Dossier d’œuvre architecture IA80010985 | Réalisé par
Montauban Suzelle (Rédacteur)
Montauban Suzelle

Chercheuse associée à l'inventaire pour l'étude du pays d'art et d'histoire Ponthieu baie de Somme. (2023-2026)

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Fournier Bertrand (Rédacteur)
Fournier Bertrand

Chercheur de l'Inventaire du patrimoine - Région Hauts-de-France

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Abelé Céline (Rédacteur)
Abelé Céline

Cheffe de projet du pays d'art et d'histoire Ponthieu baie de Somme

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  • inventaire topographique, Pays d'art et d'histoire Ponthieu-baie de Somme
Château de Cocquerel
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
  • (c) Baie de Somme - Trois Vallées

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communauté de communes Ponthieu-Marquenterre - Rue
  • Hydrographies la Somme
  • Commune Cocquerel
  • Adresse 22 rue d' Abbeville
  • Cadastre 1812 B 1069-1079 Plan du cadastre napoléonien  ; 2023 AC 67 à 71,73,146
  • Dénominations
    château
  • Parties constituantes non étudiées
    château, chapelle, parc, charretterie, remise agricole, étang

L'origine du château de Cocquerel

Le fief de Cocquerel est attesté depuis le XIVe siècle mais son histoire, et celle du château qui y est associé, est assez lacunaire jusqu'au début du XIXe siècle. En 1812, le plan parcellaire napoléonien donne toutefois un premier aperçu concret du château à cette époque. Il appartient alors à Louis Simon Malot, procureur au parlement de Paris, qui en avait fait l'acquisition en 1774 pour la somme de 73 000 livres (Seydoux, 2002). La vente, qui comportait d'ailleurs le château et le fief, était estimée à la somme de 92 000 livres. La terre n'ayant toutefois pas reçu d'offres supérieures à la mise à prix d'enchères, elle est attribuée à M. Malot (Seydoux, 2002).

Le plan napoléonien de 1812 (AD Somme ; 3 P 1316/5) présente une propriété relativement modeste, composée de deux corps de bâtiments accolés au milieu d'une parcelle en forme de quadrilatère irrégulier, aux limites de laquelle viennent s'appuyer trois bâtiments annexes. Le plus grand d'entre eux donne sur la rue d'Abbeville. Deux éléments carrés sont également figurés au sud et au nord de la parcelle. Ils pourraient correspondre à un pigeonner et un puits, soulignant ainsi le caractère plutôt agricole de la propriété à l'origine.

Pour autant, la volonté de maîtrise du cours d'eau qui passe au sud de la propriété et le souhait de l'intégrer aux aménagements paysagers est manifesté par la dérivation artificielle de la Somme, désignée sous le nom de "Petite rivière". Si cette dérivation a aujourd'hui été comblée, le principe d'utiliser l'eau dans l'espace de la propriété n'a pas été abandonné pour autant, puisqu'un étang y a été créé entre 1997 et 1999.

La construction du nouveau château dans la première moitié du XIXe siècle

En 1834, Pierre Jules Dumaisnil de Saveuse, devenu propriétaire, fait détruire l'ancien château et le remplace par une nouvel édifice, dont la construction est achevée en 1836 (AD Somme, 3 P 200/3 : matrice des propriétés foncières). À partir du milieu du XIXe siècle, le nouveau château fait l'objet de plusieurs représentations figurées, notamment par Gillard (AC Abbeville ; B800016201 AIL 028) et par Macqueron en 1865 (AC Abbeville ; B800016201 AIL 027). Ce nouveau château, de style néo-classique, est également connu par plusieurs cartes postales plus tardives. Construit en pierre de taille, Il est composé d'un corps central à un étage qui s'étend sur cinq travées ordonnancées. Il est complété de deux pavillons à deux travées qui s'élèvent sur deux étages. L'ensemble est couvert d'un toit en ardoise. La façade sud, orientée vers le parc, comporte à l'époque un escalier hors-œuvre qui occupe l'espace central et permet l'accès à l'entrée principale. Au nord, une véranda est aménagée dans le décrochement du corps central formé par la mise en saillie des deux pavillons latéraux.

