine. A l'étage, un couloir éclairé sur la cour dessert cinq appartements (chambres avec leurs cabinets et garde-robes) exposés sur le jardin, et deux sur la cour dans les ailes. Les pièces à vivre sont revêtues de lambris de hauteur ou d'appui, cheminées de marbre avec trumeaux, dessus-de-porte peints en camaïeu, chambres avec alcôve en niche et garde-robes. La salle à manger communique avec l'aile des cuisines.

La villégiature de chasse de la famille de Berny

François-Louis Le Fournier de Wargemont laisse une succession obérée et ses domaines fonciers, mis en adjudication le 23 avril 1774, sont acquis pour 740 000 livres par son frère Aymar Le Fournier, comte de Wargemont. Mais de longues procédures vont l'opposer jusqu'à la Révolution aux enfants et héritiers de son frère.

Le domaine de Ribeaucourt est aliéné comme bien national sous la Révolution et acquis par un négociant d'Abbeville. La chapelle est probablement détruite à cette période. L'ensemble est recouvré en 1803 par Bonne Charlotte Le Fournier de Wargemont, marquise de Persan et dernière de sa lignée, qui le cède à son tour en 1821 pour 630 000 francs, avec la forêt de Goyaval et les terres de Barlette, au négociant amiénois Pierre-Louis Degove (1777-1828) et à son gendre Jean-Charles Deberny (1782-1855), également héritier d'une famille de banquiers et de négociants amiénois. Peut-être peut-on notamment attribuer à ce dernier, devenu seul propriétaire du château à la suite du décès de son beau-père, la commande du doublement du nombre des baies des façades du corps de logis principal, qui passent ainsi de trois à sept travées. Les baies ajoutées au vestibule central restent aveugles, en raison du léger décalage de dernier vers l'est.

On doit à Charles-Philippe de Berny (1825-1884), fils du précédent, les agrandissements de construction mentionnés en 1858 puis en 1861, dans la matrice des propriétés foncières pour la parcelle B 200 ; ces travaux concernent certainement la construction d'un corps de logis en prolongement du logis à l'ouest, à l'emplacement de l'ancienne chapelle, et probablement destiné au logement des invités des nombreuses parties de chasse. Ce bâtiment est presque symétrique à l'aile des cuisines des cuisines, qui est alors surélevée d'un étage carré. Ces travaux, ainsi que les transformation des remises de la ferme, peuvent être attribués à l'architecte Louis-Henry Antoine, qui travaille pour la famille de Berny à Ribeaucourt à la même époque (presbytère, chapelle funéraire).

À la fin du 19e ou au tout début du 20e siècle, Pierre de Berny (1861-1928) acquiert auprès de la commune la rue du château, dont l'usage pour les habitants est toutefois maintenu. La limite sud du parc du château est régularisée en 1924 par l'acquisition puis la démolition de deux maisons et de leurs jardins (parcelles B 179-180 et B 208-209) à l'entrée de la rue du Château (matrice des propriétés bâties), ce qui permet régulariser la limite sud-est du parc en prolongeant notamment sur la place le mur à assises alternées de brique et pierre. Par délibération du conseil municipal en date du 30 novembre 1924, la parcelle de terrain triangulaire située à l'extrémité du parc du château, en bordure de la rue Gamart, est vendue à Pierre de Berny, ce qui permet de régulariser la limite du parc dans la continuité de la perspective plantée (des autorisations de cessions, manifestement restées sans suite, avaient déjà été accordées en 1857, puis en 1907).

En 1928, Gérard de Berny (1880-1957), dernier représentant de la lignée, hérite de l'ensemble du patrimoine familial. Sénateur de la Somme et maire de Ribeaucourt, il est surtout connu comme bibliophile et amateur d'art et lègue à sa mort la demeure amiénoise de la famille (ancien hôtel des trésoriers de France) à la ville d'Amiens pour en faire un musée d'histoire régionale (actuel musée de l'hôtel de Berny). À Ribeaucourt, il fait construire dans les années 1930 le portail en brique et pierre qui marque sur la place publique l'entrée de la rue du Château.

Le château a été occupé de 1940 à 1944 par l'armée allemande, qui installe des rampes de lancement de V1 et de V2 dans le bois. Le 24 juin 1944, une des ailes du bombardier Lancaster de la Royal Air Force, écrasé au lieudit les Écléfauts, entre Fransu et Ribeaucourt, s'est échouée dans le parc du château, qui a également pâti des bombardements américains des 5 et 7 juillet 1944.

Le château est partiellement restauré par l'architecte amiénois Louis Douillet, qui fait notamment abattre la partie sud de la grange et le passage charretier entre les cuisines et les écuries, et relever les pignons dans le style classique en brique et pierre, entre 1950 et 1955. Bien que Gérard de Berny n'y réside guère que pour des parties de chasses, le domaine est parfaitement entretenu et géré par un personnel permanent.

