Dossier d’œuvre architecture IA80010955 | Réalisé par
Montauban Suzelle (Rédacteur)
Montauban Suzelle

Chercheuse associée à l'inventaire pour l'étude du pays d'art et d'histoire Ponthieu baie de Somme. (2023-2026)

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Fournier Bertrand (Rédacteur)
Fournier Bertrand

Chercheur de l'Inventaire du patrimoine - Région Hauts-de-France

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Abelé Céline (Rédacteur)
Abelé Céline

Cheffe de projet du pays d'art et d'histoire Ponthieu baie de Somme

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  • inventaire topographique, Pays d'art et d'histoire Ponthieu-baie de Somme
Le village de Fontaine-sur-Somme
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
  • (c) Baie de Somme - Trois Vallées

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communauté d'agglomération de la Baie de Somme - Hallencourt
  • Commune Fontaine-sur-Somme

Les origines de Fontaine-sur-Somme

Fontaine vient du latin Fontanae (orthographe en 851) ; ce nom s’explique par les nombreuses sources présentes sur le territoire de la commune (GARNIER, 1867).

Le premier seigneur connu à Fontaine est Raoul de Fontaine en 1090. Les seigneurs de Fontaine seraient des descendants des comtes de Ponthieu par la branche des seigneurs d'Abbeville (Histoire de Fontaine-sur-Somme, tome I).

En 1282, une charte communale est rédigée par les bourgeois de la commune. Jeanne de Fontaine, châtelaine du lieu, y appose son sceau. Lors de la signature de cette Charte, un sceau communal est défini : il représente les sept échevins de la commune qui s’entraident pour puiser de l’eau dans un puits à l’aide d’une corde. C'est l'eau qui est mise en avant pour représenter la commune (Ibid.).

D’après l’aveu des biens de Robert d’Ailly réalisé en 1312 au roi d'Angleterre, un château existait à Fontaine à cette époque, "manoir accostant à la rivière du molin de la vile" (SEYDOUX, 2002). En 1346, lors de la guerre de Cent Ans, le village est brûlé par les Anglais. Il est possible que le château ait été détruit pendant cette guerre. L’église Saint-Riquier est construite après cette période, à partir du milieu du XVe siècle. En 1588, les terres sont vendues à Antoine d'Hallwyn, bailli d'Amiens. Elles sont ensuite cédées au marquis de Mailly en 1698. D'après Philippe Seydoux, il existait "une modeste maison seigneuriale en brique et pierre, comprenant grande salle, petite salle et grande cuisine au rez-de-chaussée, trois pièces à l'étage. Le marquis de Monsures récupère la terre de Fontaine en 1776, il débute la construction d'un château, puis revend Fontaine en 1777 à Adrien Gaillard de Boëncourt. Ce dernier revend aux enchères les matériaux utilisés pour le début de la construction du château (Seydoux, 2002). Sur le plan parcellaire de 1833, le lieu dit du "château de la Monssurel" rappelle l'emplacement de ce "début de château".

Pendant la Révolution, en 1791, le village est rattaché au hameau de Vieulaines, seigneurie voisine (BOMY, 2014).

Développement et structuration du village

Les premières occupations du village recensées grâce aux fouilles archéologiques et à l'archéologie aérienne ont permis d'identifier un nombre important d'enclos dans la moitié sud de la commune, sur les hauteurs, dans une partie qui est aujourd'hui principalement occupée par des champs. Le village s'est donc, progressivement, déplacé sur le flanc des coteaux, plus proche du lit de la Somme. Il s'est développé au nord de la vallée Martias, d'est en ouest, et plusieurs rues se sont étendues au nord, au milieu des marais.

