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Monument aux morts de Salency Salency - place de la Mairie - en villageCopyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralCadre de l'étude :inventaire topographique canton de NoyonHistorique :est construit en 1920 et 1921, par les entrepreneurs Rombaux et Rolland de Jeumont (59).Représentations :croix de guerreStatut :propriété de la communeAuteur :[entrepreneur] Rombaux-Roland entreprise de marbrerie, sculpture et travaux d'artLocalisation :Salency - place de la Mairie - en villageTitre courant :Monument aux morts de SalencyTechniques :sculptureAppellations :de la guerre de 1914-1918Aires d'études :Sources et ValléesIllustration :Vue de face. IVR22_19846001337X
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Tombeau (chapelle) de la famille Frénoy Amiens - rue Saint-Maurice 67 plaine P Cimetière de la Madeleine - en ville - Cadastre : non cadastréCopyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralCadre de l'étude :patrimoine funéraire le cimetière de la MadeleineHistorique :calligraphiée de l'entrepreneur Roland Rombaux. , employé au Chemin de fer, domicilié à Amiens, 88 rue des Corroyers. Le tombeau-chapelle porte la signatureObservation :calligraphiée de l'entrepreneur Roland Rombaux, établi à Jeumont (59). Le monument a probablement été élevé vers Cette concession, matérialisée par des dalles en pierre de Tournai et précédée d'une marche , contient un tombeau en forme de chapelle de style néogothique en pierre de Tournai, qui porte la signature 1883 (date d'acquisition de la concession).Référence documentaire :AC Amiens. Cimetière de la Madeleine. Registre des concessions.Représentations :La façade principale de la chapelle, surmontée d'une croix, est sculptée d'un décor végétal et de gravées de croix et de flambeaux entrelacés de feuilles de lierre et la paroi intérieure centrale est sur une sorte de porte-couronne ainsi qu'une couronne de fleurs en barbotine et à l'extérieur, sur le rubans. Les colonnettes sont coiffées de chapiteaux feuillagés. Les parois intérieures latérales sont gravée d'une croix entrelacée de rubans. A l'intérieur du monument se trouvent un Christ en croix déposé sol, une plaque commémorative et un Christ en croix.Description :(paroi latérale droite : soubassement, en bas à gauche, calligraphiée) : Rombaux Roland / Granits Cette concession, adossée au second mur d'enceinte et à laquelle on accède par une marche, est délimitée par un sol recouvert de dalles en pierre de Tournai. Elle contient un tombeau en forme de chapelle , de style néogothique en pierre de Tournai, dont la façade principale est agrémentée de deuxAuteur :[entrepreneur] Rombaux-Roland entreprise de marbrerie, sculpture et travaux d'artTypologies :tombeau en forme de chapelle à parvisLocalisation :Amiens - rue Saint-Maurice 67 plaine P Cimetière de la Madeleine - en ville - Cadastre : nonTitre courant :Tombeau (chapelle) de la famille FrénoyTechniques :sculptureIllustration :Tombeau en forme de chapelle. IVR22_20068001281NUCA
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Monument aux morts du RICM à Chavignon Chavignon - isoléCopyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général (c) Département de l'AisneHistorique :Présidée par le Général Claudel et le préfet de l'Aisne, l'inauguration du Mémorial de la Malmaison de bataillons de blancs et de Sénégalais) enleva à l'ennemi la carrière de Bohéry ainsi que les distingué lors des combats de Mametz, Fleury, Douaumont, la Malmaison, Plessier-de-Roye... et fut cité dix . Définitivement constitué le 27 octobre 1915 et commandé par le colonel Debailleul, le Régiment du Maroc (composé tranchées du Chemin des Dames, à quelques centaines de mètres de là le 23 octobre 1917. Le régiment s'est fois à l'ordre de l'armée.Référence documentaire :p. 140 DEFENTE, Denis (sous la dir. de). Chemin des Dames de 1914 à 1918. Paris : Somogy, 2003.Statut :propriété de la communeDescription :: "Rombaux Roland, Monuments, Jeumont, Nord". Les lieux de bataille sont également mentionnés (la carrière de manoeuvre audacieuse / difficile et remarquablement exécutée, encerclé / et enlevé de haute lutte de prussienne / avait l'ordre de défendre, puis / progressant encore sous un feu violent / d'artillerie et de 14 officiers, 10 canons dont / 8 de gros calibre, et un nombreux / matériel de guerre". Le drapeau du RICM porte les trois fourragères : légion d'honneur, médaille militaire et Croix de guerre, acquises au Situé sur le plateau du Chemin des Dames sur le bord de la Route Départementale 18, le monument est composé d'un bloc de granite de forme irrégulière élevé sur un socle à trois degrés. La partie plane porte l'inscription rédigée par le général Maistre : "Le général commandant / la VIe armée cite / à l'ordre de l'armée carrières de la Bohéry / s'est emparée ensuite des lignes de tranchées / du Chemin des Dames que la garde mitrailleuses sur une / profondeur de plus de 2 km² malgré des / pertes sensibles, a atteint avec un entrainAuteur :[sculpteur] Rombaux-Roland entreprise de marbrerie, sculpture et travaux d'artDates :1934 daté par travaux historiquesIllustration :Détail de la signature. IVR22_20030202256NUCA Détail de la palme en bronze. IVR22_20030202257NUCA Détail de l'inscription. IVR22_20030202258NUCA
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Monument aux morts de Pont-l’Evêque Pont-l'Évêque - rue de l' Eglise - en village - Cadastre : 1982 AC 2Copyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralCadre de l'étude :inventaire topographique canton de NoyonHistorique :1924 par la maison Rombaux-Rolland de Jeumont (Nord) et acceptés par la municipalité, par délibération -l'Evêque désire "consacrer un souvenir éternel d'admiration et de reconnaissance à la mémoire de ses enfants tombés pour la liberté et le salut de tous, que c'est un devoir pressant pour elle de glorifier Les sources conservées aux archives départementales (série O) indiquent que la commune de Pont leur sublime héroïsme". Les plans (fig. 1) et devis du monument aux morts, sont dressés le 10 décembre du 7 janvier 1925. Il est posé par l'entrepreneur Doudelle de Pont-l'Evêque. Le monument porteRéférence documentaire :Pont-l'Evêque. Projet de monument aux morts, par Rombaux Roland, 1924 (AD Oise ; série O).Représentations :Allégorie de la France pleurant ses enfants.Statut :propriété de la communeAuteur :[entrepreneur] Rombaux-Roland entreprise de marbrerie, sculpture et travaux d'artLocalisation :Pont-l'Évêque - rue de l' Eglise - en village - Cadastre : 1982 AC 2Titre courant :Monument aux morts de Pont-l’EvêqueTechniques :sculptureAppellations :de la guerre de 1914-1918Aires d'études :Sources et ValléesIllustration :Projet du monument par Rombaux Roland de Jeumont, 1924 (AD Oise ; série O). IVR22_19846000356XB