Sans descendant direct, Gérard de Berny a laissé le domaine de Ribeaucourt, comprenant le château, une ferme et 1 400 hectares de terres et de bois, à son filleul (neveu de sa belle-sœur) Alain de Mieulle d'Estornez, marquis d'Angosse (testament du 24 décembre 1956, puis acte de propriété du 6 juillet 1964). La moitié du patrimoine foncier est peu à peu aliénée. Une importante restauration (toitures, huisseries, portail, chartrier) menée par Guy Cattaux, régisseur du château de 1982 à 1997, a favorisé la protection au titre des Monuments historiques en 1984, et a été couronnée en 1994 par le premier prix de l'association des Vieilles maisons françaises. Le château et son parc ont été acquis en 2009 par le propriétaire actuel. La famille de Mieulle d'Estornez d'Angosse est toujours propriétaire d'une partie des bois de Ribeaucourt et Monsieur-de-Berny, ainsi que des terres agricoles exploitées par la ferme du château de Fransu.

Le château, son parc et ses dépendances sont limités à l'ouest par la place publique et la rue du Château, au nord par l'esplanade bordant le portail et l'avenue plantée qui la prolonge à l'est, à l'est par la R.D. 165 et des propriétés privées, et au sud par la rue Gamart et diverses propriétés privées.

La rue du Château, fermée par un portail sur la place publique, mène à l'entrée du château proprement dite. La vaste cour à extrémité semi-circulaire est délimitée par un fossé à l'ouest et au nord, et fermée par un portail avec grille en fer forgé flanquée de hérissons. La contrescarpe se prolonge en hauteur pour former un mur de clôture à hauteur d'appui. Une allée bordée de deux parterres de gazon et rythmée de six chasse-roues de pierre mène au logis. Trois alignements d'arbres parallèles, en bordure du parterre de gazon ouest, contribuent établir la symétrie de cet espace.

La cour du château est précédée d'une esplanade semi-circulaire d'où rayonnent les quatre avenues subsistantes de l'ancienne demi-étoile à cinq branches.

La basse-cour, autour de laquelle sont construits la plupart des bâtiments abritant communs et dépendances, est située à l'est de la cour dont elle est séparée par une palissade d'arbres. Le jardin potager est aménagé au-delà de la basse-cour.

Le vaste jardin d'agrément se déploie sur la façade arrière du château. La grande pelouse bordée de massifs d'arbres forme une percée où un groupe de daim constitue une perspective animée.

Le logis est construit en fond de cour sur un plan régulier en H et élevé sur deux niveaux en brique avec éléments de pierre (bandeaux, encadrements de baies et chaînes d'angle harpés). Le corps de logis principal compte sept travées, et chacune des deux ailes en retour deux travées. Chacun des trois corps de logis est couvert d'un haut toit à longs pans et croupes avec lucarnes. Le rez-de-chaussée semble avoir conservé l'essentiel de sa distribution du 18e siècle, et les pièces, leurs proportions. La salle à manger, transformée en office, a été transférée dans l'ancienne grande chambre contiguë, dont l'alcôve en niche a été remontée dans l'autre grande chambre symétrique de l'aile sud-ouest. Un bureau éclairé sur la cour, et accessible depuis la cage d'escalier, remplace les anciennes pièces de commodité de cet appartement (petite chambre, garde-robes). Plusieurs pièces semblent avoir conservé tout ou partie de leur lambris ancien, et l'escalier principal a conservé sa rampe en fer forgé. Un corps de logis presque symétrique au bâtiment des cuisines prolonge le logis à l'ouest. Comportant cinq travées, il est également construit en brique avec éléments en pierre (bandeaux, encadrements de baies et chaînes d'angles harpées). Le mur-pignon comporte deux travées.

  • Murs
    • calcaire pierre de taille
    • brique brique avec pierre en remplissage
  • Toits
    tuile plate, ardoise
  • Plans
    plan régulier en H
  • Étages
    1 étage carré, étage de comble
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans croupe
    • toit conique
    • toit brisé en pavillon
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour cage ouverte, en charpente
  • Jardins
    groupe d'arbres, palissade de verdure, clairière ornementale, parterre de gazon, pelouse
  • Techniques
    • ferronnerie
  • Précision représentations

    armoiries

    Les écus de tôle peinte sur le couronnement du portail représentaient probablement à l'origine les armoiries d'alliance de Louis François Le Fournier de Wargemont (d'argent à trois roses de gueules posées 2 et 1) et d'Elisabeth Taboureau d'Orval (écartelé, en 1 et 4 d'azur au chevron d'or accompagné de trois tambours de même, au chef d'argent, chargé d'un lion courant de sable ; en 2 et 3 d'azur au chevron, accompagné en chef de trois étoiles mal ordonnées, et en pointe d'un croissant, le tout d'or, qui est du Buisson). Ce decor a été maladroitement restauré au 20e siècle.

