Dossier d’œuvre architecture IA59005195 | Réalisé par
Dupuis Leslie (Rédacteur)
Dupuis Leslie

Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.

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  • enquête thématique régionale, Patrimoine de Villeneuve-d'Ascq, ville nouvelle
Quartier Le Château
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Hauts-de-France - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Métropole européenne de Lille
  • Commune Villeneuve-d'Ascq
  • Lieu-dit Quartier Le Château
  • Précisions autrefois sur commune de Flers ; autrefois sur commune de Annappes
  • Dénominations
    secteur urbain concerté, quartier
  • Appellations
    Le Château
  • Parties constituantes non étudiées
    ferme, château, centre de loisirs

Quartier totalement issu de la ville nouvelle, Le Château est mis en chantier en 1974 et son aménagement est confié à l’architecte coordonnateur Jean-Claude Dumont. Ce quartier se distingue par son caractère résidentiel très paysagé. Situé à proximité immédiate du village de Flers, pourvu de deux lacs et bénéficiant de l’installation du Stadium métropolitain, il "rassemble […] simultanément un site agréable, de l’eau, des espaces verts importants et une architecture de qualité"1.

Il est volontairement dépourvu de centre, étant donné la proximité de celui de l'ancien village de Flers. En revanche, il a fallu imaginer un dialogue harmonieux avec un patrimoine protégé et le tissu ancien proche. Très paysagé, Le Château est pourvu d’espaces publics généreux qui parcourent les bords de lacs, puis s’engagent sans rupture aucune au cœur des îlots, jusqu’aux habitations. Y sont expérimentées des combinaisons de maisons individuelles en forte densité ou des opérations d’habitat intermédiaire.

1Quartier du Château. ÉPALE, [dépliant, 1975]

Le quartier Le Château est construit principalement entre 1972 et 1978, avec une finition en 1982. La conception générale, l’aménagement et la planification sont du ressort de l’EPALE, qui l'inscrit dans la ZAC de la Borne de l'Espoir. L'architecte coordonnateur de ce quartier est Jean-Claude Dumont.

Le programme : un quartier très paysagé, à vocation résidentielle et sportive, où l’habitat intermédiaire est dominant

Le programme du quartier Le Château entend tirer bénéfice de son site. Situé à l’extrémité ouest de la chaîne des lacs, le quartier en comporte deux : le lac des Espagnols et lac du Château. Il jouxte à l'ouest le village ancien de Flers, désormais intégré au quartier Flers-Bourg ; autour de l’église Saint-Pierre, ce secteur ancien possède une dimension patrimoniale et un caractère de centralité, avec ses commerces et équipements. Par ailleurs, le périmètre du Château intègre un élément patrimonial notable, la Ferme d'en Bas / Château de Flers (édifice protégé au titre des Monuments historiques), qui lui donne d'ailleurs son nom. Enfin la décision d'implanter le stade métropolitain oriente le quartier vers une vocation sportive.

Le parti d’aménagement du Château est de mettre en valeur ces atouts, de "rassembler simultanément un site agréable, de l’eau, des espaces verts importants et une architecture de qualité" en un quartier "singulier, au visage original". Le projet "vise à créer un ensemble très paysagé dans lequel la transition du quartier de Flers au quartier du Château soit progressive, où les perspectives sur les monuments soient respectées, où le maximum de logements soient tournés vers les plans d’eau tout en rendant les berges accessibles au public, et où enfin les immeubles construits soient en harmonie avec le site ainsi modelé" (Quartier du Château, ÉPALE [dépliant, 1975] ).

Une forte dominante d’habitat intermédiaire

Le quartier Le Château doit accueillir 3 500 habitants, avec une densité assez faible de cinquante logements à l’hectare (et une fourchette de 43 à 59). 