Depuis 1833 (plan parcellaire, dit cadastre napoléonien), la morphologie du village a peu changé. Certains chemins et routes ont été construits, comme la route de Sorel. La place au nord de l'église a été dégagée : les registres de délibération communaux indiquent que la mairie rachète les bâtiments au milieu du XIXe siècle pour dégager cet espace. Dans des documents communaux, il est indiqué que Clotilde Demachy, propriétaire de la maison à gauche de l'église (IA80010966), refuse de céder une partie de son terrain pour l'aménagement de la place. Le projet est tout de même réalisé et les plans sont dessinés par l'architecte M. Deflesselle (ill.). La place est donc clôturée par des murs en brique, parfois surmontés de ferronneries. Deux portails sont installés : l'un sur la rue du haut et le second au pied de l'église. Des pinacles (IA80010967) sur lesquels sont inscrits les noms des bienfaiteurs de la commune font partie de cet aménagement.

Un pont est construit entre Fontaine et Cocquerel, à l'extrémité nord de la rue Clabaut, dans les années 1870. Il remplace un ancien bac qui permettait auparavant de traverser la Somme.

À noter également, lors de la Seconde Reconstruction, la route de Sorel a été déplacée en lieu et place de l'ancienne école des garçons, détruite, et la rue de la Carrière a été légèrement décalée.

Formes parcellaires et implantation du bâti

Les bâtiments (maisons et granges) de la rue de Haut et de la rue de la Carrière sont construits en front de rue. En ce qui concerne les fermes, d'autres bâtiments s'installent derrière celui qui se trouve en front de rue pour former une cour intérieure. Pour quelques-unes d'entre elles, les bâtiments agricoles donnent sur la rue et la maison d'habitation referme la cour dans la parcelle. C'est le cas dans la rue de Haut, par exemple la ferme au n°22 (IA80010972), et celle au n°17 : elles présentent toutes deux une maison d'habitation en pans de bois qui s'élève sur un étage. D'autres endroits dans la commune présentaient ces caractéristiques, comme le 16, 18 et 20 rue Saint-Martin, mais seules les maisons d'habitation (sur rez-de-chaussée cette fois-ci) ont subsisté, les bâtiments agricoles qui fermaient la cour sur la rue ont disparu. Certaines des fermes possèdent une maison d'habitation en front de rue, comme au n°20 rue de Haut.

En contrebas, dans la rue Clabaut, les habitations sont installées dans la longueur des étroites parcelles, perpendiculaires à la rue. Cette disposition est particulièrement visible sur le plan parcellaire de 1833, sur la 1ère feuille de la section B "dite des Marais de la ville et de Vieulaines" et il reste quelques constructions implantées de ce type encore aujourd'hui.

Les fermes les plus importantes sont donc installées sur le flanc du coteau, proches de l'église et de la place publique. Au sud, le village s'étend légèrement rue de la Motte et route de Sorel. À l'est de l'église, le bâti est fortement marqué par la Seconde Reconstruction.

Pour se protéger des incendies, fréquents à cause des constructions à pans de bois couvertes de chaume, de petites ruelles appelées "traces" sont construites pour couper les alignements de maisons. Ces incendies sont d’ailleurs rapportés dans les registres de délibérations du conseil municipal : le 30 janvier et le 3 février 1815, deux maisons de Fontaine brûlent. Dans l’objectif de lutter contre ces destructions, un arrêté municipal est mis en place en 1806 pour interdire aux habitants de porter de la tourbe allumée dans les rues. Sur le plan parcellaire réalisé en 1833, dit cadastre napoléonien, il existait trois ruelles aménagées pour éviter la propagation des incendies, deux entre la rue de Haut et la rue Saint-Martin (encore présentes aujourd’hui) et une autre entre la rue Saint-Martin et la rue du Pont aux Vaches. Ces ruelles permettent également l'écoulement des eaux pluviales du haut du village vers le bas (AC Fontaine-sur-Somme).

Fontaine-sur-Somme dans l’entre-deux-guerres

Dans le tome III de l’Histoire de Fontaine, des membres du Syndicat d’Initiative de Fontaine-sur-Somme relatent leurs souvenirs de la commune durant l’entre-deux-guerres. Ce texte permet d’en apprendre plus sur la physionomie du village à cette période.