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Monument aux morts de Soyécourt Soyécourt - rue Neuve rue de Wallieux - en village - Cadastre : parcelle non cadastréeCopyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralCadre de l'étude :patrimoine mémoriel monuments aux morts de la SommeHistorique :préfectorale le 13 août 1925. Un projet est dressé par la maison Rombaux-Roland de Jeumont dès 1924, et exécuté Rombaux-Roland, avec l´aide d´un maçon local, Marcel Maille (payé 180 francs pour 60 heures de travail bénéficia des dons de Chatellerault, ville marraine, de Jersey et des familles de soldats tombés sur le sol Le conseil municipal décida la construction du monument le 8 décembre 1924, et reçut l´approbation ). Le monument fut payé grâce à une souscription publique qui rapporta près de 16 000 francs. Il de Soyécourt (inscription sur le monument). La municipalité avait en outre voté un crédit de 1 500Référence documentaire :[Monument aux morts. Soyécourt]. Dessin au crayon aquarellé, par Rombeaux-Roland, décembre 1924 (AD 99 R 334 037. Projets de monuments aux morts de la guerre de 1914-1918. AD Somme. Série R ; 99 R 334 037. Projets de monuments aux morts de la guerre de 1914-1918.Statut :propriété de la communeMurs :pierre de tailleDescription :: SOYECOURT A SES HEROS / 1914-1918. ERIGE PAR SOUSCRIPTION PUBLIQUE / ET A L´AIDE DES DONS DE / JERSEY, DE Le monument aux morts de Soyécourt se situe à côté de l´église. La clôture qui isole le monument de féminine en train d´écrire. Les noms des morts sont gravés sur les faces latérales de la stèle. Inscription CHATELLERAULT / ET DES FAMILLES DES SOLDATS TOMBES SUR SON SOL.Auteur :[entrepreneur] Rombaux-Roland entreprise de marbrerie, sculpture et travaux d'artLocalisation :Soyécourt - rue Neuve rue de Wallieux - en village - Cadastre : parcelle non cadastréeTitre courant :Monument aux morts de SoyécourtTechniques :sculpture (étudié)Appellations :de la guerre de 1914-1918 de la guerre de 1939-1945Illustration :Projet de Rombaux-Roland, 1924 (AD Somme). IVR22_20118005020NUCA Détail de la plaque avec l'inscription. IVR22_19948000450ZA
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Monument aux morts d'Athies Athies - rue du Dessous - en villageCopyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralHistorique :Le monument aux morts est inauguré en 1925. Il est fourni par l'entreprise Vve Rombaux-Rolland etRéférence documentaire :Projet de monument aux morts. Vve Rombaux, Roland et fils à Jeumont (Nord), 1924 (AD SommeAuteur :[entrepreneur] Rombaux-Roland entreprise de marbrerie, sculpture et travaux d'art
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Monument aux morts d'Esquéhéries Esquéhéries - rue du Général-de-Gaulle - en village - Cadastre : 1986 AB non cadastréCopyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général (c) Département de l'AisneHistorique :dans le 2e quart du 20e siècle. Il est orné d'objets de bronze, parmi lesquels une palme et une plaque Monument aux morts, provenant des ateliers d'Edouard Rombaud Roland, marbrier à Jeumont dans le portant une inscription proviennent de l'atelier de P. Barbedienne, fondeur à Paris (signature).Observation :L'intégralité du dossier est consultable au centre de documentation de l'Inventaire du PatrimoineReprésentations :croix de guerre Guirlande de feuilles de laurier sculptée en bas relief sur la base de l'obélisque. Palme en bronze sur la base de l'obélisque. Croix de guerre en bronze sur le sommet de l'obélisque.Statut :propriété de la communeAuteur :[entrepreneur] Rombaux-Roland entreprise de marbrerie, sculpture et travaux d'artLocalisation :Esquéhéries - rue du Général-de-Gaulle - en village - Cadastre : 1986 AB non cadastréTechniques :sculptureAppellations :de la guerre de 1914-1918 de la guerre de 1939-1945
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Tombeau des familles Victor Pauchet de Butler d'Ormond Amiens - 598 plaine B Vieux cimetière de Saint-Acheul - en villeCopyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralHistorique :fabricant Rombaux Roland, établi à Jeumont (Nord). La copie de la Vierge dorée, réalisée pour le clocher deObservation :Rombaux Roland, établi à Jeumont (Nord). Il remplace peut-être un tombeau élevé après l'acquisition de la Le tombeau de la famille de Victor Pauchet de Butler d'Ormond a été exécuté par l'entreprise concession et la construction du caveau en 1884, vers 1920 ou vers 1936, date du décès de Victor Pauchet. La comme un hommage à Charles Fernand, comte de Butler d'Ormond et Alain Victor Pauchet, morts en 1915 datation de 1920, est suggérée par présence de la copie de la Vierge d'Albert, qui peut être interprétée . Victor Pauchet avait fait appel au sculpteur amiénois Albert Roze pour la réalisation de son portait en buste au début du 20e siècle (conservé dans le hall de la clinique Victor Pauchet).Référence documentaire :BM Amiens. Série M ; 2 M 18/4. Autorisations de constructions de caveaux et de monuments (1874-1884). p. 8 Œuvres d'Albert Roze. Monuments, sculptures, plaquettes. Amiens : Yvert, 1946.Description :dorée de la basilique d'Albert. Signature (Vierge) : Albert Roze. Signature : Rombaux Roland / à Jeumont Le tombeau en granit noir comprend une stèle et un soubassement à tombale, dite à dos d'âne et à une femme tenant un enfant à bout de bras. Inscription concernant l'iconographie (Vierge) : ViergeAuteur :[entrepreneur] Rombaux-Roland entreprise de marbrerie, sculpture et travaux d'art [entrepreneur] Devauchelle entreprise de monuments funèbresTypologies :stèle funéraire et soubassement à jardinièresLocalisation :Amiens - 598 plaine B Vieux cimetière de Saint-Acheul - en villeTitre courant :Tombeau des familles Victor Pauchet de Butler d'OrmondAppellations :familles Victor Pauchet de Butler d'OrmondIllustration :Vue de détail de la statue (vue de trois-quarts). IVR22_20168006402NUCA Vue de détail sur la statue (vue de face). IVR22_20058000300NUCA
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cimetière communal d'Athies Athies - L'Arbre Morlet - isoléCopyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralHistorique :tombeaux portent la signature des entrepreneurs de monuments funèbres Rombaux-Rolland et Gaudier-Rembaux. .), sur lequel est représenté un aménagement paysager original, prévoit l'emplacement de la croix de cimetière, au sud des concessions, à proximité d'emplacements réservés pour les ecclésiastiques et lesObservation :monumentales et à la croix de cimetière, qui est élevée à l'emplacement prévu pour une chapelle.Référence documentaire :Plan de l'entrée du nouveau cimetière communal dont l'acquisition est projetée par le ConseilDescription :d'environ 5400 m2. Il est clos de haies végétales et dispose de deux accès, un accès principal au sud (portail en briques) et un accès secondaire à l'est. Présence de nombreux arbres de tiges (au nord et à . Typologie des tombeaux : croix funéraire, tombeau en forme de chapelle, cippe. Signature : Rombaux-Rolland Le cimetière d'Athies, situé au nord-est du bourg, s'étend sur une parcelle de forme triangulaire l'est) et d'un bosquet, à l'entrée, masquant les concessions. On distingue deux trames différentes croix de cimetière est situé au centre d'une petite pelouse, entre des concessions perpétuellesAuteur :[entrepreneur] Rombaux-Roland entreprise de marbrerie, sculpture et travaux d'art [entrepreneur] Gaudier-Rembaux entreprise de marbrerie et monuments funèbresJardins :pièce de gazonTypologies :cimetière indépendant (graveyard) de plan régulierIllustration :Tombeau (cippe) de la famille Caillet-Fournier, conservant sa clôture et deux porte-couronnes Plan de l'entrée du nouveau cimetière communal dont l'acquisition est projetée par le Conseil Vue de situation, depuis la route de Péronne. IVR32_20188005104NUCA Vue de situation depuis le sud. IVR32_20188005105NUCA Vue des concessions perpétuelles, à l'ouest de la nouvelle allée principale. IVR32_20188005109NUCA Vue des concessions perpétuelles, à l'est de la nouvelle allée principale. IVR32_20188005110NUCA La croix de cimetière. IVR32_20188005112NUCA Tombeau (chapelle) de la famille Dengreville-Ponthieu, par l'entrepreneur Gaudier-Rembaux à Aulnoye Tombeau (chapelle) exécuté dans les ateliers Rombaux-Rolland à Jeumont (Nord Croix funéraire en fonte et plaque à épitaphe (1886). IVR32_20188005113NUCA