Comme au quartier La Cousinerie, l’ÉPALE affiche la volonté de proposer un habitat nouveau et original et opte pour une majorité d’habitat intermédiaire : "Les programmes de logements, aussi bien logements sociaux que logements aidés par l’État, sont tous réalisés dans une densité intermédiaire entre celle de l’habitat individuel et celle de l’habitat collectif, avec le souci d’apporter aux habitants les services qu’ils attendent habituellement du seul logement individuel, tout en gardant des équipements proches. Dans cette démarche, la forme du logement n’est pas un préalable puisque c’est la notion de service qui préside à leur conception. Mais la variété des réponses apportées aux problèmes posés est exprimée dans une très large diversité architecturale, assurant tout à la fois l’intimité de chaque logement, la possibilité d’entretenir des relations de voisinage, et l’existence d’un environnement réellement novateur."

Équipements et activités : un quartier sans centre affirmé

En raison de la proximité immédiate de Flers-Bourg, Le Château n'a pas de centre et dispose de relativement peu d'équipements (hormis sportifs).

Sont prévus  :

·        2 groupes scolaires : Châteaubriand (IA59005213) et Frédéric-Chopin (IA59005214) ;

·        3 Locaux Collectifs Résidentiels : LCR des Chaumières (îlot 11 : IA59005206 ); LCR Chanteclerc (îlot 1 : IA59005196) et LCR des Chercheurs (îlot 18 : IA59005211) ;

·        Stade omnisport métropolitain de 30 000 places ;

·        6 hectares de plans d’eau répartis sur 2 lacs ;

·        3 terrains d’entraînement ;

·        2 plateaux d’éducation physique (conçus et fonctionnant avec les groupes scolaires) ;

·        1 local de mouvement ;

·        Terrains de tennis.

Il en est de même pour les commerces et activités : le quartier - zone d'activité du Tir-à-Loques étant limitrophe, sont seulement prévus 400 m2 d’unités commerciales en pied d’immeubles, ainsi qu’un petit centre commercial rue de la Chevalerie (qui ne sera finalement pas construit),et un concessionnaire automobile. Un projet de centre artisanal abrité dans la Ferme-d’en-Haut n’aboutit pas mais quatre locaux d’artisans « du Châtelet » sont construits dans l’îlot 17.

 

Chronologie

En 1972 Jean-Claude Dumont élabore le schéma organique du quartier (document non retrouvé). L'ouverture des chantiers est visible au sud sur la base IGN (Orthophotos).

En 1973 débute la construction du stade métropolitain (aujourd'hui appelé Stadium de Lille) confiée à Roger Taillibert et Guy Fauchille. Le chantier de réalisation des infrastructures du quartier démarre la même année avec la mise en place des buses permettant la communication entre les deux lacs du Château et des Espagnols. Les deux lacs sont reliés par le pont de la Châtellenie en juillet 1974.

En août 1975 l’essentiel des infrastructures est terminé et cinq premiers programmes de logements sont en chantier. L'inauguration du stade a lieu le 25 juin 1976 à l'occasion des championnats du monde d'athlétisme. Le groupe scolaire Chateaubriand est le premier en fonctionnement (1977) suivi du groupe scolaire Frédéric-Chopin. En juin 1978 le quartier compte 2 200 habitants environ.

La poursuite et la finition du quartier sont marquées par l'implication croissante des habitants : en mai-juin 1978 l’aménagement du quartier fait l’objet de débats publics et d’une Charte d’aménagement, commune avec le quartier de Flers-Bourg.

Plusieurs modifications sont apportées, à la demande de la municipalité suite aux débats avec les habitants :

·    L’îlot 14, initialement destiné à recevoir un programme de logements, accueille finalement un centre de loisirs servant aux quartiers de Flers et Château. Trois groupes de jardins familiaux sont programmés près de la Ferme-d’en-Haut, sur 9 500 m2 (1981-1983) ; ils occupent un espace initialement prévu pour des logements.

. L'îlot 15, lieu de transition entre Flers-ancien et Le Château, est destiné à la construction de logements de trois étages en front de rue, l'accueil de petits commerces et d'une place du marché.

Enfin, la destruction du verger du Château de Flers ainsi que l’urbanisation de l’îlot 3 (Résidence Alvarado) en visibilité directe avec le château, occasionnent une importante polémique et une longue bataille juridique. Les travaux sont longtemps interrompus, puis achevés en 1982.

