Dossier d’œuvre architecture IA80010011 | Réalisé par
Grimaud Romain (Rédacteur)
Grimaud Romain

Chargé de l'inventaire du patrimoine du Vimeu industriel de 2011 à 2012.

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Barbedor Isabelle (Rédacteur)
Barbedor Isabelle

Chercheur du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie, puis des Hauts-de-France, depuis 2002.

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  • inventaire topographique, Vimeu industriel
Le village de Fressenneville
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Ministère de la culture - Inventaire général
  • (c) AGIR-Pic

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communauté de communes du Vimeu - Friville-Escarbotin
  • Commune Fressenneville
  • Dénominations
    village
  • Parties constituantes non étudiées
    abreuvoir

Situation

Le territoire communal de Fressenneville couvre une superficie de 866 hectares et compte 2302 habitants en 2011, soit une densité moyenne de 265.8 habitants au km² (données INSEE).

Situé au centre de l’aire d’étude et au coeur du Vimeu industriel, son territoire est délimité par les communes de Feuquières-en-Vimeu à l'est, Friville-Escabotin et Woincourt à l'ouest, Nibas au nord et Dargnies et Embreville au sud. Le relief peu marqué varie entre 62 mètres, au nord à la limite des communes Friville-Escarbotin et de Nibas au lieu-dit Le Bout du Monde, et 126 mètres au sud au lieu-dit Les Quatre-Arbres. La commune n’est baigné pas aucun cours d’eau.

L'agglomération s'est formée à la croisée deux routes départementales, formant une structure viaire en « X » : Sur un axe nord-est / su ouest, le long de l’ancienne route royale, véritable colonne vertébrale du Vimeu, reliant Abbeville à l’agglomération Mers-Eu-Le Treport et sur une axe nord-ouest / sud-est avec la route traversant le cœur du Vimeu Industriel et reliant Feuquières en Vimeu à Friville-Escarbotin. Il n'existe pas d'habitat isolé.

La route départementale 925, ancienne route impériale d'Abbeville à Mers-les-Bains et principal axe de communication du Vimeu, traversait le village avant sa récente déviation au nord. La commune est également traversée au sud par ligne de chemin de fer d'Abbeville à Eu (ouverte en 1882) et le village desservi par la gare de Feuquières-Fressenneville, située à 1200 mètres du centre bourg sur la commune de Feuquières.

Agglomération

Les rues Roger-Salengro et Jean-Jaurès constituent l'axe principal de la commune et desservent les principaux commerces, l'école, la mairie et l'église. À l'est, la rue Jules-Guesde relie Fressenneville et Feuquières-en-Vimeu où est implantée la gare ferroviaire de Feuquières — Fressenneville. Les deux communes sont aujourd'hui reliées par continuité du bâti.

Les rues du Jeu de Paume et Fournier, délimitent un îlot de forme ovale, au centre du village, qui peut avoir été l'emprise d'un ancien manoir.

L’urbanisation ancienne, relativement dense, s’étire le long des axes de communications dans l’alignement de la rue. La trame parcellaire est étroite et profonde avec dans l’extrême majorité des cas, le bâti à l’aplomb du réseau viaire et le jardin potager rejeté en fond de parcelle. Dans la rue Roger-Salengro, l’alignement est rompu par les deux maisons patronales, attachées à l’usine Guerville-Riquier, implantées au centre de vastes parcelles et clôturées par des grilles métalliques.

A partir du deuxième tiers du 20e siècle, on observe des implantations à l’écart de la rue, notamment dans un axe nord-sud en direction la ligne de chemin de fer et des maisons de gardes-barrières (rues Camille-Pelletan, Pierre-Brossolette, du Chellier). Le centre ancien est également marqué par la présence d’unités de production industrielle côtoyant l’habitat. L’usine Gerville-Riquier, reconstruite en 1912, marque la rue Roger-Salengro par son aspect massif et ses deux étages carrés à l’aplomb de la rue mais on peut également citer l’entreprise Thirard (rue Jean-Jaurès) ou encore la fonderie Poilly (rue Jules-Guesde). A ces usines, il convient d’associer l’habitat ouvrier, construit à partir du 4e quart du 19e siècle et implanté à l’écart du réseau principal (Cité Guerville, rue Karl-Marx, et cité Riquier).

