Photographe du service régional de l'Inventaire général Hauts-de-France.
- inventaire topographique, Le Quesnoy centre
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
-
Aire d'étude et canton
Communauté de communes du Pays de Mormal
-
Commune
Le Quesnoy
-
Adresse
22-38 rue Thiers
-
Cadastre
2024
OE
1591,1592, 306
;
1897
E
51
indiqué : Hospice ;
1817
E
67 et 68
indiqué : Hôpital
-
Dénominationshôpital
-
Genred'augustines
-
Précision dénominationhôpital militaire
-
AppellationsEHPAD Résidence Vauban, hôpital des Sœurs noires, hôpital des Augustines, hôpital civil et militaire
-
Destinationsmaison de retraite
-
Parties constituantes non étudiéeschapelle
Un premier hôpital est construit dans le bas de l'actuelle rue Thiers en 1449, sur l'emplacement de maisons détruites pendant un incendie la même année. Il accueille huit femmes infirmes recluses, les Chartrières. En ancien français, le terme de chartrière est synonyme de prisonnière... La chapelle de cette fondation est visible sur le plan de Deventer de 1545 (Bibliothèque nationale d'Espagne, ill.).
En 1659, un nouvel hôpital contigu à la Maison des Chartrières est construit grâce à la donation de d'une demoiselle Lesage. Tout comme pour la Maison des Chartrières, la gestion de l'hôpital et l'administration des soins sont confiés aux Augustines hospitalières, également appelées Sœurs noires à cause de la couleur de leur habit. La fondation est approuvée par les échevins en 1671 (GENNEVOISE,1932). Le plan de Lajoue de 1721 (ill.) montre bien les deux établissements et leur chapelle qui apparait en grisé.
En 1674, l'hôpital change de nom et abandonne le titre d'hôpital des Sœurs Noires pour celui d'hôpital civil et militaire. Sur le plan de 1769 (ill.), les lettres E et F ainsi que le chiffre 75 distinguent encore la Maison des Chartrières, l'hôpital des Sœurs noires et un hôpital militaire. Ces trois bâtiments sont contigus, les façades longeant l'actuelle rue Thiers, et des jardins sont visibles à l'arrière. Le plan de 1787 qui reprend la même nomenclature (ill.) permet de préciser à la fois que l'hôpital des Sœurs noires est un quadrilatère organisé autour d'une cour centrale et que la chapelle est un bâtiment indépendant accolé à l'aile sud. L'hôpital était "composé de deux salles basses, d'une pharmacie, d'un chauffoir, d'une salle et une chambre haute. Il y avait aussi une chapelle. Y vivent 400 malades" (Mémoire raisonné sur la place du Quesnoy, 1798).
Détruit pendant le siège de 1793, l'hôpital est relevé de ses ruines en 1804 (GENNEVOISE, 1932). Le plan dressé en 1820 pour le projet d'alignement (ill.), montre un bâtiment rectangulaire dont la façade donne sur l'actuelle rue Thiers avec à l'arrière deux courtes ailes en retour d'équerre. Côte sud, elle est occupée par la chapelle. À une date ultérieure, l'hôpital est agrandi pour accueillir vingt lits supplémentaires ; on lui adjoint également un orphelinat. C'est sans doute ce qui apparait sur le plan de 1880 (AD Nord, 66J1805) : l'aile nord a été prolongée et une nouvelle aile vient former le troisième côté d'un plan en U dont le centre est occupé par une cour. Le Mémoire sur la place du Quesnoy établi en 1846 (AD Nord, 66J1725) n'apporte pas d'informations sur les matériaux de construction, la taille ou l'aspect des bâtiments qui constituent l'hôpital. Il indique uniquement que l'hôpital civil et militaire est parfaitement tenu. Sur le cadastre de 1897 (AD Nord, P31-761) le bâtiment sur rue a été prolongé, en lieu et place de trois maisons. Cette extension est complétée d'une aile en retour d'équerre tandis que l'ancienne aile nord qui fermait la cour a été épaissie et prolongée vers l'est. La chapelle occupe désormais l'aile la plus à l'est et se trouve perpendiculaire à l'actuelle rue Jean Jaurès. Le plan de l'hôpital se rapproche ainsi d'un plan en grille. La superposition des cadastres de 1897 et de 2024 montre que cette configuration n'a pas changé.
L'état de section lié au cadastre de 1817 révèle qu'une grande parcelle non bâtie, située dans le prolongement des bâtiments et qui occupe tout le bas du triangle composé par les rue Thiers et Juhel, est louée par l'hôpital à des particuliers comme jardins vivriers. L'état de section accompagnant le cadastre de 1897 montre que ces parcelles sont désormais bâties et sont devenues la propriété de particuliers.