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Cimetière communal de Sains-en-Amiénois Sains-en-Amiénois - rue des Cauriers - en village - Cadastre : 2003 AB 11Copyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralHistorique :acquis en 1851, date de construction de la clôture. La translation de l'ancien cimetière a lieu en 1857 . Le règlement du cimetière est rédigé en 1864. Le cimetière est agrandi en 1892 et en 1899.Référence documentaire :Plan du cimetière de Sains, dessin, 1861 (AD Somme ; 99 O 3351).Description :clôture à l´est et à l´ouest, un arbre de tige planté dans l'une des concessions. Une borne-fontaine (fig les aviateurs ont été tués en 1940 au-dessus de Sains. Deux enclos funéraires (étudiés) et dix-sept , chapelle. Signatures : Cloquier / Rombaux Roland / Martin. Le cimetière de Sains est situé au nord du village. La parcelle de forme trapézoïdale, d´une superficie d´environ 500 m2, est close par une haie sur trois côtés et par un mur bahut surmonté d'une clôture métallique, en bordure de la rue. Elle est desservie par trois accès, deux piétons (rue des Cauriers) et un automobile (au nord-ouest). Le cimetière est distribué par un réseau d´allées parallèles couvertes de gravier. L´espace entre les tombes, perpendiculaires aux allées, est recouvert de gravier. Les cimetière. Les tombeaux les plus monumentaux sont regroupés près de la clôture sur la rue, le long de l'ancienne allée principale à l'extrémité de laquelle est placée la croix de cimetière. Dans l'axe deAuteur :[entrepreneur] Rombaux-Roland entreprise de marbrerie, sculpture et travaux d'art [entrepreneur] Martin entreprise de monuments funèbres [entrepreneur] Cloquier entreprise de monuments funèbresTypologies :cimetière indépendant (graveyard) de plan régulierTitre courant :Cimetière communal de Sains-en-AmiénoisTexte libre :de cimetière ici associée à un tombeau de prêtre, comme à Allonville et Cagny. Comme de nombreux et celui de la famille de Colnet, dans l'axe de l'entrée actuelle. Le cimetière de Sains présente toutes les caractéristiques des cimetières ruraux de la 2e moitié du 19e siècle. La trame orthogonale résulte de la planification des concessions, la hiérarchisation des cimetières de l'aire d'étude, il a été agrandi, ici au nord, entraînant le déplacement de la croix de cimetière. Les quelques tombeaux à caractère monumental conservés dans le cimetière témoignent de la prospérité économique de la commune qui fut chef-lieu de canton, jusqu'en 1880. Deux monuments funéraires se distinguent tout particulièrement, celui de la famille Follet, qui s'élève à proximité de l'entrée d'origineIllustration :Vue générale depuis le nord, la croix funéraire des de Cornet et la croix de cimetière à l'arrière Tombeau (chapelle) de la famille des entrepreneurs Vatilde et Adrien Baillet. IVR22_20078000010NUCA Tombeau (chapelle) exécuté par l'entrepreneur Rombaux Roland. IVR22_20078010004NUCA Plan schématique du cimetière de Sains-en-Amiénois. IVR22_20078010668NUCA Vue de la partie est du cimetière. IVR22_20078010576NUCA Vue de la partie ouest du cimetière. IVR22_20078010577NUCA Tombeau (stèle à croix) de la famille Follet-Flament, vers 1904. IVR22_20078010016NUCA Français, par le marbrier Bobeuf de Péronne. IVR22_20078010580NUCA
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Ecole des Beaux-Arts et conservatoire de musique d'Amiens Amiens - 3 rue Desprez - en ville - Cadastre : 1974 XS 50Copyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralCadre de l'étude :enquête thématique régionale édifices civils et édilitaires d'Amiens des 19e et 20e sièclesHistorique :adjugés le 14 décembre 1927 à l'entreprise Parisy et fils de Paris. Ils commencèrent début 1928 et se remplace l'ancienne école de dessin, et celle de l'école nationale de Musique, ouverte en 1891. Selon les recherches menées par Nathalie Mette lors de l'enquête de 1997, l'école des Beaux-Arts et de Musique de style Art Déco fut édifiée sur les plans de l'architecte Louis Duthoit en 1930. Dans un avant-projet dressé municipalité prit la décision d'ôter du programme cette caserne et de donner plus d'ampleur à la salle des fêtes et au Conservatoire de Musique. Après plusieurs projets sans succès, Duthoit présenta en 1927 de nouveaux plans qui furent acceptés par le Conseil municipal sur un budget de 3000000 F. Les travaux furent modifications à ses plans concernant les salles de cours du Conservatoire de Musique et la terrasse pour l'école A. de Calonne (1906) signale la création de l'école régionale des Beaux-Arts, créée en 1884, qui terminèrent en mars 1931, peu après la mort de Louis Duthoit. En 1929, Duthoit dut encore apporter quelquesObservation :et édilitaires d'Amiens a été mis à jour et enrichi par Isabelle Barbedor en 2002 dans le cadre de documentation de l'Inventaire et du Patrimoine culturel. l'inventaire topographique d'Amiens métropole. L'intégralité du dossier est consultable au centre deRéférence documentaire :p. 440-441 CALONNE, A. de. Histoire de la ville d'Amiens au XIXe siècle. Bruxelles : éditions culture et civilisation, [1906] réed. 1976.Dénominations :école d'artDescription :des fêtes) et de deux bâtiments perpendiculaires en retour d'équerre formant un plan en U (d'un côté Art Déco sont surmontés d'auvents en pierre incrusté de pavés de verre circulaires. Ceux des ailes ressaut et deux frontons cintrés en pierre garnie d'un bas-relief avec masques de comédie (grimaçant et souriant) entouré de fleurs stylisées. Très inspiré du style Art Déco, la décoration du bâtiment se compose allégories du dessin et de la musique, de frises de denticules et de frises géométriques de mosaïques dorées et polychromes. L'intérieur de l'édifice est sobre et quasiment dépourvu de décoration. Seul reste fêtes) et un monument aux morts en pierre au rez-de-chaussée de l'ancienne école des Beaux-Arts. l'école des Beaux-Arts, de l'autre le Conservatoire de Musique). Chaque bâtiment possède son entrée indépendante accessible par trois degrés. Ces portails en fer forgé ouvragés de motifs géométriques de style perpendiculaires sont dotés d'un bandeau portant l'inscription en relief de la destination du bâtiment : école deAuteur :[entrepreneur] Parisy et filsTitre courant :Ecole des Beaux-Arts et conservatoire de musique d'AmiensIllustration :Détail sur la baie surmontée du fronton orné d'un masque de comédie. IVR22_19988001669X