  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    colombier
  • Sites de protection
    site inscrit
  • Protections
    inscrit MH partiellement, 1984/12/05
  • Précisions sur la protection

    Façades et toitures du pavillon d´entrée, du château (à l´exception de l´aile du 19e siècle), des deux bâtiments de la ferme, du pigeonnier, de l´orangerie ; les grilles d´entrée ; le pédiluve ; le parc et son mur d´enceinte (cad. B 239, 240, 243 à 245, 281) : inscrit par arrêté du 5 décembre 1984.

  • Référence MH

Caractéristique des châteaux de brique et pierre du 17e siècle, le sobre logis forme un ensemble complet avec sa cour, sa basse-cour et son vaste parc, et s'intègre harmonieusement dans son environnement naturel et bâti avec les longues perspectives tracées à partir de la cour et du parc. L'ensemble formé par le parc du château, la ferme et ses annexes et les quatre perspectives (et implicitement celle bordant la ferme et le parc), a été inscrit le 30 mars 1982 sur la liste des sites pittoresques du département de la Somme. Le château de Ribeaucourt a appartenu au célèbre collectionneur d'art et bibliophile amiénois Gérard de Berny.

Documents d'archives

  • AD Somme. Série E ; 3 E 2461 (Etude Trencart). Marché pour travaux de charpenterie au château de Ribeaucourt, 4 avril 1678.

  • AD Somme. Série B ; 1 B 2573. Inventaire après décès de François-Louis Gabriel Le Fournier, marquis de Wargemont, 10 août 1773.

  • AD Somme. Série B ; 1 B 207. Procès-verbal de saisie des biens d'Aymar Le Fournier, comte de Wargemont, 20 juin 1778.

  • AD Somme. Série P ; 3 P 671/3. Ribeaucourt. Etat de sections.

  • AD Somme. Série P ; 3 P 671/4. Ribeaucourt. Matrice des propriétés foncières, 1838-1914.

  • AMH Amiens : Ribeaucourt, château.

    Succession de Gérard de Berny, 1957-1994
  • AMH Amiens : Ribeaucourt, château.

    Dossier de protection MH, 1980-1990

Bibliographie

  • BULAN, Roselyne, EVRARD, Marcel. Le château de Ribeaucourt. Bulletin de la Société d'émulation d'Abbeville. 1994, T. XXVII/4.

    p. 497-518
  • DEBRIE, Christine. Ribeaucourt. In THIEBAULT, Jacques (dir.). Dictionnaire des châteaux de France. Artois, Flandre, Hainaut, Picardie. Paris : Berger-Levrault, 1978.

    p. 268-269
  • FOURNIS, Frédéric. Vivre à la campagne. Châteaux de plaisance. VMF, n° 234, septembre 2010 : La Somme.

    p. 32
  • Ribeaucourt. Le parc du château, ferme et annexes et les quatre perspectives. In : IZEMBART, Hélène, LE BOUDEC, Bertrand. Mémoire de paysages. 27 sites inscrits ou classé du département de la Somme au titre de la loi de 1930 sur les sites pittoresques. Un état des lieux péalable à une pollitique de valorisation. Amiens : DIREN/CAUE 80, 2000.

    p. 214-223
  • INVENTAIRE GENERAL DU PATRIMOINE CULTUREL. Région PICARDIE. Le Val de Nièvre, un territoire à l'épreuve de l'industrie. Réd. Frédéric Fournis, Bertrand Fournier, et al. ; photogr. Marie-Laure Monnehay-Vulliet, Thierry Lefébure. Lyon : Lieux Dits, 2013. (Images du patrimoine ; 278).

    p. 78-79
  • SARTRE, Josiane. Châteaux "brique et pierre" en Picardie. Paris : Nouvelles Editions Latines, 1973.

    p. 41, 82-83
  • SEYDOUX, Philippe. Gentilhommières en Picardie. Ponthieu et Vimeu. Paris : Editions de la Morande, 2003.

    p. 56-59, 232

Documents figurés

  • Ribeaucourt. Plan cadastral : section B1, dessin à l'encre, à l'aquarelle et au lavis sur papier, Fauvel géomètre, 1835 (AD Somme ; 3 P 1461/3).

    Plan de masse du château.
  • Ribeaucourt. Plan cadastral : section B2, dessin à l'encre, à l'aquarelle et au lavis sur papier, Fauvel géomètre, 1835 (AD Somme ; 3 P 1461/4).

    Plan des perspectives du parc et du parc de chasse.
  • Château de Ribeaucourt, carte postale, vers 1920 (coll. part.).

  • Ribeaucourt (Somme). Pâturage du château, carte postale, cliché Damervalle à Domart, années 1920 (coll. part.).

  • Ribeaucourt. Vue aérienne du château, photographie, vers 1980-1985 (CRMH Picardie).

Annexes

  • Annexe n°1
  • Annexe n°2
  • Annexe n°3
Date d'enquête 2011 ; Date(s) de rédaction 2011
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Fournis Frédéric
Fournis Frédéric

Chercheur de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, région Hauts-de-France.

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