Au total seuls 382 nouveaux logements sont construits entre 1978 et 1982.

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 20e siècle , daté par travaux historiques
  • Dates
    • 1972, daté par travaux historiques
  • Auteur(s)
    • Personnalité :
      ÉPALE
      ÉPALE

      "L'Établissement public d'aménagement de la ville nouvelle de Lille-Est (EPALE) est un établissement public à caractère industriel et commercial créé en 1967 avec pour mission d'aménager le site de Villeneuve-d'Ascq pour le compte de l'État et des collectivités locales concernées. Le territoire couvert par l'EPALE est une opération d'intérêt national couvrant la totalité du territoire des communes d'Ascq, Annappes et Flers-lez-Lille, à l'est de Lille, dans le département du Nord. Cette zone est au début du XXIe siècle un centre économique et technologique d'envergure nationale."

      Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tablissement_public_d%27am%C3%A9nagement_de_Lille-Est [consulté le 18/03/2024]

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    • Auteur : architecte urbaniste attribution par source

Le quartier Le Château occupe une surface de 76 hectares, en légère pente du nord au sud. Il est installé entre les quartiers Flers-Bourg à l'ouest, le Tir-à-Loques au nord et le Pont-de-Bois au sud. À l'est il est bordé par l'autoroute urbaine et le boulevard du Breucq.

Un quartier principalement tourné vers l'ouest et le quartier Flers-Bourg

Par ses côtés nord et surtout ouest, le quartier marque une forte continuité avec son environnement urbain : la voirie y est bien connectée et on observe un tissu urbain continu. C'est très clairement le cas avec le secteur flersois, censé constituer un centre pour le quartier du Château, qui en est relativement dépourvu. Ainsi la voirie est structurée par l'avenue de la Châtellenie, axe primaire nord-sud qui traverse le quartier en son cœur et vient se connecter à deux autres axes primaires de direction est-ouest : l'avenue Champollion qui traverse le nord du quartier et l'avenue du Pont-de-Bois qui le borde au sud. Greffé sur ces axes structurants, le nouveau réseau de voies secondaires (rues de la Chevalerie, de la Châtellenie, Charles-le-Bon, Champollion), reliant les îlots de la ville nouvelle, se connecte directement au maillage ancien de Flers (rues Jules-Guesde, Jeanne-d'Arc, Alexandre-Detroy, de Fives). Cela assure une bonne communication avec les quartiers Flers-Bourg et Tir-à-Locques. Sur cette trame le tissu urbain s'est développé de façon continue, notamment en direction du dense et ancien secteur de Flers (c'est moins le cas en direction du Tir-à-Locques, majoritairement voué aux activités).

Dans le secteur sud-est au contraire l'urbanisation présente des discontinuités fortes avec les secteurs voisins. La voirie primaire et plusieurs infrastructures viennent encercler le quartier et l'isoler du reste de la ville. Ainsi au sud, l'avenue du Pont-de-Bois, les parkings de l'université et un terrain non urbanisé isolent nettement les secteurs d'habitations du Château de ceux du Pont-de-Bois. À l'est surtout, l'autoroute urbaine constitue une barrière, bloquant la communication avec La Cousinerie, le Parc urbain, Annappes et La Poste. Le passage, via le boulevard du Breucq, est relégué à l'extrême nord et au sud mais est impossible au centre, où l'axe ancien rue de Lille / rue de Chambord est interrompu.

Un quartier très paysagé, résidentiel, aux espaces publics attrayants

Le Château est marqué en son centre par la présence des deux lacs du Château et des Espagnols, polarités paysagères du quartier. Autour de leurs rives, aménagées en une longue promenade animée par la végétation, sont répartis en chapelet une partie des îlots d'habitations. Un vaste secteur centre-est, bordant la rive sud du lac des Espagnols, voit le déploiement des infrastructures et équipements dédiés aux activités sportives, au premier chef le stade métropolitain (aujourd'hui appelé Stadium de Lille).