L'habitat

L’habitat construit avant 1949 (39 % des résidences principales) se situe essentiellement dans le centre-bourg et le long des anciens axes (rue Jules-Guesde, rue Jean-Jaurès et rue Henri-Barbusse). Généralement en rez-de-chaussé, il présente un gros œuvre en torchis, parfois couvert de clins, remplacé à partir des années 1870 par la brique. On trouve également, rue Roger-Salengro et Jean-Jaurès, des bâtiments en brique à étage et un toit à croupes couvert d'ardoises.

A partir des années 1960, l’habitat pavillonnaire, est implanté le long des rues existantes ou dans de nouveaux quartiers. Le parcellaire est alors plus large et moins profond avec implantation du bâti en centre de parcelle. Dans un premier temps les maisons sont semi-mitoyennes (rue Geneviève-Gabart ou Emile-Zola), puis isolées (rues Charles-de Gaulle et Jean-Moulin).

Depuis les années 1990, les constructions nouvelles se sont plutôt implantées le long de voie déjà existantes, comme dans la rue Jules-Guesde où la jonction avec la commune de Feuquières en Vimeu crée une conurbation. Enfin Fressenneville présente également deux zones d’habitat collectif. L’une réalisée au début des années 1970 (rue Jean-Jacques Rousseau), l’autre dans les années 2000, en retrait de la rue Jean-Jaurès.

Documents figurés

Le village de Fressenneville apparaît sur la carte de Cassini (ill.) où il est représenté comme une agglomération traversée par la route d'Abbeville à Eu et au Tréport.

Le cadastre napoléonien de 1825 (ill.) en donne une représentation détaillée. Le village est structuré par un réseau principal en Y (grande rue et rue du Boutelet) et par un réseau de rues secondaires. Le tracé de la route principale est sinueux. L'église est située en bordure de la Grande rue, au centre du village, qui ne dispose pas de place publique mais de plusieurs rue-places accueillant des mares ou abreuvoirs (rue du Jeu-de-Paume et rue de Feuquières - actuelle rue Jules-Guesde) ; la mare la plus importante est située à l'intersection de la Grande rue et de la ruelle du pré Sainte-Barbe (actuelles rues Roger-Salingro et Francisco-Ferrer). Plusieurs puits sont également représentés sur ce plan. Les rues du Jeu de Paume et Fournier, délimitent un îlot de forme ovale, au centre du village.

Les cartes postales du début du 20e siècle montrent l'abreuvoir encore en place au nord du village (ill.) et plusieurs maisons à boutique, dans la rue principale, et deux hôtels de voyageurs : l'hôtel du Pavillon d'Or et l'hôtel Duval et Tellier.

Sources

L'évolution du village durant la 1ère moitié du 19e siècle peut se mesurer grâce aux recensements de population et aux matrices cadastrales.

On observe une très forte croissance entre 1800 et 1806 où l'on passe de 618 à 905 habitants, puis une croissance continue jusqu'à la veille de la Première Guerre mondiale (2000 habitants en 1906) avec une légère baisse entre 1901 et 1911 (1936 habitants) et à nouveau une forte croissance de 1946 à 1975 où on passe de 1839 à 2594 habitants.

Ces afflux de population se traduisent par une forte augmentation du nombre de maisons (190 en 1821, 266 en 1836, 367 en 1872, 494 en 1906, 536 en 1911) et bénéficient au développement de plusieurs rues du village. Les deux rues les plus peuplées voient leur population augmenter : la grande rue, scindée en deux : rues d'Abbeville et d'Eu, ainsi que la rue de Feuquières (ancienne rue du Boutelet), renommée rue de la Gare, puis rue Jules-Guesde en 1936.

La croissance urbaine se caractérise également par la création de plusieurs rues : celle qui dessert la cité Guerville (actuelle cité Karl-Marx, 134 habitants en 1881), la rue Ernest-Riquier (actuelle cité Riquier, 65 habitants en 1906) ou encore la rue Bonnet, ouverte en 1912 sur des terrains cédés par la famille Bonnet. Le changement de dénomination de plusieurs chemins atteste de la croissance urbaine autour de 1900 : rue de Nibas, rue de Friville.

La création et le renouvellement des équipements publics y est réalisée à l'initiative ou avec le soutien financier des patrons de la principale usine. Une nouvelle école et mairie est construite en 1869, date de l'installation d'une école de filles dans l'ancienne école mixte et de la cession, par Riquier, d'un terrain (rue de Feuquières) pour l'établissement d'une place publique. Des halles y seront construites en 1872, par l'entrepreneur G. Lenne de Feuquières-en Vimeu.