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Bâtiment administratif d'entreprise de la Compagnie Nouvelle des Sucreries Réunies (C.N.S.R.), puis de la Générale Sucrière, puis de Saint-Louis Sucre Eppeville - 90 rue du Maréchal-Leclerc - en village - Cadastre : 2015 A 40Copyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralHistorique :travaux, exécutés par la société Gobertange, sont achevés en 1921. La dimension de l'édifice est à l'époque à la mesure de l'ambition de la C.N.S.R., dirigée par Edmé Sommier et Emile Tabary. Détruits Le bâtiment administratif de la sucrerie de la Compagnie Nouvelle des sucreries Réunies est construit en même temps que les bâtiments de production du site industriel dont il dépend. Il est réalisé par l'architecte Georges Lisch qui dessine l'ensemble des édifices de la Compagnie à Eppeville. Les partiellement au cours de la seconde guerre mondiale, ils sont entièrement reconstruits sur le même emplacement et suivant la même composition architecturale. Seul, l'ajout d'un étage ainsi que la largeur des ouvertures, distingue la nouvelle construction de l'ancienne. Dans les années 1960, il est complété d'un second espace de bureaux qui le flanque sur son pignon ouest.Hydrographies :canal de la SommeRéférence documentaire :Plan masse général de l'usine et de ses dépendances, 1/2500e, tirage, Georges Lisch (architecte), 7 Projet de construction de bureaux pour la sucrerie, dessin au crayon, aquarelle et lavis, Georges [Les bureaux de la sucrerie], tirage photographique noir et blanc, 1921 (AD Somme ; 49 Fi 26). [Vue aérienne de la sucrerie et des bureaux], carte postale, Cim éditeur, vers 1970 (coll. part.). p. 88-90 BOWIE, Karen. Georges Lisch. Les villages de Béthancourt et d'Eppeville en Picardie p. 54-57. CERCLE CARTOPHILE DE HAM ET SA REGION. L'industrie dans l'agglomération hamoise... hier Picardie Jules Verne, 2002. 2 vol. Mém. de maîtrise : Histoire de l'Art : Amiens : 2002. AD Somme. Série R ; 10 R 73. Eppeville. Compagnie Nouvelle des Sucreries Réunies. Dommages de et aujourd'hui. Ham : C.C.H., 2013. LAVIGNE, Eléonore. Reconstruction et restructuration industrielle après la première guerre mondialeDénominations :bâtiment administratif d'entrepriseDescription :sucrerie et la cour de réception des betteraves. Il est implanté en bordure de la rue et présente un plan briques orangées, est à un étage carré et un étage de comble, couvert d'un toit en ardoise, à longs pans et demi-croupe en pignon et avant-corps, traité en pignon de façade. Sur la dernière travée à l'ouest , un petit pavillon en rez-de-chaussée forme terrasse et balcon à l'ouverture situé au premier étage. Le grand bâtiment occupe la partie est de l'espace industriel, entre les ateliers principaux de la rectangulaire de dix travées. Il présente une élévation ordonnancée marquée par un avant-corps central de troisÉtages :étage de combleTitre courant :Bâtiment administratif d'entreprise de la Compagnie Nouvelle des Sucreries Réunies (C.N.S.R.), puis de la Générale Sucrière, puis de Saint-Louis SucreAppellations :de la Compagnie Nouvelle des Sucreries Réunies (C.N.S.R.)Illustration :Vue aérienne de la sucrerie et des bureaux, carte postale, vers 1970 (coll. part Projet de construction de bureaux pour la sucrerie, Georges Lisch, 1920 (AD Somme ; 49 Fi 5 Extrait du plan masse général de l'usine [avec indication des bureaux en rouge], Georges Lisch, 7 Les bureaux de la sucrerie, 1921 (AD Somme ; 49 Fi 26). IVR22_20158006172NUCA Vue d'ensemble de la façade sur rue des bureaux de la sucrerie. IVR22_20068000128XA Les bureaux, façade sur rue, vue de face. IVR22_20158006185NUCA
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Château du Nouvion, puis colonie de vacances de la ville de Roubaix Le Nouvion-en-Thiérache - le Château - route de Guise - isolé - Cadastre : 1983 C3 742 A 744, 748, 752, 753, 755 A 757, 760 A 767, 1091, 1098 A 1101, 1337, 1338, 1526, 1651 A 1657, 1683, E1 47 A 52, 221 A 230Copyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général (c) Département de l'AisneCadre de l'étude :patrimoine de la villégiatureHistorique :Château construit entre 1853 et 1856, pour la société Seillière, qui venait de racheter le domaine de Guise (d'après travaux historiques). Il doit abriter les bureaux de l'administration forestière du aux héritiers du duc d'Aumale jusqu'en 1980 et c'est au château qu'est né l'actuel comte de Paris en vendus à la ville du Nouvion en 1986. Le parc et l'étang abritent aujourd'hui un complexe sportif et de loisirs, et le petit château un magasin de commerce. La métairie sert de maison pour un administrateur de domaine. L'édification de la métairie du château peut-être placée vers 1860 (d'après les matrices 1980, le château a été vendu à la ville de Roubaix qui en a fait un centre d'accueil pour enfants. Un logement pour le directeur du centre a alors été construit près du château. En 1994, la ville de Roubaix vend le château à l'association des pupilles du Nord. Le parc, l'étang et le petit château ont étéObservation :L'intégralité du dossier est consultable au centre de documentation de l'Inventaire du PatrimoineRéférence documentaire :canton et les Communes limitrophes : suivies de Notices monographiques sur chacune des localités du Canton, ouvrage orné de cartes, de dessins d'églises et d'une vue du Nouvion en 1870. Edition Toussaint p. 23, 212, 213. CATRIN, L. H. Etudes historiques et statistiques sur le Nouvion-en-Thiérache, son et Bachelet (Vervins), 1871. p. 231. INVENTAIRE GENERAL DU PATRIMOINE CULTUREL. Picardie. Sur une frontière de la France : la Thiérache (Aisne). Textes : Pierre-Yves Brest, Pierre Dausse, Frédéric Fournis et al. Photographies : Franck Bürjes, Laurent Jumel, Thierry Lefébure et al. (collection Images du patrimoine n° 207). Amiens : AGIR p. 33-63. MEURET, Jean-Paul. "Le domaine de Guise au Nouvion-en-Thiérache (1830-1986). Jalons pour l'histoire d'une grande propriété foncière en Picardie". Société historique de Compiègne, actes du colloque "La vie de château c'est fini". La Thiérache, 13 mai 1994.Dénominations :établissement administratif d'entrepriseDescription :charpente. Le château est couvert de toits à longs pans, parfois avec demi-croupe, de toits en pavillon et couverts d'un toit brisé en pavillon. Le bâtiment à usage de remise, écurie et logement est couvert d'un toit à deux pans et croupe. Le logement du directeur du centre, en rez-de-chaussée avec comble à Le château est bâti sur un plan symétrique en U. Il possède un sous-sol voûté en brique, un rez-de -chaussée surélevé, un étage carré et un étage en surcroît. Ces niveaux sont desservis par un escalier symétrique, des escaliers tournants dans-oeuvre et des escaliers hors-oeuvre en vis avec jour, tous en d'un toit à deux pans et croupe. Le logement du concierge et celui du jardinier à l'entrée sont château, desservi par un escalier tournant, avait à l'origine un toit à deux pans brisés et à croupe brisée et un toit à deux pans et croupe polygonale.Étages :rez-de-chaussée surélevéLocalisation :Le Nouvion-en-Thiérache - le Château - route de Guise - isolé - Cadastre : 1983 C3 742 A 744, 748Titre courant :Château du Nouvion, puis colonie de vacances de la ville de RoubaixDates :1856 daté par travaux historiquesDestinations :établissement de bienfaisance magasin de commerceIllustration :Vue de l'horloge qui surmonte l'écurie et les remises. IVR22_19960200106XA Vue de la façade est. IVR22_19960200104VA Logis du métayer, fournil et poulailler. IVR22_19960200090V