Sur la vue panoramique du début du XXe siècle (ill.), le plan en grille dont la cour, fermée par un mur est plantée d'arbres de haute-tige, est bien visible. La chapelle occupe l'extrémité nord de l'aile est.
Une carte postale de la même époque (ill.) montre la façade sur la rue Thiers, presque identique à ce qu'elle est aujourd'hui : la porte la plus ancienne (à droite) porte l'inscription : HÔPITAL [illisible] ET MILITAIRE, et sur la plus récente (à gauche), qui n'est pas encore surmontée d'un fronton décoré, figure l'inscription : HOSPICE. Le style de décor du fronton, et en particulier la similitude avec le décor du Théâtre des Trois Chênes [IA59005708] permet de le dater des années 1930. Il apparait d'ailleurs sur la vue aérienne réalisée par l'IGN en 1934 (ill.). L'inscription portée dans la table sous le fronton est : HÔPITAL - HOSPICE. La mention "militaire" a disparu. C'est sans doute également de cette époque que datent la corniche moulurée et la table rentrante au-dessus de la porte bâtarde : elles n'apparaissent sur aucune des cartes postales antérieures à la Première Guerre mondiale.
Cette façade est tout ce qu'il reste de l'hôpital reconstruit en 1804. Trop vétuste, ce dernier est en effet remplacé en 2006 (DEUDON, p.37) par des constructions neuves implantées sur les fondations des anciens bâtiments, dont elles reprennent également la volumétrie.
La chapelle est reconstruite en 1851 sur les plans de l'architecte valenciennois Casimir Pétiaux, puis restaurée en 1886, complétée de contreforts en 1900, et de nouveau restaurée en 1933 (DUVIVIER, 1934). La tour, peu élevée et sans flèche, sert de chœur à la chapelle dont la nef est constituée de la réunion de salles de l'hospice. Seul l'intérieur de la chapelle reprend le style néo-gothique de la tour. C'est cette chapelle qui est visible sur les cartes postales anciennes (ill.). Comme pour la façade sur la rue Thiers, la comparaison de ces dernières avec le bâtiment encore existant permet de voir que l'aspect de la chapelle n'a pas varié au cours du dernier siècle.
-
Période(s)
- Principale : 3e quart 17e siècle , daté par source
- Principale : limite 18e siècle 19e siècle , daté par source
- Principale : 2e quart 19e siècle , daté par source
-
Dates
- 1659, daté par source
- 1794, daté par source
- 1840, daté par source
L'actuelle maison de retraite est beaucoup plus étendue que l'ancien hôpital. Elle occupe toute l'extrémité de l'ilot constitué par les rues Thiers, Jean Jaurès et Juhel. Des bâtiments du XIXe siècle, seules l'aile sur la rue Thiers et la chapelle ont perduré.
L'aile rue Thiers : une architecture néo-classique dans l'organisation de la façade et dans les décors
Le bâtiment compte un étage carré et un niveau de combles. Il est couvert par une toiture à longs pans et croupe (à droite) et pignon couvert (à gauche) qui s'achève par un chéneau reposant sur une corniche richement moulurée. La toiture est scandée de lucarnes capucines, plus nombreuses sur la partie gauche que sur celle de droite. Bien que toute l'aile présente la même élévation et soit couverte par la même toiture, deux architectures différentes correspondant aux trois phases de construction sont cependant visibles sur la façade. Les soubassements sont également différents pour les deux parties du bâtiment.
La partie de droite, la plus ancienne, correspond à la construction de 1804. Elle s'arrête avant le grand porche surmonté d'un fronton. Le soubassement est en moellons de grès et le mur est construit en calcaire posé en appareil régulier. La façade est ordonnancée à travées et compte deux ensembles de cinq travées séparés par une porte bâtarde surmontée d'une table rentrante encadrée par des moulures et d'une imposante corniche. Les travées sont ponctuées par des pilastres qui reposent sur un large socle dont la base prend appui sur le sommet du soubassement. Ceux du premier niveau s'achèvent par un chapiteau cubique mouluré. Ceux du second sont à tambour. À chaque niveau, un bandeau mouluré traverse toute la façade au-dessus des baies. Le bandeau d'attique qui couronne l'élévation est scandé par le prolongement des pilastres qui forment des modillons, rappelant ainsi les frises des temples doriques où alternent métopes et triglyphes.
Les baies sont à linteau droit, encadrées par un bandeau mouluré aux angles rentrants. Seule la porte bâtarde est en plein cintre. Inscrite dans une embrasure ébrasée est interrompue par une agrafe trapézoïdale, elle est composée de deux battants en bois sans décor, surmontés d'un tympan de menuiserie en éventail, également sans décor. Le seuil de porte est en pierre bleue.