Le Château est parcouru par un dense réseau de chemins piétons, très strictement séparé de la voirie qu'il vient doubler. Ainsi le chemin de la Chaumière d'axe nord-sud croise le chemin du Chat Botté, d'axe est-ouest ; de là, des ramifications secondaires relient ensuite les principaux espaces publics et équipements, ainsi que les îlots. Le cheminement se fait au milieu d'une végétation omniprésente, et sur talus lorsqu'il est nécessaire de franchir une route, comme l'avenue de la Châtellenie. La séparation des trafics est cependant assouplie localement : au croisement avec l'allée Charles-le-Bon par exemple. De même certains cheminements secondaires empruntent la voirie de desserte des îlots.

L'espace public central du quartier prend la forme d'un parc paysagé, situé à la convergence des chemins de la Chaumière et du Chat Botté. Il rassemble les équipements principaux du quartier : le Château de Flers (actuellement musée - office de tourisme) et le groupe scolaire Frédéric-Chopin. La vaste esplanade, engazonnée et plantée, se prolonge au sud de la rue Charles-le-Bon et propose une belle perspective sur le lac. Cet espace s'ouvre également à l'ouest vers le noyau ancien du quartier Flers-Bourg, grâce à la perspective pittoresque ouverte par le chemin de la Chaise dans l'îlot des Mitoyennes. Ainsi est discrètement mise en scène, et inscrite dans le nouveau paysage urbain, la complémentarité souhaitée entre les deux quartiers. Autre signe de complémentarité : le centre de loisirs Charlie-Chaplin est installé à la jonction des deux quartiers, rue Champollion.

Un chapelet d'îlots fédérés par un réseau piéton soigneusement paysagé

Le quartier comprend, en marge sud-est et au nord, deux franges d'habitat ancien (rues Jules-Guesde, Jeanne-d'Arc, Alexandre-Detroy, de Chambord et d'Orléans). Le reste de l'habitat se répartit en 17 îlots nouveaux.

Représentant un total de 1 603 logements nouveaux, ces 17 îlots sont de taille relativement petite (1,75 ha en moyenne) et leur densité moyenne atteint 53,5 logements à l'hectare, avec un écart important : de 33 à 117 logements par hectare.

Depuis le ciel, les limites entre les îlots sont clairement lisibles ; le tissu du château est ainsi constitué de grappes ou d’alvéoles isolées les unes des autres, présentant chacune une organisation interne légèrement différente. La majorité des îlots du Château sont constitués de groupements d'habitations desservis par des impasses - et donc en structure enclavée - ce qui tend à limiter leur connectivité avec l'environnement urbain. Fort heureusement le réseau d'espace public piétonnier, véritable coulée verte paysagère qui parcourt tout le quartier et concerne tous les îlots, vient tempérer leur relatif isolement et donner au Château un fort caractère d'homogénéité.

Tous les îlots disposent d'espaces collectifs semi-publics engazonnés ou plantés, plus ou moins importants et paysagés, et diversement accessibles depuis l'espace public. Deux d'entre eux (2 et 17) comprennent des locaux voués aux activités.

Corollaire de la vocation expérimentale de ce quartier en terme d'habitat, le logement est majoritairement de type intermédiaire (57%). Le Château est le quartier où l'habitat intermédiaire est numériquement et proportionnellement le plus représenté. En tout 10 îlots sont concernés, plus un ilôt qui mêle habitat intermédiaire et individuel (îlot 7). De même les Modèles innovation (les Maisons gradins jardins de Michel Andrault et Pierre Parat) sont utilisés dans 3 îlots (n°1, 11 et 12). On peut également noter que trois des cinq îlots accueillant de l'habitat individuel constituent de remarquables tentatives de concilier intimité et forte densité (n° 5, 7 et 17).