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Usine d'appareils de levage et de manutention Saxby, puis Still-Saxby, puis Still Montataire - Vallée-des-Moulins - 4 avenue de la Libération - en ville - Cadastre : AN 137, 149, 532Copyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général (c) Département de l'Oise (c) Communauté de l'Agglomération CreilloiseHistorique :et les voies ferrées de la ligne Creil-Beauvais au sud. Cette situation au bord de la rivière peinture, de montage, le laboratoire et les machines. L'activité de fabrication de matériel de (transpalette, chariot élévateur thermique et électrique). En 1973, la fabrication de signalisation est recentre alors sur la fabrication des appareils de levage et de manutention. Dès 1973, elle lance un progamme d'extension de ses aires de stockage et de son magasin de pièces mécaniques. En 1989, le groupe fondateur de l'entreprise. L'usine Still comprend aujourd'hui un vaste atelier pour l'usinage, la soudure , la peinture et le montage de pièces ainsi qu'un service qualité et contrôle des pièces. Autour de Au début des années 1960, un projet de construction d'un pont sur l'Oise doit traverser le site de l'usine Saxby établie rue Jean-Jaurès à Creil. La décision est prise en 1963 de transférer l'activité de . L'ensemble des ateliers sont conservés : ateliers d´usinage, de charpente, de traitement des métaux, deParties constituantes non étudiées :atelier de fabricationRéférence documentaire :; dossier Société des Ponts et Travaux en Fer : 1963. AD Oise. Série W ; 763W 29538. Transfert de la société Saxby de Creil à Montataire : 1963. N'ZAMBA, Delphin. "Le fabuleux destin de John Saxby, industriel anglais hors du commun". In LeDénominations :usine d'appareils de levage et de manutentionMurs :essentage de tôle parpaing de bétonDescription :pour les façades des ateliers, d'une toiture en terrasse et de lanterneaux en matériau synthétique (plexiglas). Le bâtiment des bureaux, du bureau d'études et de la cantine, en rez-de-chaussée, sont L'ensemble du site présente une homogénéité architecturale due à l'emploi de bardages métalliques construits en parpaings de béton enduits, couverts d'un toit en terrasse. Des constructions légères en tôleÉtages :en rez-de-chausséeLocalisation :Montataire - Vallée-des-Moulins - 4 avenue de la Libération - en ville - Cadastre : AN 137, 149Titre courant :Usine d'appareils de levage et de manutention Saxby, puis Still-Saxby, puis StillIllustration :Vue aérienne de l'usine Still à Montataire. IVR22_20086005077NUCA L'usine vue depuis la gare de Montataire. IVR22_20076005617NUCA
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Chemin de croix, de style Art déco Corcy - Église paroissiale Saint-Alban rue de l' Étang rue des Prés-à-Regain - en villageHistorique :En 1923 deux artistes et techniciens installés à Antony (Hauts-de-Seine) - Spéranza Calo-Séailles alumineux spécial, à prise rapide, de teinte claire et à surface translucide. Ce matériau, d'abord utilisé dans la décoration architecturale (revêtements de murs et de sols) est révélé au grand public à l'exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de 1925. Dans le même temps, les deux restaurées et partiellement reconstruites sous l'égide de ce service de l’État. La date précise de commande en témoigne un devis du 13 juin 1932 (conservé à la médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine ) qui concerne la pose et le scellement des stations. Ce chemin de croix, béni par l'évêque de Soissons le 27 août 1933, a succédé à un ensemble formé de quatorze estampes et détruit au cours de la et son mari, l'ingénieur Jean-Charles Séailles - inventent et déposent le brevet d'un nouveau concepteurs demandent des cartons et modèles à des peintres, sculpteurs et verriers, pour utiliser le nouveauCadre de l'étude :inventaire topographique canton de Villers-Cotterêts mobilier et objets religieuxRéférence documentaire :Devis du 13 juin 1932, concernant la pose du chemin de croix. AMH (Médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine). Série 81 : 81/02, carton 45. Corcy, église ; dossier travaux. Reconstruction de la façade (1929) ; restauration de la nef (1929), divers (1932-1933), transept et autel (1933) ; projet de GRUBER, Jean-Jacques. Le lap, ses artistes et ses techniciens. Les Échos d'Art, n° 43, février 1929 dans le diocèse de Soissons, Laon & Saint-Quentin.Dénominations :chemin de croixStatut :propriété de la communeEmplacement dans l'édifice :chapelle des fonts baptismaux, mur sud de la nef et transeptCopyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général (c) Département de l'AisneInscriptions & marques :Les chiffres latins qui donnent la succession des quatorze stations sont réalisés en creux etObservation :Art déco, d'une très belle qualité de dessin. Il est particulièrement remarquable, tant par l'auteur Ce chemin de croix, dont quatre exemplaires ont été dénombrés dans l'Aisne, est une œuvre de styleReprésentations :Les tableaux représentent les quatorze scènes traditionnelles de la Passion, depuis la condamnationDescription :Le chemin de croix est formé de quatorze tableaux rectangulaires horizontaux, encastrés dans le mur . Ces tableaux sont réalisés en "Lap", ciment alumineux spécial (à base d'aluminates de calcium) très pauvre en fer, qui a été coulé en couche mince au fond de moules, puis doublé par du ciment ordinaire . Les couleurs de la surface sont obtenues en mêlant au Lap des pigments colorés, ainsi que des poudresLocalisation :Corcy - Église paroissiale Saint-Alban rue de l' Étang rue des Prés-à-Regain - en villageÉtats conservations :Plusieurs tableaux ont perdu quelques petits éclats de matériau.Dimension :Mesures de chaque tableau avec son cadre : h = 60,5 ; la = 70. Mesures de la scène centrale enTitre courant :Chemin de croix, de style Art décoAppellations :style Art décoIllustration :Vue de la quatrième station. IVR22_20010202655XA Vue de la cinquième station. IVR22_20010202654XA
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Ancienne usine de dentelle mécanique, tissage de tulle, blanchiment et apprêt Cliff, usine de dentelle Everwear Candlewick, confection Michel et entreprise Zarini, puis atelier de bobinage Bourgeois Saint-Quentin - faubourg Saint-Martin - 2 à 12 rue de la Chaussée-Romaine 1 à 29 Boulevard de Verdun - en ville - Cadastre : 2006 BE 500, 503, 504, 581 à 590, 618, 662, 702, 703, 737, 738, 741, 742, 766, 767Historique :. Les travaux débutent sous la direction de l'architecte Brassart-Mariage et sont effectués par Vers 1838, William Cliff implante sur ce site un tissage de tulle et une usine de dentelle mécanique, ainsi qu'une usine de blanchiment. Des travaux d'extension sont réalisés à cette période, sous la direction de l'architecte Antoine Dablin. Les fils de William Cliff, Maxton et Edwin, lui succèdent vers des Ets Henri Michel depuis 1976, encore en activité au milieu des années 1990), et l'entreprise Zarini. Les locaux de cette dernière sont acquis dans les années 1970 par l'usine de blanchiment et de bobinage, sous la raison sociale Bourgois. Aujourd'hui, le site accueille une multitude d'entreprise et Laval, et d'une machine à vapeur de secours de 12 ch. (1900). Ces moteurs étaient couplés à des plus 300 ouvriers à domicile). Si l'on excepte les ouvriers employés à la fabrication de la dentelle et 1862. Après le décès de William Cliff, une nouvelle société est créée en 1879, sous la raison socialeCadre de l'étude :patrimoine industriel la communauté d'agglomération de Saint-QuentinParties constituantes non étudiées :atelier de fabricationRéférence documentaire :[Usine Cliff] Partie des bâtiments reconstruits : la fabrique de tulle (Entreprise Faucheux et [Usine Cliff] Partie des bâtiments reconstruits : la fabrique de tulle (Entreprise Faucheux et Art et textile picards : St-Quentin, Amiens, Beauvais, Prestige de la qualité et de l'élégance manufactures - Arrondissement de Saint-Quentin. Liste des manufactures, usines, ateliers et fabriques soumis à déclaration n°297 - 03-08-1894 - Atelier de fabrication et générateurs ; déclaration n°412 - 09-06 ; Permis de construire : casier sanitaire. Dossier n° 57 - Rue et boulevard de Bagatelle. AD Aisne. 