La partie de gauche va de la porte bâtarde monumentale à l'extrémité du bâtiment. Bien que dans le même esprit que la partie droite, elle est construite en briques posées en appareil picard (ces dernières sont visibles sur le pignon sur lequel les wambergues sont bien visibles) et présente un aspect légèrement différent : le soubassement est enduit, seules les travées latérales sont séparées par un pilastre (lisse au premier niveau et à tambour au second), aucun bandeau ne souligne le dessus des baies, et les baies du premier et du second niveau ont des formes différentes. Elles sont couvertes par un linteau et soulignées par un chambranle à crossettes au premier niveau, mais s'achèvent au second par un arc segmentaire souligné par une archivolte se poursuivant par une imposte régnant entre les baies. Au premier niveau, les appuis se prolongent par un bandeau larmier. Les deux baies des travées les plus à droite, qui datent de l'extension de l'hôpital au milieu du XIXe siècle, affichent un arc segmentaire plus prononcé. Les sept autres travées, toutes identiques, datent de l'extension réalisée entre 1880 et 1897. Deux pilastres attiques décorent les trumeaux entre la seconde et la troisième baie et entre la sixième et la septième baie. Le fut est décoré d'un triglyphe sur toute sa hauteur et sa base porte un triplet de gouttes qui occupe presque toute la largeur du trumeau.
La porte en plein cintre correspond à l'entrée de l'aile en retour d'équerre construite au milieu du XIXe siècle. Elle est précédée d'un degré en pierre bleue. Les pieds droits en bossage reposent sur un soubassement en grès. Le bossage se poursuit sur l'arc, appareillé en escalier. À l'intérieur de l'arc, l'ébrasement s'achève par un tore. Une agrafe en pointe de diamant fait le lien entre le tore et l'arc appareillé. Les deux battants sont décorés d'une moulure tandis que le montant central est décoré d'un triglyphe sur toute sa hauteur. Le tympan menuisé en éventail est décoré de motifs végétaux disposés en rayons.
La porte est surmontée par une table saillante portant le nom de la résidence puis par un fronton à rampants moulurés décoré des armes de la ville reposant sur une croix de guerre entourée de rubans et de branches de laurier. La table quant à elle ne porte pas d'autre décor qu'un triplet de gouttes aux deux angles inférieurs. Ce dernier est identique à celui décorant les pilastres attiques.
La chapelle de style néo-gothique
Comme tout ce qui a été édifié en 1804, la chapelle est construite en appareil de pierre calcaire sur un soubassement en grès. De plan carré, elle est couverte par une toiture en bâtière.
Un contrefort est disposé à chaque angle de chapelle. Tous sont décorés de lancettes aveugles, de colonnettes et de motifs floraux, ils portent une gargouille en forme de rapace et s'achèvent par un fleuron.
Seules trois faces sont visibles, la quatrième étant englobée dans une aile de l'hôpital.
Elles présentent une organisation et un décor identique : une grande arcade ogivale est couronnée par un gâble construit qui vient brocher sur un garde-corps. Le garde-corps est constitué de deux niveaux : le premier, plein, est décoré de lancettes aveugles sous un arc en mitre et le second est percé de quadrilobes. En partie basse, cette arcade est aveugle pour les façades est et ouest. Seule la façade rue Jean-Jaurès a conservé l'intégralité de sa baie. Pour toutes les façades, la partie haute de l'arcade est occupée par des baies géminées formant des lancettes et un jour de réseau associant quadrilobes, polylobes et soufflets. Les arcs des lancettes reposent sur des chapiteaux composites associant feuillages corinthiens et volutes ioniques. Les voussures toriques de l'arcade viennent reposer sur des chapiteaux décorés de motifs de feuilles d'acanthe qui couronnent de fines colonnes. Le gâble reprend le vocabulaire décoratif des baies : polylobes et soufflets, rampants à feuilles de choux. Le pinacle en forme de boule est décoré de motif floraux et couronné par une croix pattée. Les rampants sont décorés de crossettes et des anges sont situés dans les écoinçons entre le gâble et les voussures.
-
Murs
- grès moellon
- calcaire pierre de taille
-
Toitsardoise
-
Étages1 étage carré, étage de comble
-
Couvertures
- toit à longs pans croupe
- pignon couvert
- toit en bâtière
-
Typologiesstyle néo-gothique ; style néo-classique
-
Techniques
- sculpture
-
Représentations
- armoiries
- laurier
- croix de guerre
-
Précision représentations
Toutes ces représentations datent des années 1930 et sont situées dans le fronton sculpté au dessus de la porte de gauche.