Un témoignage évoque l'aspect sévère des maisons et des granges en torchis, les "fermes typiques, fermées sur elles-mêmes, concentrant leur vie dans une cour intérieure, carrée ou rectangulaire". Une partie des toits est encore à cette époque couverte de chaume. Les témoins évoquent également l'intérieur de ces fermes, dans lesquelles sont construits une écurie, une porcherie, un poulailler et une étable installée tout proches de la maison "car elle constitue la principale richesse du fermier". Il y a également dans ces fermes une remise pour entreposer les charrettes et les outils agricoles. Les auteurs font également une description des plans des maisons : les pièces sont petites et rassemblées autour d'une grande pièce centrale, la salle commune. La porte d'entrée est toujours ouverte, une petite barrière permet de maintenir les poules à l'extérieur de l'habitat. Du bois ou de la tourbe brûlent dans les grandes cheminées.

La Reconstruction après les destructions de juin 1940

En juin 1940, la commune de Fontaine-sur-Somme est en partie détruite par les troupes allemandes. La partie du village de Fontaine installée à l'est de l'église est particulièrement touchée. Le reste de la commune est épargné. Ainsi, l'école des filles et celle des garçons sont incendiées. Plusieurs maisons, commerces et fermes sont détruits (rue de la Carrière, rue de la Motte, rue de Vieulaines…). La demeure au n°9 rue de la carrière (IA80010977), habitée par la famille De Santeul, disparait également. L'église subit d'importants dégâts par le feu. Le bâtiment de la mairie-poste (IA80010968) est détérioré.

André-Marius Chevallier, architecte urbaniste à Amiens, est désigné par le maire en 1941 pour réaliser les dossiers de dommages de guerre pour les bâtiments communaux. Dans un échange de courrier entre le Commissaire technique à la Reconstruction immobilière et le préfet de la Somme, il est indiqué que cet architecte urbaniste situé à Amiens était désigné pour travailler à la reconstruction d'un groupe de communes de la Somme dont Fontaine-sur-Somme ne faisait pas partie. Le maire est cependant autorisé à faire appel à lui. André-Marius Chevallier fait les relevés et les plans des anciens édifices détruits, il travaille avec l'architecte Pierre Audra qui réalise les plans de la reconstruction. Les deux architectes ont également participé à la reconstruction des édifices privés, comme celle du café Duhamel ou de la maison Bonneval. Les travaux du village débutent réellement après la guerre, en 1949. Jean Hubert, photographe à Amiens, documente les différentes étapes de construction des bâtiments.

La reconstruction de l'église est prise en charge par les architectes en chef des Monuments historiques Marcel Poutaraud et André Sallez. Les plans sont dressés par M. Sallez en septembre 1947.

Activités

L'exploitation de la tourbe à Fontaine-sur-Somme

L'exploitation de la tourbe est pratiquée pendant plusieurs siècles à Fontaine. La première mention de cette activité se trouve dans la charte communale rédigée au XIIIe siècle. La charte régit l’utilisation des tourbages :

"10° - Les hommes de Fontaine, usagers des marais, pour le tourbage, ne pourront vendre des tourbes prélevées sur leur part, qu’entre eux.

13° - Le marais de Fontaine situé vers Harcourt, demeure en tout usage à la commune pour son tourbage. (…) Le seigneur se réserve le droit de faire pâturer les bêtes de sa Maison dans ces mêmes marais, à l’exception toutefois des pourceaux et des bêtes de laine." (Histoire de Fontaine-sur-Somme, tome I)

En 1833, sur le plan parcellaire (cadastre napoléonien), trois principaux marais existent sur le territoire communal : le marais de la ville, au nord-est du bourg, le marais Folemprise, au nord-ouest, et le marais sous la ville, à l'ouest.