9409. Industrie - Etudes du Comité d'Etudes et de Liaison Interprofessionnel du Département de l'Aisne - Recensement des industries pour 1960, 1964, 1966 et 1868. AD Aisne. 9410. Industrie - Implantations industrielles de 1964 à 1966 - Mouvement des entreprises . d'Exploitation de l'Usine Cliff - Création et modifications des statuts AD Aisne. Série U ; 289 U 126. TribunalDénominations :usine de dentelle mécanique usine de blanchiment usine de confectionMurs :pierre de tailleCopyrights :(c) Communauté d'agglomération et ville de Saint-Quentin (c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralObservation :, avant d'être transféré rue de la Chaussée-Romaine au milieu des années 1850, dans de nouveaux ateliers.Précision dénomination :tissage de tulleAuteur :[commanditaire] Société Anonyme d'Exploitation de l'Usine CliffDescription :-sol et d'un étage carré, couvert de toits à longs pans en tuile mécanique. Ils sont construits en droits en béton armé. Perpendiculaire à ces ateliers, subsiste l'ancien atelier d'apprêt et de bordage , probablement construit dans les années 1870, composé d'un étage de soubassement et d'un rez-de-chaussée en brique, surmontés d'un étage carré à pan de fer et remplissage de brique enduite. A cet atelier est adossée une tour d'escalier polygonale, en brique et pierre de taille (bandeaux, corniche, chaînage métallique, en ruine, et d'un fronton en pierre de taille dans lequel s'insérait l'horloge de l'usine Guerre mondiale, restauré et agrandi à l'issue de celle-ci. Il est en brique, avec une structure interne béton armé pour les structures internes (poteaux-poutres) et les linteaux de baies. Ils sont couverts de Les deux ateliers de fabrication de tulle construits à la fin des années 1890 se composent de sous brique. Pour l'atelier en bordure de la rue de la Chaussée-Romaine, les deux niveaux sont délimités enLocalisation :Saint-Quentin - faubourg Saint-Martin - 2 à 12 rue de la Chaussée-Romaine 1 à 29 Boulevard deTitre courant :dentelle Everwear Candlewick, confection Michel et entreprise Zarini, puis atelier de bobinage Bourgeois Ancienne usine de dentelle mécanique, tissage de tulle, blanchiment et apprêt Cliff, usine deIllustration :Plan général du territoire de la commune de Saint-Quentin avec les routes et chemin y aboutissants Nouveau plan de Saint-Quentin monumental industriel et commercial : l'usine Cliff vers 1894 (Musée Plan des ateliers de fabrication du tulle (restaurés), d'apprêt et pliage (détruits) en 1914, par Plan de l'atelier des métiers anglais et de divers autres ateliers en 1914, par Brassart-Mariage Plan de l'atelier d'apprêt et bordage construit en 1912, restauré en 1919, par Degryse & Cie, Van Entrée de l'usine et conciergerie, par Brassart-Mariage, mai 1919 (AD Aisne Façade antérieure (sur la rue de la Chaussée-Romaine) de l'atelier des métiers à tulle et de Façade postérieure de l'atelier des métiers à tulle et de bobinage, par Brassart-Mariage, mai 1919 Salle des machines en ruine au premier plan, et façade ouest de l'atelier d'apprêt et bordage, par Façade ouest de l'atelier d'apprêt et bordage, par Brassart-Mariage, mai 1919 (AD Aisne
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Ancien tissage de coton et de guipure F. Cornaille et Cie, bonneterie Le Textile Delcer et usine de fibres artificielles et synthétiques Nysam, puis bonneterie Tramex et établissement administratif Saint-Quentin - faubourg d' Isle - 85 rue de La Fère 50 chemin d' Itancourt - en ville - Cadastre : 2004 BX 158, 159, 160, 161, 170, 315, 318, 488 2005 ZH 30Copyrights :(c) Communauté d'agglomération et ville de Saint-Quentin (c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralCadre de l'étude :patrimoine industriel la communauté d'agglomération de Saint-QuentinHistorique :Chargeurs Interlining), et des entreprises de service industriel. Les ateliers de l'usine de fibres . L'entreprise reprend en 1922 sa production d'avant-guerre : piqués, plumetis, rideaux, guipure, étamine et des rues du Gouvernement et du Labon, est transférée après son incendie en 1921 dans les locaux de la société Le Textile Delcer, spécialisée dans la fabrication de tissus-mailles en fibres synthétiques et sont développées les activités de tricotage, mais aussi de teinture et d'apprêt des tissus fabriqués . En 1969, Le Textile Delcer qui exploite deux autres sites à Saint-Quentin (rue de La Fère, n°20, et (Procédés Industrialisés et Modulaires de Construction). En 1992, le groupe Chargeurs-Textiles, propriétaire de Delcer, cède l'entreprise à la société SGAT-Italia, du groupe Fincori. En 1998, quatre ans après A partir de 1920, Sylvain Cornaille fait édifier ce tissage, sous la direction du cabinet d'architecture Malgras-Delmas. L'usine est exploitée sous la raison sociale F. Cornaille et Cie, société fondéeParties constituantes non étudiées :atelier de fabricationRéférence documentaire :Art et textile picards : St-Quentin, Amiens, Beauvais, Prestige de la qualité et de l'élégance Cornaille et Cie - 1920 et 1932 AC Saint-Quentin. Service de l'Urbanisme ; Permis de construire Le Textile Delcer - Magasin et atelier - 1960 ; Bâtiment de finition et magasin - 1962 ; Ateliers AD Aisne. Série R ; 15 R 938. Dommages de guerre. Dossier n° 3205 - F. Cornaille et Cie. . Conflit du travail dans l'industrie textile. Liste de plusieurs établissements fermés entre 1930 et 1937. AD Aisne. Série M ; MM 197. Création et extension d'entreprises - Autorisations - Instructions Cornaille et Cie à Saint-Quentin - Usine à Bellenglise - Rez-de-chaussée. Plan, tirage, 1 : 100, 84 Complexe industriel Delcer-Nysam. Plan de masse et de situation. Plan, tirage, plan n° S01, 1 : 500 Ce qui restait en décembre 1918 des usines F. Cornaille et Cie qui couvraient à Bellenglise plus de CHAMBRE REGIONALE DE COMMERCE ET D'INDUSTRIE DE PICARDIE. Panorama des industries de PicardiePrécision dénomination :tissage de coton tissage de guipureDénominations :usine de fibres artificielles et synthétiques usine de bonneterieMurs :parpaing de bétonDescription :à longs pans et croupes, en tuile mécanique) et de l'ancienne maison de négoce du tissage. Cette , percée de pavés de verre, etc). Dans le prolongement de la conciergerie, d'anciens magasins, prolongés et constituée de piliers et poutres à treillis métalliques. La façade ouest, côté cour, a profondément été néanmoins les piliers de briques, rythmant la façade et supportant les poutres des ateliers. Le chapiteau de -1968, par l'édification progressive d'une quinzaine de bâtiments à l'est, puis au nord et au sud des ateliers de 1920. Ils sont constitués de structures métalliques (poteaux porteurs et fermes à treillis), de L'entrée principale de l'usine est cantonnée d'une conciergerie (un étage carré, couvert d'un toit dernière, fermant la cour côté nord, couverte pour partie de trois sheds, pour partie en terrasse, a profondément été remaniée