L’aménagement intérieur est quant à lui connu par une description beaucoup plus tardive de 1944, fournie lors de la rédaction du dossier de dommages de guerre (AD Somme, 7 W 117). Le rez-de-chaussée était composé d’une cuisine, d’une laverie, d’une salle à manger, d’un petit vestibule, d’une galerie vitrée, d’un vestibule donnant sur le parc, d’un petit et d'un grand salon et enfin d’un bureau. Au premier étage était installé un vestibule, six chambres, quatre salles de bains–toilettes. Un grand escalier reliait le rez-de-chaussée et le premier étage. Pour finir, trois chambres, cinq salles de bains–toilettes, une lingerie et un vestibule étaient aménagés au deuxième étage. Le château possédait un sous-sol composé d’une cave à vin et d’une cave à cidre. Les dépendances comprenaient une buanderie, une étable à vaches, une laiterie, un atelier de menuiserie et un hangar agricole.

Les communs et les autres constructions

Certains bâtiments à vocation plus agricole semblent avoir été antérieurs au château de 1836. C’est le cas d’un pigeonnier, photographié en 1933 par Marcel Maillard, photographe havrais (ill.). De plan carré, l'édicule en pans de bois était couvert par un toit en pavillon ouvert d'une lucarne. Des trous de boulins aménagés dans le volet de la lucarne permettaient de laisser entrer les pigeons. Cette construction correspond vraisemblablement à l’édicule de plan quadrangulaire, construit au sud du château sur le cadastre de 1812. Cet élément a été démonté à une date inconnue.

L'une des remises agricoles situées au nord de la propriété pourrait également être antérieure au premier tiers du XIXe siècle, malgré les remaniements manifestes dont elle a fait l'objet. Les pignons en pierre de taille avec rampants à couteaux en brique, ainsi que l'importance de la pente du toit, pourraient attester de cette ancienneté.

Les autres dépendances présentent des dispositions plus contemporaines du château. C'est le cas de l'orangerie néo-classique qui se devine en arrière-plan de l'une des cartes postales du début du XXe siècle (ill.). L'édifice, construit en pierre calcaire, reprend ici en grande partie les codes architecturaux du château ainsi que sa composition avec corps central et pavillons d'angle aux extrémités. Seules les proportions et la forme des ouvertures du rez-de-chaussée en plein cintre - et non rectangulaires -, diffèrent. De même, la chapelle, encore présente aujourd’hui, n'apparaît pas sur le plan de 1812 et pourrait avoir été érigée dans la première moitié du XIXe siècle, en raison notamment de l'emploi d'un appareillage en "rouge barre", relativement populaire au cours de cette période.

Les autres édifices annexes ainsi qu'une extension du château - entièrement détruite lors de la Seconde Guerre mondiale -, auraient été construits au début du XXe siècle. Selon le dossier de dommages de guerre (AD Somme, 7 W 116), cette extension en brique, qui était adossée contre le pignon nord du château, comprenait une cuisine au rez-de-chaussée ainsi que deux chambres à l’étage.

Enfin, au nord de la propriété, un hangar agricole avait été construit après la Seconde Guerre mondiale. Il est détruit dans les années 1990.