Mise à l'étude en 1870, la ligne Abbeville-Dieppe par le Vimeu est essentielle pour le débouché des productions. La municipalité adhère au projet de ligne Abbeville-Le Tréport, deux ans plus tard. En 1878, elle accepte l'emplacement projeté de la future gare, "le conseil, après en avoir délibéré, considérant qu'il importe essentiellement de tenir compte des intérêts individuels de Friville-Escarbotin, centre le plus important de la serrurerie, accepte l'emplacement de la gare de Feuquières-Fressenneville, de ses dépendances et voie d'accès, c'est-à-dire sur la rive droite de la voie". L'ouverture de la voie ferrée Abbeville-Le Tréport (1882), qui passe au sud du village, et celle de la gare, entraînent une forte urbanisation de la rue de Feuquières, devenue "rue de la Gare" et la demande de création d'une troisième boîte aux lettres car "la plupart des habitants de cette rue ont une profession industrielle et commerciale qui les oblige à des fréquentes correspondances". En 1883, E. Riquier offre un terrain (rue Fournier) pour la construction d'une salle d'asile. L'année suivante, il s'engage à faire construire un bureau de poste et télégraphe. En 1886, la municipalité donne un avis favorable à la création de la voie "étroite" reliant Abbeville à Ault par Feuquières-en-Vimeu et Fressenneville. L'installation du téléphone (1896). Une nouvelle église est construite en 1899.

En 1906, le village est marqué par la grève qui touche les établissements Riquier. A cette occasion, les grévistes incendient accidentellement la maison d’Edouard Riquier, située à l’emplacement de l’actuel square du Château-Brulé où une plaque commémore l'évènement.

Au lendemain de la première guerre mondiale, un cinéma ouvre ses portes à Fressenneville (la salle est construite en 1919, rue du Cul-de-Sac (D 89), pour Max Pérignon, exploitant de cinématographe à Fressenneville accueillera la fonderie Beaurain vers 1924) et une partie de la halle est transformée en salle des fêtes. La modernisation du village se traduit également par l'éclairage électrique des rues (1923) mais aussi par la suppression des mares en 1925 (rue de la Gare), en 1933 (rue du Jeu de Paume). Autour de la grande mare, les arbres sont abattus et le calvaire déplacé en 1935. En 1936, la municipalité procède au renommage des rues du village, qui perdent ainsi leur caractère identitaire. La rue Ernest-Guerville, voie privée qui dessert la petite cité (construite à l'initiative de Guerville) conservera momentanément son nom.

Travaux historiques

La motte castrale entourée d'un fossé, situé au nord du village constitue la première trace de peuplement du site. Elle aurait été, au 9e siècle, le siège d’une bataille entre le Roi Louis III et les normands. Au 12e siècle, on trouve mention de Fressenneville et des seigneurs éponymes dans le cartulaire de l’abbaye de Valloires (Louandre, Briez et Prarond).

Entre cette date et la Révolution Française, plusieurs familles se succèdent à la tête de la seigneurie. En 1560, elle est détenue par Charles d’Ailly, chevalier, seigneur de Saigneville et de Fressenneville.

Elle passe, à la fin du 16e siècle entre les mains de la famille Coppequesne et dépend alors de la châtellenie de Gamaches. De 1721 à 1760, le seigneur se nomme Jérome-René de Coppequesne, comte de Fressenneville, capitaine du régiment de Monchy , chevalier de Saint-Louis.

Activités

D'après Briez (1857), la présence de serruriers à Fressenneville est attestée en 1686, date d'un acte mentionnant le maître-serrurier, Étienne Firmin. D'autres témoignages du 18e siècle mentionnent Pierre Ducastel (1718) et trois fabricants de cadenas en 1737.

Noiret (1985) note une progression du nombre de serruriers, au milieu du 18e siècle, qui passe de 7% à 11% entre 1737 et 1751.

L'Almanach des marchands et négociants de 1786 signale à Fressenneville : industrie, fabrique de différents ouvrages de serrurerie et de quincaillerie à Fressenneville et huit fabricants (François Avis, François Roclet, Nicolas Bos, Charles Barilly, Jean-Baptiste Ducastel, Quentin Lecut, Claude François Louché et Etienne Sacepée) "ces différents fabricants exécutent les ordres qu'on leur donne pour tout ce qui est relatif à leur état. Les négociants d'Abbeville et d'Eu tiennent magasin de leurs ouvrages. Il faut adresser les lettres pour Fressenneville par Eu."