lors de sa transformation en bureau par Delcer (façade sur rue initialement aveugle dans le mur de clôture, plus au sud, pour contourner la cour de l'usine. Au fond de cette cour, seLocalisation :Saint-Quentin - faubourg d' Isle - 85 rue de La Fère 50 chemin d' Itancourt - en ville - CadastreTitre courant :Ancien tissage de coton et de guipure F. Cornaille et Cie, bonneterie Le Textile Delcer et usine de fibres artificielles et synthétiques Nysam, puis bonneterie Tramex et établissement administratifAppellations :Cornaille F. et CieDestinations :usine de bonneterieIllustration :Vue aérienne en novembre 1918 : le site où s'implante le tissage en 1920, cerné de tranchées et Maison de négoce, par Malgras-Delmas et Roux, 1932 (AC Saint-Quentin). IVR22_20050206383NUCAB Plan du tissage de Bellenglise en 1914, par Malgras-Delmas (AD Aisne). IVR22_20050206555NUCAB constellé de trous d'obus (AD Aisne). IVR22_20050206389NUCAB Le tissage de Bellenglise en ruine, vers 1919 (Le Monde Illustré). IVR22_20050206390NUCAB Plan du tissage de Saint-Quentin en 1920, par Malgras-Delmas (AD Aisne). IVR22_20050206556NUCAB Plan du tissage et implantation des équipements, par Malgras-Delmas, 1920 (AC Saint-Quentin Façade antérieure des ateliers et plan partiel, par Malgras-Delmas, 1920 (AC Saint-Quentin Magasin industriel et bureaux, par Malgras-Delmas, 1920 (AC Saint-Quentin). IVR22_20050206382NUCAB Portrait de M. Cornaille, vers 1920 (Le Monde Illustré). IVR22_20050206376NUCAB
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Usine de fibres artificielles de la Cie Nouvelle des Applications de la Cellulose, Comptoir des Textiles Artificiels, Soie Artificielle de Gauchy, Rhône Poulenc Textiles, puis Tergal Fibres et parfumerie Gauchy - rue Jules-Vercruysse - en ville - Cadastre : 2005 AH 37, 38, 41, 42, 45, 46, 49, 50, 54, 55, 142, 201, 203, 205, 207, 209, 211, 213, 215, 217, 219, 221, 223, 225, 226, 236, 237, 252Copyrights :(c) Communauté d'agglomération et ville de Saint-Quentin (c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralCadre de l'étude :patrimoine industriel la communauté d'agglomération de Saint-QuentinHistorique :Cette usine de fibres artificielles et synthétiques spécialisée dans la fabrication de rayonne fut construite à partir de 1922 par la Compagnie Nouvelle des Applications de la Cellulose, et mise en route à Artificiels (CTA), fondé en 1912 et regroupant la plupart des usines françaises de soie artificielle . L'entreprise, dont la raison sociale devient Soie Artificielle de Gauchy en 1927, puis Textiles Artificiels de 1930 et 1932. L'usine devient la propriété de la Société Nationale de la Viscose vers 1950. Une % provenant de cadres de l'entreprise. Devenu le premier site français de production de fibre polyester . L'usine de fibres artificielles et synthétiques emploie 1340 salariés en 1933, 870 salariés en 1938 -Grand, à 15 kilomètres au nord de Saint-Quentin, repris par la Compagnie Nouvelle des Applications de la Cellulose fondée en juillet 1913 par Alfred Bernheim, et endommagés durant la Première Guerre mondiale . Parallèlement, une cité ouvrière de plus de 300 logements est progressivement édifiée à proximité de l'usineParties constituantes non étudiées :atelier de fabricationRéférence documentaire :p. 193 Art et textile picards : St-Quentin, Amiens, Beauvais, Prestige de la qualité et de . Salaires des ouvriers à domicile. Instructions ministérielles. Textile des régions de Bohain et de Saint 1938 - Elaboration d'une convention collective de la rayonne de Gauchy et Moy-de-l'Aisne AD Aisne - Tableaux de classement par ordre de priorité des entreprises de la région de Laon - Saint-Quentin. 1945. AD Aisne. 9409. Industrie - Etudes du Comité d'Etudes et de Liaison Interprofessionnel du Département de l'Aisne - Recensement des industries pour 1960, 1964, 1966 et 1868. AD Aisne. 9410. Industrie - Implantations industrielles de 1964 à 1966 - Mouvement des entreprises CHAMBRE REGIONALE DE COMMERCE ET D'INDUSTRIE DE PICARDIE. Panorama des industries de Picardie CHAMBRE REGIONALE DE COMMERCE ET D'INDUSTRIE DE PICARDIE. Panorama des industries de Picardie p. 250 FIETTE, André. Le Département de l'Aisne : étude géographique et économique. Bordas, 1960.Dénominations :usine de fibres artificielles et synthétiques usine de matières plastiquesMurs :essentage de tôleDescription :trois halles accolées est construit en béton armé et remplissage de brique. Les pignons sont percés de , en béton armé et briques, couverts de toits à longs pans en tuile mécanique et faîtage vitré. A Les bâtiments subsistants des années 1920 forment principalement trois groupes. Un ensemble de latérale occidentale, plus basse que les deux autres. Ces halles sont couvertes de toits à longs pans en tôles nervurées, percés pour les deux plus grandes de lanterneaux. A l'arrière, se dressent deux cheminées d'usine tronquées en brique. A l'est de cet ensemble, se situe un groupe de cinq ateliers accolés l'ouest, est implanté un groupe de sept ateliers accolés, plus petits que les précédent, couverts de toits à longs pans percés de lanterneaux. Le site est complété d'un ensemble de vastes ateliers industriels couverts de toits à longs pans en fibro-ciment. Refus de visite : description architecturale du site réalisée à partir des éléments observables depuis l'extérieur du site et les photographiesÉtages :en rez-de-chausséeAuteur :[commanditaire] Compagnie Nouvelle des Applications de la Cellulose [commanditaire] Soie Artificielle de GauchyTitre courant :Textiles Artificiels, Soie Artificielle de Gauchy, Rhône Poulenc Textiles, puis Tergal Fibres et parfumerie Usine de fibres artificielles de la Cie Nouvelle des Applications de la Cellulose, Comptoir desAppellations :Compagnie Nouvelle des Applications de la Cellulose Soie Artificielle de GauchyAnnexe :stock de tulles, mousselines et autres étoffes légères au dessin élégant, n´attendant pour être livré au préoccupée de se procurer des Ersatz. L´usine de Fresnoy fut bientôt vidée de tout son matériel et de ses ´armée ; dès la fin de 1914, elle fut aménagée en boulangerie et en dépôt de munitions. Si après l dernière le terrain de Fresnoy est trop petit et une expropriation de la Compagnie du Nord menace de le Mantes (Seine-et-Oise) . Extrait de : Les grandes industries modernes et les Centraux. Paris : Ed. du 1914, la demande de soie artificielle marchait à pas de géants et demeurait dans le monde au-dessus de de Saint-Quentin, et une usine de soie artificielle, pourvue de tous les perfectionnements les plus qu´est la ville de Saint-Quentin. Du contact immédiat du producteur et de l´employeur d´un textile aménagée pour deux cent cinquante familles d´ouvriers." Extrait de : L´Illustration économique et française de la Soie Thiéle et Linkmeyer, société fondée en 1906. Cette société change de dénommination leIllustration :Représentation de l'usine en 1924 (L´Aisne - L'illustration Economique et Financière Vue aérienne de l'usine vers 1960 (AD Aisne). IVR22_20050206550NUCAB Vue aérienne de l'usine vers 1960 : au premier plan, la cité ouvrière (AD Aisne Vue aérienne de l'usine vers 1960 : au premier plan, la cité ouvrière (AD Aisne Vue aérienne de l'usine en 1989. IVR22_20050206553NUCA Vue aérienne de l'usine en 1989. IVR22_20050206554NUCA Vue générale de l'usine : au premier plan, l'usine FAPAGAU implantée en 1986. IVR22_20060205180NUCA L'usine FAPAGAU (premier plan) et les ateliers des années 1920. IVR22_20060205181NUCA Vue de l'usine Tergal Fibres depuis les cours de tennis jouxtant la cité des ingénieurs Aperçu de trois ateliers des années 1920 (groupe de cinq). IVR22_20060205184NUCA