Sauf notables exceptions où il adopte une organisation en immeubles (îlot 1 et 18), l'habitat intermédiaire reprend en priorité la forme du lotissement propre à la maison individuelle (îlot d'habitat groupé). L'habitat collectif est quant à lui organisé comme ailleurs en îlots de types modernes. L'habitat individuel est majoritairement organisé en îlots d'habitat groupé, à l'exception de l'îlot 15, Les Mitoyennes, lequel adopte un type urbain traditionnel dont il est l'unique représentant au Château. L'explication se trouve dans la date tardive de son aménagement et dans sa localisation, au contact du tissu ancien de Flers. En effet, pour les deux îlots situés dans ce secteur, le choix s'est porté sur des compositions évoquant la ville traditionnelle et privilégiant les alignements sur rues, celles-ci étant par ailleurs connectées aux axes voisins : l'îlot 15 est ainsi de type traversant et l'îlot 17 de type linéaire.

Pour plus d'informations sur les typologies relatives à l'habitat et aux îlots, voir le dossier thématique : Les îlots d'habitation de la ville nouvelle de Villeneuve d'Ascq [IA59005554].

Documents d'archives

  • AC Villeneuve-d'Ascq ; 103 W 19. Charte d'aménagement concerté, Secteur Flers-Château, ÉPALE, 25 avril 1978.

  • AC Villeneuve-d'Ascq. Fonds ÉPALE ; 1 EP 2. Situation au 9 mai 1980 de l'exécution du programme de la convention tripartite. ÉPALE, 9 mai 1980.

  • AC Villeneuve-d'Ascq. Fonds ÉPALE ; 2 EP 34. Etat d'avancement des opérations de logement, ÉPALE, 16 novembre 1982.

  • AC Villeneuve-d'Ascq. Fonds ÉPALE ; 2 EP 34. Tableau de bord 1981. ÉPALE, [1981].

  • AC Villeneuve-d'Ascq. Fonds EPALE ; 6 EP 271. Quartier du Château. ÉPALE, [dépliant, 1975].

  • AC Villeneuve-d'Ascq. Fonds ÉPALE ; 6 EP 226. Lille-Est Ville nouvelle. Technique et Architecture, déc. 1974-janv. 1975, n° 302.

  • AC Villeneuve-d'Ascq. Fonds ÉPALE ; 12 EP 19. Répertoire logements janvier 1979. ÉPALE, [1979].

  • AC Villeneuve-d'Ascq. Fonds ÉPALE ; 12 EP 27. Bilan général de l'aménagement de la ville nouvelle pour la période 1977-1982. ÉPALE, 1982.

  • AC Villeneuve-d'Ascq. Fonds ÉPALE ; 12 EP 167. Les chartes d'aménagement concerté illustrées en quelques documents. Municipalité de Villeneuve-d'Ascq, avril 1978.

Bibliographie

  • Villeneuve-d'Ascq, vues aériennes 1970-1980. Villeneuve-d'Ascq : ÉPALE, 1980 (Études et documents, 1980).

    AC Villeneuve d'Ascq : (salle de consultation)
  • Villeneuve-d'Ascq. Recherche et architecture, 1980, n° 41.

    AC Villeneuve d'Ascq : 6EP226
  • La Population nouvelle : Étude 78, 79, 81. Villeneuve-d'Ascq : ÉPALE, [ca 1982] (Études et documents, [ca 1982]).

    AC Villeneuve d'Ascq : (salle de consultation)

Documents figurés

  • Vue aérienne de l'ouest de la ville nouvelle [mai 1977] (AC Villeneuve-d'Ascq ; fonds ÉPALE - Phot'R, 9Fi 1526).

  • Villeneuve-d'Ascq ville nouvelle. Photographies 1978. Album photographique en couleur, ÉPALE, 1978 (AC Villeneuve-d'Ascq ; fonds ÉPALE, 16 W 3).

  • Vue aérienne, Le Château, [août 1979] (AC Villeneuve-d'Ascq ; fonds ÉPALE - Phot'R, 9 Fi 2323).

Date(s) d'enquête : 2017; Date(s) de rédaction : 2022
(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général
Dupuis Leslie
Dupuis Leslie

Chercheuse de l'Inventaire général du Patrimoine culturel, Région Hauts-de-France.

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