Dans la 1ère moitié du 19e siècle, les recensements de population font état de 256 serruriers, un marchand de serrures et cinq marchands quincailliers en 1836, puis de 335 serruriers, deux marchands de serrures et un marchand de cadenas, en 1851. L'activité textile prend de l'essor passant de 25 tisserands, en 1836, à 12 tisserands et 240 fileuses, en 1851.

En 1857, Briez écrit : "Ce pays fait le cadenas, et il ne paraît pas qu'avant ces dernières années il ait jamais fabriqué autre chose. Il a concentré ses études et son activité sur cette partie, dont Béthencourt lui dispute aujourd'hui le monopole. [...] On peut dire que ces trente dernières années, la fabrication s'est décuplée. Les cadenas sortent presque tout faits des machines, ne réclamant de la main que l'assemblage de leurs pièces, opération si rapide que quand vous passez, chaque soir, devant la vitre du façonnier, vous les y trouvez alignés par douzaines. Et quant aux ouvriers, ils se sont tellement multipliés qu'il serait difficile de dire aujourd’hui qui ne l'est pas. "

activité textile disparue au milieu du 19e siècle.

Les statistiques industrielles (6 M 2407) indiquent une croissance forte entre 1856 et 1880 ; on passe de 300 à 775 ouvriers et de 1 à 9 entreprises.

En 1882, "l'industrie est considérable à Fressenneville, puisque 1000 ouvriers, au moins, hommes, femmes et enfants, y sont employés à la fabrication de serrures et que d'autres branches du commerce y sont florissantes".

L'annuaire de 1929 signale 10 fabriques de serrures et cadenas, 3 fabriques de coffrets, 1 serrurerie et une fonderie de cuivre.

En 1936, Fressenneville compte neuf industriels, 245 serruriers et 290 ouvriers, soit 535 emplois, dont 224 chez Riquier et 85 chez Petit-Maloigne, qui sont alors les principaux employeurs (recensements de population).

  • Période(s)
    • Principale : 19e siècle, 20e siècle

Le village s'étend aujourd'hui entre deux voies de communication, la route d'Abbeville (au nord) et la voie ferrée (au sud), desservi par la gare de Feuquières (au sud-est). Le cimetière se situe à l'extrémité du village au nord-est. Une motte est encore visible au nord (ill.). Plusieurs croix sont conservées dans le village : croix en tuf (rue Roger-Salengro), en fer (rue Henri-Barbusse), marquant encore parfois la limite de la commune (rue Jules-Guesde).

Il est structuré par un réseau de voies en étoile le reliant aux villages voisins (Woincourt et Friville à l'ouest ; Feuquières et Valines à l'est) et par des axes internes (anciennes routes secondaires et dessertes des lotissements).

Plusieurs lotissements (hors étude) ont été aménagés à la périphérie, sur d'anciennes terres agricoles : au nord, dans les années 1960 (rue de Verdun) et au sud, dans les années 1970 (rue Robert et Geneviève-Gobert), en s'appuyant sur des voies existantes.

Implantation et typologie du bâti :

A l'exception de l'habitat des lotissements de la 2e moitié du 20e siècle, le bâti est implanté sur rue. Rez-de-chaussée ou un étage carré (centralité autour de la mairie).

Présence de boutiques (ill.) et de nombreuses usines.

Présence de lotissements à desserte internes : densification.

  • Typologies
    plateau

Documents d'archives

  • AD Somme. Série M ; 6 M 360. Fressenneville. Recensement de la population, 1836-1911.

  • AD Somme. Série M ; 6 M 360/2. Fressenneville. Recensement de la population, 1836-1911.

  • AD Somme. Série M ; 6 M 2407. Statistiques sur la situation industrielle de l'arrondissement d'Abbeville, 1813-1869.

  • AD Somme. Série M ; 6 M 2408. Statistiques sur la situation industrielle de l'arrondissement d'Abbeville, 1869-1893.

  • AD Somme. Série O ; 99 O 1870. Fressenneville. Administration communale, avant 1869.

  • AD Somme. Série O ; 99 O 1871. Fressenneville. Administration communale, 1870-1939.

  • AD Somme. Série O ; 99 O 1872. Fressenneville. Administration communale, 1870-1939.