Les destructions de la Seconde Guerre mondiale

En 1944, La destruction du pont reliant Fontaine-sur-Somme et Cocquerel fragilise fortement le château. Construit sur un terrain tourbeux, la détonation atteint les murs de l'édifice qui se fissurent. Jean de Robien écrit dans un courrier du 4 janvier 1948 : "À la suite des bombardements de 40 à 44, et surtout à la suite de l’explosion du pont de Cocquerel le 1er septembre 1944, la situation s’est considérablement aggravée : plusieurs plafonds sont tombés, les vieilles lézardes se sont agrandies et il s’en est créé beaucoup de nouvelles. De plus la charpente du bâtiment central présente une voussure et semble entrainée par l’inclinaison du pavillon sud qui s’accentue dangereusement". Jean de Robien indique également que le château a été occupé pendant toute la guerre par les troupes allemandes qui ont causé de nombreux dégâts tant à l’intérieur qu'à l’extérieur. Les détériorations ont affecté principalement la partie centrale car le reste était encore habité par le propriétaire. Aussi, il souhaite démolir "les parties menaçant ruine et reconstruire à la place un bâtiment respectant d’une part le style du reste de la construction et mieux approprié d’autre part aux nécessités de la vie actuelle et aux conditions exigées d’une maison d’habitation d’exploitant agricole : maison plus moderne, mieux distribuée, plus resserrée afin d’économiser le chauffage et l’entretien". La chapelle aussi subit des dégradations. Dans le constat des dégâts rédigé par l’architecte Pierre Herdhebaut, "un obus a perforé ce bâtiment à l’angle de la façade longitudinale gauche et du pignon d’entrée, une partie de la maçonnerie est effondrée. Il indique également qu’un "enduit était peint d’une peinture décorative représentant des vitraux, [qu'] un saint Julien est détérioré par éclats." S'il ne reste aucune trace de l'enduit, la statue correspond à celle qui se trouve au dessus de l'entrée de la chapelle.

Après avoir réalisé l'état des lieux, Pierre Herdhebaut (1902-1987), architecte en chef du département de la Somme, est chargé de la reconstruction du château de Cocquerel. Une photographie réalisée le 7 septembre 1950 présente seul le pavillon nord puisque le corps central est détruit jusqu’aux caves. Ce pavillon est la seule partie de l’édifice ancien qui ait été conservé, il a été arasé d’un étage et une nouvelle construction a été accolée au sud après la guerre. Un remaniement du château au début des années 2000 lui a conféré un aspect plus uniforme.

  • Période(s)
    • Principale : 2e quart 19e siècle , daté par travaux historiques , (incertitude)
    • Principale : 3e quart 20e siècle , daté par travaux historiques
    • Secondaire : 1er quart 20e siècle
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Herdhebaut Pierre-Joseph
      Herdhebaut Pierre-Joseph

      Architecte amiénois, formé à l'école des Beaux-Arts de Paris entre 1922 et 1929, élève d'Emmanuel Pontremoli, Pierre Joseph Herdhebaut s'établit comme architecte à Amiens (32 rue Jules Verne) à partir de 1929 établi à Amiens de 1929 à 1967. Il devient architecte en chef du département de la Somme de 1949 à 1976, puis architecte des Bâtiments civils et Palais nationaux, architecte en chef adjoint au ministère de la Reconstruction et de l’urbanisme, agréé M.R.U. pour la Somme.

      Le fonds de son cabinet d'architecte a été déposé aux AD de la SOmme sous les cotes 7W, 8 W et 9W.

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Le château de Cocquerel est situé à la sortie du village, au sud de la rue principale (rue d’Abbeville) en direction de Longuet. Il est construit au nord-ouest d’un vaste parc paysager d’environ 7 ha qui bénéficie du passage de la Somme canalisée. Celle-ci longe la partie sud du parc et offre au propriétaire un accès privilégié à l'eau. Cette présence de l'eau est accentuée par l'aménagement de deux étangs artificiels au sud et à l'est.

L’entrée du château s'effectue depuis l'axe routier principal de la commune, appelé rue d'Abbeville. De forme cintrée, cette entrée est rythmée par quatre piliers en calcaire. Elle ouvre sur un large chemin carrossable qui permet d’accéder au château proprement dit ainsi qu'aux différentes dépendances que sont l'orangerie, la charretterie et la remise agricole. Ce chemin fixe également les limites du parterre gazonné qui précède le château. Elles sont respectivement situées au nord, à la perpendiculaire du château ; au nord-ouest avec sa façade nord qui donne sur la rue principale ; et au nord de l'orangerie, le long de la rue d’Abbeville. Au sud-ouest du parc se trouve une chapelle privée dont l'accès est souligné par une double rangée d'arbres.