-
Statut de la propriétépropriété d'un établissement public (incertitude), Le bâtiment appartient au Groupement Hospitalier de Territoire (GHT) du Hainaut‐Cambrésis
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Biblioteca Digital Hispánica
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Bibliothèque nationale de France
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Bibliothèque nationale de France
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Bibliothèque nationale de France
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département du Nord - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département du Nord - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département du Nord - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département du Nord - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département du Nord - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département du Nord - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Département du Nord - Archives départementales
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) IGN
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
- (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Documents d'archives
-
AD Nord. Série J, Documents entrés par voie extraordinaire depuis 1944 ; Sous-série 66, Archives de la direction régionale du Génie de Lille ; 66J1720 à 66J1722, Fortifications et bâtiments militaires - Sous-direction de Valenciennes - place du Quesnoy. Mémoire raisonné sur l'état de situation de la place du Quesnoy considérée dans tous ses établissements, 6ème année républicaine - 20 brumaire.
66J1720 à 1874 : ville du Quesnoy ; 66J1722 : Fortifications et bâtiments militaires - Sous-direction de Valenciennes - place du Quesnoy. -
AD Nord. Série J, Documents entrés par voie extraordinaire depuis 1944 ; Sous-série 66, Archives de la direction régionale du Génie de Lille ; 66J1720 à 66J1725. Mémoire sur la place du Quesnoy, rédigé en exécution de l'article 42 de l'instruction du 22 mars 1842 sur la rédaction des projets dans les places, 1846.
Archives de la direction régionale du Génie de Lille ; 66J1720 à 1874 : ville du Quesnoy ; 66J1725
Bibliographie
-
DEUDON, Jean-Marie. Mémoire en images : Le Quesnoy. Saint-Cyr-sur-Loire : Éditions Alain Sutton, 2006, 128 p.
-
DUVIVIER, Jules (abbé). Le Quesnoy : ses annales, ses sièges, ses fortifications. Réédition. Paris : Le livre d'histoire, 1994. (collection Monographies des villes et villages de France).
Première édition : Lille : Société d'édition du Nord, 1934. 194 p.
-
GENNEVOISE, M.J., Monographie de la ville de Le Quesnoy. Bulletin de la société d'études de la province de Cambrai (Histoire de Flandre, Tournaisis, Cambrésis, Hainaut, Artois), tome XXXII, 1932.
Membre perpétuel de la société d'études.
-
GILOTEAUX, Paulin (abbé). Histoire de la ville de Le Quesnoy : des origines à nos jours. Réédition. Paris/Autremencourt : Office d'éd. du livre d'histoire, 1997. (collection Monographies des villes et villages de France ; 1643).
Première édition : Le Quesnoy : chez l'auteur, Œuvres charitables, 1960. 175 p.-24 pl.
Documents figurés
-
Quesnoy, par Deventer, 1545. In Plan des cités des Pays-Bas, partie II, 1545 (Bibliothèque nationale d'Espagne ; bdh0000043514).
Réédition par Charles RUELENS, 1884, Bruxelles [sous le titre] Atlas des villes de la Belgique au XVIème siècle : cent plans du géographe Jacques Deventer exécutés sous les ordres de Charles Quint et Philippe II.
-
Plan du Quesnoy [en ligne], dressé par Lajoue en 1721 (BNF-Gallica ; btv1b52053849).
Tiré de : LAJOUE, Places du Haynault françois, 1721-1722.
-
Plan du Quesnoy - légende des ouvrages de la fortification du Quesnoy, [s. n.], 1787 (BNF-Gallica ; btv1b531002939).
-
Plan du Quesnoy, [s. n.], 1787 (BNF-Gallica ; btv1b8443936t).
-
Ville du Quesnoy - Plan cadastral napoléonien, feuille unique, levé en 1817 : section E, 1ère partie (AD Nord ; P31-761).
-
Plan d'alignement, 1819 (AD Nord. Série S, Travaux publics et transports ; S 1 - 8792 (période 1800-1900) - Administration des Ponts et Chaussées ; S417 : Plans d'alignement, Le Quesnoy, 1819).
-
Plan de la place du Quesnoy portant l'indication au moyen des signes conventionnels de l'état des manutentions des divers ouvrages de la place en juin 1880, plan levé par le chef du génie [signature illisible] (AD Nord. Série J, Documents entrés par voie extraordinaire depuis 1944 ; Sous-série 66 : ville du Quesnoy ; 66J1805).
-
Le Quesnoy, plan cadastral napoléonien de 1897. Section dite de la ville, en trois feuilles, 2ème feuille (AD Nord ; P31-761).
-
Le Quesnoy (Nord), vue panoramique, carte postale, Dufour-Aubry éditeur, Le Quesnoy [s. d.] (AD Nord ; 5Fi2).
-
Le Quesnoy - l'Hôpital et rue Thiers, carte postale, B.F., Paris [sans date] (AD Nord ; 5Fi48).
-
Le Quesnoy - Chapelle antique, carte postale, Samin éditeur, Haumont [s. d.] (AD Nord ; 5Fi15).
Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.
Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.