  • AD Somme. Série P ; 3 P 360/3. Fressenneville. État de sections des propriétés bâties et non-bâties.

  • AD Somme. Série P ; 3 P 360/4. Fressenneville. Matrice des propriétés foncières, 1829-1914.

  • AD Somme. Série P ; 3 P 360/5. Fressenneville. Matrice des propriétés foncières, 1829-1914.

  • AD Somme. Série P ; 3 P 360/6. Fressenneville. Matrice des propriétés foncières, 1829-1914.

  • AD Somme. Série P ; 3 P 360/9. Fressenneville. Matrice des propriétés bâties, 1882-1911.

  • AD Somme. Série P ; 3 P 360/10. Fressenneville. Matrice des propriétés bâties, 1911-1943.

Bibliographie

  • Almanach général des marchands, négociants et armateurs de la France et de l'Europe, Paris, 1786.

    p. 254.
  • BONNOT. Détails des fers, fonte, serrurerie, ferrure et clouterie, à l'usage des bâtimens, Paris : [s.n.], 1782.

  • BRIEZ, P. Notices sur la serrurerie de Picardie. Abbeville : Briez, 1857.

    pp. 65-68
  • Fressenneville, bulletin municipal, mars 1987, numéro 68.

  • GAILLARD, Jean-Louis. Fressenneville, une siècle d'histoire. Fressenneville : [s.n.], 1981.

  • NOIRET, Jean-Yves. La vie conjugale à Fressenneville de 1736 à 1760. Abbeville : Société d'Emulation d'Abbeville, 1994.

    p. 459-474
  • NOIRET, Jean-Yves. "Etre artisan à Fressenneville de 1737 à 1751 : famille et métier". Les Cahiers du Vimeu, n°2, octobre 1985.

    p.5-11.
  • PRAROND, Ernest. Histoire de cinq villes et de trois cents villages, hameaux ou fermes : Saint-Valery et les cantons voisins. Abbeville : P. Briez, 1863.

    pp. 169-171
  • RODIERE, Roger, DES FORTS, Philippe. Le Pays du Vimeu. Amiens : Société des Antiquaires de Picardie, 1938.

    p.157
  • DARSY, M. Note historique sur l'abbaye de Sery au diocèse d'Amiens

Documents figurés

  • Carte de Cassini. N°23 : Dieppe, gravure à l'eau-forte, Le Roy le Jeune géographe, 1757.

  • Fressenneville. Plan cadastral : tableau d'assemblage, dessin à l'encre, à l'aquarelle et au lavis sur papier, Pruvert géomètre, 1826 (AD Somme ; 3 P 1363/1).

  • Fressenneville. Plan cadastral, section D1 dite le Village, Pruvert géomètre, 1826 (AD Somme ; 3 P 1363/6).

  • Fressenneville. Plan cadastral, section D2 dite le Village, dessin à l'encre, à l'aquarelle et au lavis sur papier, Pruvert géomètre, 1826 (AD Somme ; 3 P 1363/7).

  • Fressenneville. Ancienne église. Nouvelle église en construction, carte postale, vers 1905 (coll. part.).

  • Fressenneville (Somme). Carrefour des quatre chemins, carte postale, L. Martincourt, photographe Paris, 1912 (coll. part.).

  • Fressenneville (Somme). L'abreuvoir du calvaire, carte postale, Raymond Bénard Editeur, après 1912 (coll. part.).

  • Fressenneville (Somme). Centre du village, école des filles, carte postale, Villain Editeur, vers 1920 (coll. part.).

  • Fressenneville. Rue d'Eu, la mairie et l'école de garçons, carte postale, Sac-Epée éditeur, vers 1925 (coll. part.).

  • Fressenneville (Somme). Le monument, carte postale, Woincourt : F. Charvart photographe, vers 1925 (coll. part.).

Annexes

  • Les rues de Fressenneville
  • Liste des maires de Fressenneville
  • Entreprises attestées à Fressenneville
Date(s) d'enquête : 2012; Date(s) de rédaction : 2012, 2015
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
(c) Association de Préfiguration du PNR Picardie maritime
(c) Département de la Somme
Grimaud Romain
Grimaud Romain

Chargé de l'inventaire du patrimoine du Vimeu industriel de 2011 à 2012.

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Barbedor Isabelle
Barbedor Isabelle

Chercheur du service de l'Inventaire général du patrimoine culturel de Picardie, puis des Hauts-de-France, depuis 2002.

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Contient