Les registres des délibérations du conseil municipal fournissent des informations sur le tourbage au XIXe siècle. On y apprend par exemple que plusieurs tourbages extraordinaires ont permis la construction de l’école des filles, ainsi que des travaux pour éviter l’eau stagnante sur les voies publiques. Des éléments statistiques datés de 1855 permettent d’en apprendre plus sur la spécificité des marais : "Marais tourbeux : 60 ha ; marais livrés au pâturage des bestiaux : 79 ha, Eaux, entaille 15 ha ; marais de la ville : 37 ha". Les marais exploités pour le tourbage ont un rendement entre 500 et 600 francs par an.

Activité de villégiature

L'exploitation de la tourbe a créé un paysage particulier, qui se prête à une activité de villégiature. Des huttes de chasses sont installées sur les étangs. Le territoire communal en comptabilise 58, dont 12 sont louées par la commune, 2 appartiennent au conservatoire du littoral et 44 sont privées. Des maisons profitent de ce paysage particulier, comme la maison au 34 rue de Haut, construite en hauteur au début du XXe siècle pour offrir aux habitants une vue sur les environs, ou la maison au n°1 rue du Marais, construite après la Seconde Guerre mondiale et qui vient s'installer directement au pied des étangs. Pour finir, divers chemins de randonnée sillonnent la commune pour permettre aux marcheurs de profiter de ce paysage particulier.

Les moulins

Plusieurs moulins ont existé sur le territoire de Fontaine. Ils ont tous disparu aujourd’hui.

Le premier moulin à eau, dit moulin "Clabaut", est détruit en 1620. Les deux autres moulins du territoire étaient à vent. Dans le registre de l'état des moulins à blé existant dans le département de la Somme en 1807, il existait un seul moulin de ce type à Fontaine qui produisait 1500 kg de farine par jour.

Le moulin dit du "Cartel", construit en bois, se situait sur la parcelle 40, Section C1 du plan parcellaire de 1833 ; il est d'ailleurs appelé "Moulin de Monsure" sur ce plan (en référence au marquis de Monsures qui avait débuté la construction de son château à cet emplacement). Il est également visible sur des cartes postales anciennes, installé sur les hauteurs de la commune. Il aurait été détruit par un ouragan en 1876 (AD Somme, matrice des propriétés foncières).

Le dernier moulin connu est en pierre. Il figure sur la parcelle 438, section D, du plan parcellaires de 1833. Dans la matrice cadastrale des propriétés foncières, en 1854, le moulin, alors propriété de Pierre Pierru, est indiqué comme démoli. Un nouveau moulin est sans doute reconstruit suite à cette destruction, car différentes cartes postales le représentent. Ce nouveau moulin est frappé par la foudre en 1902, la meule est endommagée, il est alors hors d'usage (article de Paul Roy , tome LII du bulletin des Antiquaires de Picardie 1967-1968). Il aurait également été incendié par les Allemands en 1940 (ibid.). De nombreuses photos et cartes postales montrent ce moulin, ce qui permet d'en connaître la physionomie. C'est une construction cylindrique, dont la base est plus large que le haut. Il semble présenter sur une bonne partie de son élévation une maçonnerie dite en "rouge barre" (appareillage régulier de pierres blanches et de briques rouges, typique de la Picardie et du Nord de la France).

Les carrières

Plusieurs carrières existaient dans le village de Fontaine. D'anciennes entrées de carrières sont encore visibles rue de la Motte par exemple. En 1913, l'ancienne carrière au lieu-dit "vert Liercourt" pour l'extraction du moellon étant devenue trop dangereuse, la municipalité achète à l'hospice d'Amiens, pour la somme de 1020 francs, un nouveau terrain pour en faire une carrière exploitable au lieu-dit "les quatre chênes" (AC Fontaine sur somme, registre de délibération communales, 1905-1914).

L'agriculture

L'agriculture reste la part la plus importante des activités de la commune. La waide (plante tinctoriale de Picardie, qui donne un pigment bleu), le lin et le chanvre ont été cultivés sur le territoire. Les registres de délibérations communaux font aussi mention de pâturages dans les marais. De nombreuses fermes sont aujourd'hui encore présentes sur le territoire.