Le château actuel

Le château proprement dit est un grand édifice de plan rectangulaire. Il est composé d’un étage carré et d’un étage de comble, percé de lucarnes en bâtière. Les deux parties, correspondant à la divison primitive et à sa reprise avec extension, sont visibles par la présence du décrochement en façade ouest. La partie la plus ancienne est celle située au nord. Elle est en pierre de taille calcaire et présente des ouvertures rectangulaires. La partie sud est construite en parpaing, recouvert d'un enduit qui s'harmonise avec la pierre de taille. Elle présente des ouvertures en plein cintre au rez-de-chaussée et rectangulaires à l’étage. L'ajout de faux chaînages d’angle et de bandeaux plats courant entre le rez-de-chaussée et le premier étage, ainsi que la corniche, parachèvent l’homogénéisation des deux élévations architecturales. L’ensemble est couvert par un toit en tuile à longs pans, et longs pans à égouts retroussés, et croupes.

L'orangerie

L’orangerie, située au nord du château, est composée d'un long corps central de six travées en rez-de-chaussée, flanqué de deux pavillons à un étage carré. Elle est construite en pierre de taille sur un soubassement de brique. Toutes les ouvertures en porte-fenêtre du rez-de-chaussée sont en plein cintre. Toutefois, celles des pavillons se distinguent par une largeur plus importante, du côté sud. Au nord, la façade nord a été modifiée, transformant plusieurs portes-fenêtres en simples fenêtres, plus courtes.

Les fenêtres qui éclairent l'étage des pavillons sont, quant à elles, rectangulaires. Un bandeau mouluré en calcaire court le long de l’édifice et souligne les arcs des ouvertures. La corniche du corps central est également marquée par un bandeau de démarcation au niveau des pavillons. Ces différents ornements n’existent plus sur la façade nord.

Le corps central est couvert d'un toit en ardoise, à longs pans et pignons couverts, tandis que les pavillons latéraux sont coiffés de toits en pavillon, couronnés d'épis de faîtage. Aujourd’hui, ce bâtiment a perdu sa vocation initiale et a été aménagé pour le rendre habitable.

La charretterie

La charretterie est en rez-de-chaussée et possède un étage de comble à surcroît. La façade nord qui donne vers la rue d’Abbeville est en pierre de taille de calcaire blanc sur soubassement de brique. De ce côté, les encadrements des baies en demi-lune sont en brique. Le reste de l’édifice est construit en brique. La façade sud, qui donne sur le parc, forme une élévation ordonnancée à cinq travées. Elle est ouverte de quatre grandes portes charretières cintrées, dont l'une a été obturée partiellement. La travée centrale, ouverte d'une simple porte piétonne, est marquée par la présence de deux pilastres en brique. Deux bandeaux en calcaire rythment l'élévation de l’édifice. La clé d’arc des ouvertures est en pierre de taille. L'ensemble de ce bâtiment est couvert d'un toit en ardoise, à longs pans et croupe. Le comble est éclairé du côté nord de deux lucarnes en bâtière.

La remise agricole

La remise agricole présente une élévation avec un étage de comble. Comme pour la charretterie, la façade sur rue, au nord, est en pierre de taille avec un soubassement en brique, tandis que la façade sur parc, au sud, est en brique et peinte en blanc. Les pignons en pierre de taille présentent des rampants à couteaux, caractéristiques de l'architecture traditionnelle picarde. L'édifice, dont la fonction primitive n'est pas clairement identifiée, présente du côté parc une façade ouverte par deux larges portes surmontées d'une série de quatre ouvertures horizontales relativement étroites, destinées à l'aération. L'ensemble est couvert d'un toit en ardoise, à longs pans, percé de deux lucarnes en bâtière du côté sud, et pignon découvert uniquement à l'est.

La chapelle

La chapelle est située dans le parc du château. Elle est construite en appareil mixte de briques et pierres alternées dit "rouge barre", à l'exception de la façade au nord-est qui est entièrement en brique. Le chevet semi-circulaire est percé de trois ouvertures en arc brisé. L'ensemble est couvert d'un toit en tuile mécanique en bâtière et croupe semi-circulaire pour le chevet. Une statue (petite nature) sculptée en pierre et comportant encore des traces de polychromie, est accrochée au-dessus de l'entrée en arc surbaissé de la chapelle. Elle est protégée d'un auvent en charpente et tuile. Selon toute vraisemblance, la présence de la proue d'un navire au pied du personnage évoquerait la représentation de saint Julien l'Hospitalier. Elle pourrait être en lien avec la chapelle de Longuet (IA80010986) qui porte ce vocable.