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Suite de quatre bas-reliefs : travaux industriels dans les colonies Noyon - Hôtel de ville place de l' Hôtel-de-Ville - en villeCopyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralInscriptions & marques :Signature : E PINCHON ; inscription concernant le donateur : DON DE MADAME E PINCHON 1937.Cadre de l'étude :inventaire topographique canton de NoyonHistorique :Œuvres exécutées par Emile Pinchon (1872-1932), né à Amiens, et présentées à l'exposition coloniale de Paris en 1934, puis offertes par sa femme à la ville de Noyon.Représentations :; phosphate du Maroc : travail de la mine.Statut :propriété de la communeLocalisation :Noyon - Hôtel de ville place de l' Hôtel-de-Ville - en villeTitre courant :Suite de quatre bas-reliefs : travaux industriels dans les coloniesCatégories :sculptureAires d'études :Sources et ValléesIllustration :Bas-relief : Phosphates du Maroc, travail de la mine. IVR22_19856001526X Bas-relief : Déplacement de billes. IVR22_19856001520V
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Filature de jute Saint Frères, puis Boussac Saint Frères à Saint-Ouen, devenue corderie, puis usine de fibres artificielles et synthétiques Peaudouce, puis Trioplanex Saint-Ouen - 80 rue de la République - en village - Cadastre : 1832 A2 459-460 1832 A3 469 à 472Copyrights :(c) Région Hauts-de-France - Inventaire généralCadre de l'étude :inventaire topographique Val-de-NièvreObservation :Ce dossier de repérage du patrimoine industriel établi en 1988 a été mis à jour et enrichi en 2013 dans le cadre de l'inventaire topographique du Val-de-Nièvre.Référence documentaire :AD Somme. Série M ; 99 M 96841/2. Usine Saint-Frères de Saint-Ouen, déclaration de chaudières et château de Saint-Ouen. Encre et aquarelle sur papier. 2e moitié 18e siècle. (AD Somme ; 1 E CP 807 / 1). Plan de l'ancien château et des moulins de Saint-Ouen, détail du plan géométrique de la commune de territoire à l'épreuve de l'industrie. Réd. Frédéric Fournis, Bertrand Fournier, et al. ; photogr. Marie p. 12. TURGAN, Emmanuel. Les grandes usines de France, études industrielles en France et à AD Somme. Série E ; 3 E 6271. Etude de Me Toupart, notaire à Flixecourt. Acte de vente de la AD Somme. Série E ; 3 E 6272. Etude de Me Toupart, notaire à Flixecourt. Vente de terrain à la AD Somme. Série M ; 99 M 96845/1. Déclaration de machines à parer à l'usine Saint Frères de Saint AD Somme. Série M ; 99 M 96848/2. Installation d'une nouvelle chaufferie à l'usine de Saint-Ouen AD Somme. Série P ; 3 P 711/3. Saint-Ouen. État de sections.Précision dénomination :filature de juteDénominations :usine de fibres artificielles et synthétiquesDescription :Le site industriel s'étend au nord du village de Saint-Ouen, et se développe selon un axe est-ouest confins de la commune, à l'est, vers Berteaucourt-les-Dames et Saint-Léger-les-Domart. Ce site est enfin avec les unités de production de Flixecourt et d'Harondel. Elle possède deux entrées principales : La première, à l'ouest, sur l'ancienne chaussée Brunehaut, permettait aux ouvriers de la cité Saint-Jules et du Général de Gaulle, permettait aux ouvriers des cités Saint-Charles et Saint-Pierre de se rentre . L'ancienne chaufferie et les ateliers qui existaient de ce côté ont été détruits. Il reste cependant une cinquante mètres de hauteur, a été tronqué et couronné d'un réservoir d'eau. Au nord, les pavillons d'entrée les entrepôts et une grande partie de la filature n'existe plus. Le bâtiment des batteries, construit en brique, et présentant une intéressante façade de sept travées clairement délimitées par le rythme est comprend un étage de soubassement et un rez-de-chaussée surélevé. Plus à l'est, quelques ateliersAuteur :[ingénieur de l'entreprise, architecte] Caron AbelLocalisation :Saint-Ouen - 80 rue de la République - en village - Cadastre : 1832 A2 459-460 1832 A3 469 à 472Titre courant :de fibres artificielles et synthétiques Peaudouce, puis Trioplanex Filature de jute Saint Frères, puis Boussac Saint Frères à Saint-Ouen, devenue corderie, puis usineAnnexe :milieu de ces matières produisant ordinairement une poussière aveuglante et asphyxiante, la santé des avec les becs de gaz et donnent un éclairage suffisant mais qui pourrait être plus intense et plus franchement blanc. Depuis cinq ans [1878], on a ajouté à Saint-Ouen une fabrique de ficelles, de cordes et de de grands tambours et les remettent ensuite sur bobines. Un atelier de dix lisseuses termine environ 6000 kg de ficelle par jour. Elles sont mises en pelote de toutes grosseurs et de toutes dispositions fouet. La câblerie s’étend sur une longueur de plus de 300 m parallèlement aux autres bâtiments, et les mines et usines. Cette fabrication s’accroît sans cesse et comprend un grand nombre de spécialités pour des usages nombreux et variés ; celui qui a donné naissance aux ateliers de corderie est la pêche, et l’infinie famille des cordages maritimes. Une grande partie des filés de Saint-Ouen se rend à l'ouest, cheminée datée 1865. En 1866, l'usine est englobée dans la société Saint Frères et bénéficie deTexte libre :ces travaux est attribué à Abel Caron, ingénieur des arts et métiers, attaché à l'entreprise et chargé château de Saint-Ouen, dont les murs et les tours sont encore clairement délimitées, et dans le voisinage par un moulin à farine, ainsi que par une filature et peignage hydraulique de laine. En 1845, le site (470). Ces éléments sont confirmés et précisés lors de l'achat du site par la société Saint Frères, le 15 février 1864 (acte notarié de Me Toupart et Vasselle). L'ensemble se compose alors de trois corps de bâtiments : le principal, à trois niveaux, donnait sur la rue et abritait le peignage et la logements contigus, pour lui, pour l'un son contremaître et sept ouvriers. De la filature à la corderie . La filature est agrandie vers l'est et gagne les terrains de l'ancien château de Saint-Ouen. Une production nécessite d'immenses ateliers à sheds qui abritent la ficellerie, l'atelier de pelotage et de bâtiments est occupée par la société de travaux publics Revet. L'ancien bâtiment administratif, qui marquaitIllustration :Plan des moulins et du château de Saint-Ouen, 2e moitié du 18e siècle (AD Somme ; 1 E CP 807/1 Plan de l'ancien château et des moulins de Saint-Ouen, détail du plan par masse de culture, 1804 Installation de la nouvelle chaufferie. Elévation et coupe, vers 1923 (La Vapeur, Société Française de construction Babcock et Wilcox). IVR22_19888000409ZB Magasin de câblerie et centrale thermique, en 1983 (Ecomusée du Beauvaisis). IVR22_20098000137NUCA Vue des bâtiments de la rue de la République : bureaux et cheminée d'usine portant la date de 1865 Vue d'ensemble du site industriel et de la cité Saint-Jean en 1993. IVR22_19938000018ZA L'ancienne infirmerie et l'ancienne cheminée de 1865 attenante, vue de face. IVR22_20128000855NUC2A Vue de l'ancienne infirmerie et de l'ancienne cheminée de 1865 attenante. IVR22_20128000854NUC2A Détail de l'inscription et de la date présente sur la base de la cheminée. IVR22_20128000858NUC2A