Activités commerciales

De nombreux bars et cafés sont installés autour de la place du centre-bourg. La construction au n°3 place Jeanne de Fontaine, ancien café, restaurant, hôtel, salle de spectacle, témoigne de la présence de ces anciens lieux de rencontres. Plusieurs de ces cafés, aujourd'hui disparus, sont visibles grâce aux cartes postales anciennes.

  • Période(s)
    • Principale : Protohistoire, Gallo-romain, Moyen Age, Temps modernes, Epoque contemporaine

Implantation

Le village est implanté entre la Somme au nord et les coteaux calcaires au sud. Le centre-bourg est construit au pied d'un de ces coteaux, il se développe de chaque côté de la rue de Haut puis rue de la Carrière et enfin, rue de Vieulaines. Parallèlement à la rue centrale, la rue Saint-Martin et la rue du Pont aux Vaches se développent au nord. Plusieurs rues viennent s'étendre au nord au milieu des étangs de tourbières, comme la Grande Rue, la rue Verte, ou la rue Clabaut. Cette dernière fait la jonction entre le village de Fontaine et celui de Cocquerel. Quelques habitations sont implantées au sud dans la rue de la Motte et dans la cavée Jean Perron.

Forme de l'habitat

Dans la rue de Haut, c'est le mur gouttereau qui est affiché sur la rue, au contraire de la rue Clabaut où l'habitat affiche son mur pignon. L'habitat est dense rue de Haut, autour de la place Jeanne de Fontaine et de la mairie, et autour de la gare. Les autres rues présentent un habitat plus lâche.

Les matériaux de construction

Le bâti ancien de la commune affiche une pluralité de matériaux, consécutive aux diverses étapes de construction des édifices.

Les maisons les plus anciennes possèdent des murs gouttereaux à pans de bois et des murs pignons en pierre. Un certain nombre de bâtiments agricoles en pans de bois subsistent également. Le torchis est normalement enduit d'un badigeon mais il est parfois laissé apparent, recouvert de ciment ou de tôle. La pierre locale reste le calcaire. Il est parfois utilisé pour les façades comme pour l'ancien presbytère (IA80010973) ou la maison au n°5 rue de Haut, mais il est principalement présent sur les murs pignons avec des exemples de maçonnerie de type rouge barre et/ou à couteau. La brique est présente partout : parfois en soubassement des édifices à pans de bois, parfois sur l'intégralité des élévations. Elle est utilisée sur le bâti ancien et sur le bâti plus récent, comme sur celui de la Seconde Reconstruction. Sur quelques maisons, elle forme des frises denticulées au niveau des corniches.

Aujourd'hui, les toits du village sont principalement couverts de tuile. Quelques maisons et quelques édifices structurants, comme l'église (IA80010957), l'ancien presbytère (IA80010973) ou la mairie (IA80010968) sont couverts d'ardoise. Les pignons découverts témoignent des anciennes couvertures en chaume. Enfin, le béton est utilisé pour certaines parties des édifices de la Seconde Reconstruction.

  • Murs
    • brique
    • pierre
    • torchis
  • Toits
    ardoise, tuile
  • Typologies
    rouge barre

Documents d'archives

  • AC Fontaine-sur-Somme. Registre de délibérations du Conseil municipal, 1853-1877.

  • AC Fontaine-sur-Somme. Registre de délibérations du Conseil municipal, 1877-1896.

  • AC Fontaine-sur-Somme. Registre de délibérations du Conseil municipal, 1916-1926.

  • AD Somme. Série W : 70W CP 39/1 - ZI 323 : Commissariat à la Reconstruction immobilière. Plans des îlots sinistrés de Fontaine-sur-Somme, dressé par R. Fisseau. Ech : 1/500e, 27 juillet 1942.

  • AD Somme. Série W : 1272 W 137. Reconstruction des biens communaux, 1944-1951.

Bibliographie

  • BOMY, Jean-Pierre. Chronique de la tourbe à Fontaine-sur-Somme. [s. l.] : [s.éd], ca. 2006. 172 p.