  • Murs
    • calcaire pierre de taille enduit
    • béton parpaing de béton enduit
  • Toits
    tuile plate mécanique, ardoise
  • Étages
    1 étage carré
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit à longs pans inversés
    • toit en bâtière croupe ronde
    • pignon couvert
    • pignon découvert
    • toit en pavillon
  • Jardins
    parterre de gazon, palissade de verdure, groupe d'arbres, bois de jardin
  • Typologies
    rouge barre
  • Statut de la propriété
    propriété privée

Documents d'archives

  • AD Somme. Série P ; Sous-série 3 : 3 P 1316. Plan du cadastre napoléonien : Cocquerel, M. Thuillier, géomètre du cadastre, 1812.

  • AD Somme. Série P ; 3 P 200/2. État de section, commune de Cocquerel, [s.d.].

  • AD Somme. Série P ; Sous-série 3 : 3 P 200/3. Matrice des propriétés foncières, commune de Cocquerel, 1827-1924.

  • AD Somme. Série W ; Sous-série 7 : 7 W 116-117. Dossier De Robien, fonds de l'architecte en chef du département Pierre Herdhebaut, 1951-1960.

Bibliographie

  • GUERVILLE, André. Chapelles et oratoires en pays de Somme. Abbeville : F. Paillart éditeur, 2003.

    p. 79.
  • SEYDOUX, Philippe. Gentilhommières en Picardie. Ponthieu et Vimeu. Paris : Éditions de La Morande, 2003.

    Avec [la collaboration de] Alain de BOIVILLE, Jean-Charles CAPRONNIER, Marcel ÉVRARD, Ludovic FROISSART, Christian du PASSAGE, François VASSELLE, Henri de WAILLY.

    p.26

Documents figurés

  • Plan masse du château et son parc, extrait du plan parcellaire de la commune de Cocquerel, dit cadastre napoléonien Section B, 1812 (AD Somme ; 3 P 1316/5).

  • Château de Cocquerel sur Somme, d'après nature, par Oswald Macqueron, 22 avril 1865 (AC Abbeville ; B800016201 AIL 027).

  • Château de Cocquerel. Canton d'Ailly le ht Clocher. Habitation de M. du Maisniel de Saveuse, [gravure?], par Léon Gillard, [s.d.] (AC Abbeville ; B800016201 AIL 028).

  • Château, vue du parc depuis le chemin de halage, photographie, 1910 (AD Somme ; 14 FI 32/38).

  • Le château de Cocquerel depuis le bord de la Somme, carte postale, Paul Lheureux photogr.-édit., Longpré-les-Corps-Saints (coll. part. Hubert Lourdelle).

  • Château de Cocquerel et sa dépendance, depuis l'ouest, carte postale de Svoboda, phot., Grandvilliers (Oise), vers 1914 (coll. part. Hubert Lourdelle).

  • Façade ouest du château de Cocquerel, depuis le nord, carte postale, photo Longpré, [s. d.], (coll. part. Hubert Lourdelle).

  • Façade est du château de Cocquerel, carte postale, Paul Lheureux, phot.-édit., Longpré-les-Corps-Saints, [s. d.] (coll. part. Hubert Lourdelle).

  • Pigeonnier du château de Cocquerel, [en ligne], Marcel Maillard, photographe, 1933 (Bibliothèque municipale du Havre ; MM/F 222.5).

  • Château de Cocquerel, reconstruction. Photographie prise par l'entreprise générale Leon Grosse le 7 septembre 1950. (AD Somme ; 7 W 116)

Date(s) d'enquête : 2023; Date(s) de rédaction : 2023
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
(c) Syndicat mixte Baie de Somme - Trois Vallées
Montauban Suzelle
Montauban Suzelle

Chercheuse associée à l'inventaire pour l'étude du pays d'art et d'histoire Ponthieu baie de Somme. (2023-2026)

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