  • BOMY, Jean-Pierre. Vivre à Fontaine et Vieulaines pendant la Révolution 1792-1799. Amiens : [s. éd.], 2014.

  • GARNIER, J. Dictionnaire topographique du département de la Somme. Mémoires de la Société des Antiquaires de Picardie, 3e série. Paris, Amiens, t. I, 1867.

    p.381-382
  • PRAROND, Ernest. Notices historiques, topographiques et archéologiques sur l'arrondissement d'Abbeville. Abbeville : Jeunet, 1854.

  • SEYDOUX, Philippe. Gentilhommières en Picardie. Ponthieu et Vimeu. Paris : Editions de la Morande, 2003.

    131
  • SYNDICAT D'INITIATIVE DE FONTAINE-SUR-SOMME. Histoire de Fontaine. Fressenneville : [s. e.]/Imprimerie Carré, s.d., Tome I.

  • SYNDICAT D'INITIATIVE DE FONTAINE-SUR-SOMME. Histoire de Fontaine. Fressenneville : [s. e.] / Imprimerie Carré, 1970-1974. Tome II.

  • SYNDICAT D'INITIATIVE DE FONTAINE-SUR-SOMME. Histoire de Fontaine. Fressenneville : [s. e.]/Imprimerie Carré, s.d., Tome III.

Documents figurés

  • Fontaine-sur-Somme, cavée d'Airaines, carte postale, édit. Hanquet-Dupuis, vers 1905 (coll. part.).

  • Puits au chevet de l'église paroissiale, début XXe siècle, tirage photographique, [vers 1905] (coll. part.).

  • Fontaine-sur-Somme, le moulin de pierre, carte postale, édit. Vve Maison Gavois et Chevallier, vers 1905 (coll. part.).

  • Fontaine-sur-Somme, l'industrie de la tourbe : le moulage, carte postale, édit. Vve Maison Gavois et Chevallier, 1905 (coll. part.).

  • Fontaine-sur-Somme, le château, carte postale, [s.éd.], vers 1910 (coll. part.).

  • Fontaine-sur-Somme, la route d'Abbeville, carte postale, édit. Rose Bonneval, vers 1910 (coll. part.).

  • Fontaine-sur-Somme, la route d'Abbeville à Amiens, carte postale, S. Petit, photographe éditeur à Longpré, 7 mai 1920 (coll. part.).

  • Fontaine-sur-Somme, rue du Haut, carte postale, Boildieu, Hans, 1930 (coll. part.).

  • Fontaine-sur-Somme. Le moulin, les ruines, carte postale, Boildieu-Hans éditeur, [s.d.] (coll. part.).

  • Commune de Fontaine-sur-Somme. Reconstruction d'une maison du village, par Jean Hubert photographe à Amiens, 25 mars 1952 (AD Somme ; 1272 W 515).

  • Commune de Fontaine-sur-Somme. Projet pour la construction sur la place de l'église, de murs de clôture avec grilles en fer, plan général, par Deflesselle, architecte, 31 juillet 1878 (AD Somme ; 99 O 1745).

  • Commune de Fontaine-sur-Somme. Projet pour la construction sur la place de l'église, de murs de clôture avec grilles en fer, élévation de la grille intermédiaire et principale et d'un clocheton, par Deflesselle, architecte, 31 juillet 1878 (AD Somme ; 99 O 1745).

  • Commune de Fontaine-sur-Somme. Projet pour la construction sur la place de l'église, de murs de clôture avec grilles en fer, élévation du mur de face et d'un pilastre, Deflesselle, architecte, 31 juillet 1878 (AD Somme ; 99 O 1745).

Date(s) d'enquête : 2023; Date(s) de rédaction : 2023
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
(c) Syndicat mixte Baie de Somme - Trois Vallées
Montauban Suzelle
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Chercheuse associée à l'inventaire pour l'étude du pays d'art et d'histoire Ponthieu baie de Somme. (2023-2026)

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Fournier Bertrand
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Abelé Céline
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